Samedi 17 février 6 17 /02 /Fév 18:23

Allez, puisqu'on est dedans, encore un peu de douleur. Avec les pinces à seins ce coup-ci!

Pour cette séance, j'avais mis mes bas en latex et mes chaussures à talons hauts complètement défoncées. J'ai l'air de ne pas trop tenir sur mes pattes là, et pour cause: j'ai les yeux couverts d'un bandeau en latex et ne vois rien. Pas évident de tenir son équilibre sur des talons sans l'aide de la vue.

Comme pour le précedent film où je m'asphyxiais, je me suis entouré le visage de film cellophane en laissant un trou pour respirer au niveau du nez. Vaut mieux ne pas être enrhumé dans ce cas car cela devient vite ..... pénible. Pénible. Est-ce le bon terme?

J'ai évidement les pinces sur les tétons.Comme je ne fais pas cela pour la gloire mais pour mon plaisir, je commence par me branler un petit coup. Histoire de ce faire du bien avant de ce faire du mal.

Cela fait maintenant une petite demi-heure que je me ballade ainsi dans le noir, les pinces accrochées aux tétons. Ces derniers sont maintenant bien écrasés par les machoires et les pinces tiennent d'autant mieux. Je les accroche donc à mes chevilles et me trouve ainsi dans une position plutôt inconfortable.

         

Ce qui ne m'empêche pas de m'occuper de mon sexe. Aaahhhh..., ce mélange de douleur et de plaisir.....

Mais, le mieux est quand on retire les pinces. Au bout d'une demi-heure d'écrasement et d'un quart d'heure de tiraillement, les tétons sont tellement sensibles que l'afflux de sang produit une sensation prodigieuse.

Et de me terminer en mettant le bandeau de latex sur le nez. Etouffant dans le noir avec les tétons douloureux, il ne m'a pas fallu longtemps.

   

J'ai rajouté à la fin un petit passage qui, c'est vrai, aurait pu servir d'interlude. J'ai filmé çà une fois où j'avais passé la journée la tête entièrement entourée de bandes de tissu adhésif.

   

      

Un jour complet ainsi, ou presque, le temps de me préparer le matin. N'ayant plus aucune notion de temps, j'avais mis deux réveils à sonner. Un à midi, l'autre à six heures du soir. J'ai passé la journée à faire ce que je pouvais. Tenez! J'vous la raconte!

Mais après le film

 

Petite histoire

Donc j'me lève la matin, mets un premier réveil à sonner à midi, et un second à dix-huit heures. Il était sept heure et demi du matin. Je me mets ensuite un sac plastique sur la tête (les sac de congélation sont très bien) et commence à me scotcher la tronche. Entièrement. Je n'ai juste laissé qu'un petit trou au niveau de la bouche qui était en fait bouché la pluspart du temps par un bout de scotch. Cette "cagoule maison" était entièrement fermée mais pas totalement étanche. Je pouvais respirer à travers mais très difficilement. J'était donc presque tout le temps essoufflé (ce qui n'arrangeait pas les choses).

Je commençais donc par prendre une douche en faisant bien mon lavement. Mais comme un idiot, je n'avais pas été au chiottes avant. J'ai donc expulsé une quantité non négligeable de merde dans la baignoire. Allez donc nettoyer çà en ne voyant rien. Je pensais avoir réussi quand, dans un mouvement, j'écrasais de mon pied nu un petit étron qui restait. V'là t'y pas qu'il fallait maintenant que je me nettoie le pied. Bref! Maintenant que j'était propre, ainsi que la baignoire (du moins je l'espèrais), je cherchais à tâton ma serviette. C'est là, en marchant dans une flaque d'eau sur le sol de la salle de bain, que je me rendis compte que j'avais foutu de la flotte partout. Et d'aller chercher, toujours à tâton, une serpillère dans la cuisine, revenir à la salle de bain pour en essuyer le sol et retourner à la cuisine rincer la serpillère sans foutre de nouveau de la flotte partout.

Au moment de faire mon café, je me rendis compte que j'étais à poil. Je retournai donc à la salle de bain mettre mon peignoir puis revenais à la cuisine pour faire le café. Je commençais à connaître le chemin par coeur. Je me préparais donc un café. Pas simple, soit dit en passant. Essayez donc d'utiliser une machine à expresso les yeux fermés. Je pris mon bol de café et allai au salon. Je retirai le bout de scotch qui bouchait ma bouche et compris que j'avais oublier de prendre une paille. Donc nouvel aller-retour cuisine salon.

Je passais ensuite dix bonnes minutes à chercher mes clopes. C'est évidement dans ces moments là qu'on ne les retrouve plus. Bien sûr, dès que je n'avais plus à utiliser ma bouche, je remettais le scotch sur le trou. J'étais donc à me promener partout dans le salon, à tâton, en me cognant à tout ce qui se trouvait sur mon passage, me cassant la figure deux fois en trébuchant sur je ne sais quoi qui traînait là, reprenant difficilement ma respiration. Tout çà, pour finallement me souvenir qu'elles étaient dans la chambre à côté du PC.

Je fumais donc ma clope en buvant mon café à la paille. Le problème, lorsqu'on est dans une telle situation, c'est que, en plus de se tailler une petite branlette, on gamberge. Et voilà qu'il me vient une idée! Ben voyons! Et si je me ligotais les genoux? Je ne pourrais plus ainsi marcher que les cuisses serrées. C'est vrai quoi, c'était trop facile! Je ne m'était cogné qu'une dizaine de fois et ne suis tombé que deux fois. Mince alors, j'avais trop d'équilibre!
Pfff.... Anatole! Arrêtes d'avoir des idées!
Mais bon, je le fis quand même. Et pour m'éviter de faire malgré tout de trop grand pas, je mis mes chevillères et attachais mes chevilles ensemble. Donc retour de la chambre au salon à petit pas, bras écartés fouillant l'air autour, pour prendre mon bol de café et aller dans la cuisine le laver. C'est là que je me rendis compte que marcher ainsi les cuisses serrées c'était bien, mais que ce serrait mieux avec un plug dans le cul. Et oui! J'suis comme çà!

Tout cela me pris pas mal de temps, du moins le pensais-je car je n'avais absolument aucune notion de temps. Je décidais alors de faire le ménage.
Tant quà faire hein? Au lieu d'attendre tranquillement couché que çà passe! Non!
Je garantis que la poussière a été faite de manière plus que succinte! Par contre, j'ai essayé de bien passer l'aspirateur. Je me rendis compte le lendemain que ce n'était pas terrible non plus. Bref, je me trouvais diverses occupations, ponctuées par des temps de repos surtout destinés à me branler. Eh quoi! C'est l'but du jeu, non?
Le réveil de midi sonna. Enfin! Mouais! J'étais certe soulagé de savoir que quatre heures étaient passées, mais j'étais surtout angoissé de me rendre compte que cela ne faisait que quatre heures alors qu'il m'en restait encore six à passer avant la sonnerie de l'autre réveil.

Je passais donc l'après-midi à diverses choses. Surtout à me branler. Le cul aussi, avec le plug. A aller pisser, souvent, car la respiration difficile devenait de plus en plus pénible, et je trouvais n'importe quel prétexte pour enlever le scotch du trou de la bouche. Le plus évident étant de boire un coup. Je finis pas m'endormir, complètement épuisé par les efforts pour marcher, pour respirer, par les masturbations répétées, etc... Pour faire ma petite sièste, je retirais bien sûr le scotch de la bouche. Il n'aurait pas été malin de s'étouffer en dormant.

A mon réveil, j'avais évidement envie de pisser. Et de remettre le scotch sur la bouche, et de me cogner partout car le cerveau encore plein de sommeil, etc, etc, etc..... Au bout d'un moment quand même, je me mis un peu à paniquer. Il y a toujours un moment dans ces situations où l'on craque. Il faut alors essayer de se calmer, en raisonnant, en se disant qu'il ne doit plus y en avoir pour longtemps, tout en sachant qu'on en sait rien du tout. Il faut penser à autre chose qu'à ce putain de réveil qui devient alors la chose la plus importante au monde. Tiens! Et si je sortai la caméra et le pied pour me filmer. Allez! Cà va m'occuper un moment. J'installais donc le matos, au pif, si je puis dire, et me filmais. Faisant tout en aveugle, les seuls plans utilisables furent ceux que vous avez vu. C'était bien la peine de s'emmerder toute la journée!

A propos de journée, on en est où là? Commence à en avoir marre! Et de craquer de nouveau, et ce coup-ci pour de bon. Je ne supportait plus cette cagoule, ce plug, ce ligotage. Je ne supportait plus rien mais décidai quand même de garder le plug et les jambes attachées jusqu'au bout. Je me mis donc à chercher une paire de ciseaux dans la cuisine et revint au salon pour m'asseoir sur le canapé afin de découper tranquilement le scotch qui m'entourait la tête. Doucement! Il ne s'agit pas de ce blesser maintenant. Ce serait un peu con!

Quel soulagement! Enlever cette cagoule fut une délivrance. Pour fêter çà, je me branlai un coup. Ben voyons, je n'ai fait que çà de la journée, à tel point que j'avais la bite toute enflée. Dernière éjaculation en même temps que de belles contractions anales et je me libérai totalement. Par curiosité, je suis aller voir l'heure et là, n'en revint pas. Il était vingt heure trente. Le réveil avait bien sonné, mais je suppose que c'était pendant que je dormais. Putain! Deux heures et demie après l'heure que j'attendais avec tant d'impatience.

Merde, çà vaut bien une p'tite branlette!..........

Par Anatole - Publié dans : anatole
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Samedi 17 février 6 17 /02 /Fév 13:43

 

  Hello  Choses promises, choses dues. Voici donc Anatole qui s'inflige une petite correction.

Oui,oui, il s'agit bien de moi!
Smile Ben quoi...? Pourquoi n'aurais-je pas le droit de parler de moi à la troisième personne? Un peu de prétention ne fait pas de mal. Bon d'accord! Moi prétentieux, çà le fais pas. Je pense que vous l'avez compris à la lecture de mes articles. Si par malheur, à un moment vous me trouvez prétentieux, dites-le moi, par pitié. Je corrigerais le tir immédiatement.

Pour cette séance, je décidai de m'habiller en jaune. J'ai un beau maillot de bain féminin une pièce en spandex jaune brillant. J'adore ce vêtement, car étant trop petit pour moi, il me colle bien au corps et l'entre-jambe est bien serrée.
Embarrassed De plus, je me suis dit que le jaune allait mettre en valeur le rouge qui ne manquerait pas d'apparaître sur mes fesses. OK, là c'est un peu raté, ce n'est pas franchement évident à l'image. Mais je vous assure que mes fesses étaient bien roses et que je l'ai bien senti pendant quelques heures.

         

En plus du maillot de bain, j'ai enfilé une paire de bas en latex que j'ai fait tenir en haut de mes cuisses avec mes bracelets et chevillères en cuir. Histoire de faire joli d'abord, puis pour bien serrer les muscles de mes cuisses afin de bien les sentir lors de mes mouvements.

C'est parti! Sur les images fixe tirées de la vidéo, on ne voit pas bien que je frappe réellement. Mais je vous assure que j'y vais, bien que ce ne soit pas la séance la plus brutale que je me soit infligé. Il y en a eu une où j'ai eu des marques pendant deux jours mais je ne retrouve pas la vidéo.
Pouty Ne vous inquiétez pas, je continue les recherches.

   

Je commence donc par des coups de badine. En fait de badine, c'était, vous allez rire, l'antenne de l'auto-radio de la voiture que j'avais dévissée. En carbone flexible, elle était parfaite.

           

Ensuite, le martinet en cuir. Je l'avais payé cher celui là mais il est impeccable et çà fait quinze ans que je l'utilise sans qu'il ne ce soit abîmé d'un iotat.

      Thumbs Up

Là, çà commence à chauffer sérieux.
Je recommence donc avec la badine.

   

Changement de position. Je ne sais pas pourquoi je le dis puisque vous pouvez le voir. Bavard comme je suis, c'est histoire de dire quelque chose. Pour continuer à chauffer la bête, une fessée. Cà, çà chauffe bien!

         

Puis de nouveau le martinet. Là, j'ai morflé. Quelques lanières du martinet ont atterri directement sur mes testicules.
Crying 2 Ouille, ouille ouille!

   

Sérieux, là je ne fais pas semblant pour le film. Cela me fait réellement mal. Mais je pense que c'est çà qui vous excite. Non? Moi si!

Donc je continue mais en me protégeant les couilles. En me flagellant moi-même, je ne peux pas franchement bien viser et les lanières de cuir s'abattent un peu au hasard.

Un autre intérêt de ce martinet, est son manche en cuir légèrement rembouré ayant la forme d'un god. Je pense que des explications quant à l'intérêt manifeste de ce genre d'accessoire ne sont pas nécéssaires.

         

Ensuite, je maintiens le god en place grace à l'entre-jambe du maillot de bain. Très pratique.
Et moi pas mal ridicule avec cette queue de cheval qui sort de mon cul.
Laughing 1
Encore que je trouve çà joli. Mais bon, les goûts et les couleurs....

         

Puis, la branlette qui va bien. Obligé! J'avais tellement chaud au cul.........

         

         

   

Je me souviens très bien qu'après cette séance, je me suis rahabillé en "civil" par dessus cette tenue et suis sorti acheté je ne sais plus quoi. Des clopes certainement. Quand je dis sur cette tenue, il est évident que c'est sans la cagoule. Par contre, j'avais toujours le martinet enfoncé dans l'anus avec les lanières séparées en deux moitiés pendant le long de mes jambes sous mon pantalon. Ce n'était bien sûr pas un jean moulant.


A plus pour de nouvelles aventures.....

Bisous à toutes et à tous. Hello


Le Film

Par Anatole - Publié dans : anatole
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Jeudi 15 février 4 15 /02 /Fév 19:45

Oui, je sais!

J'avais promis un film dans lequel je m'échauffe les fesses à coup de martinet. Cà vient, çà vient!
J'ai eu quelques problèmes. En fait j'ai eu la totale. 
Thumbs Down  
Deux crashes de disque système en un mois. Il est vrai que je l'avais réinstallé un peu à l'arrach'. De plus, je me suis fais virer mes videos de l'hébergeur où je les avais mises. Donc, le temps d'en trouver un autre et de les y télécharger, je vous mets un INTERLUDE. Comme à la bonne vieille époque de la télé de mon enfance. D'ailleurs, les plus anciens reconnaitrons la musique du petit train rébus. Vous vous souvenez?

Le Film

Pour plus d'info sur ce p'tit train, cliquez ici ou  

et pour faire passer le temps:

LATEX !

Par Anatole - Publié dans : anatole
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Samedi 10 février 6 10 /02 /Fév 10:14

 

Et si on revenait à nos classiques? Enfin, quand je dis "nos"   classiques, je devrais plutôt dire MES classiques. C'est vrai quoi! De quel droit je m'arroge le pouvoir de vous inclure dans mes fantasmes. 
Bow Down  

D'un autre côté, si vous lisez ce blog .......  Laughing 1  

Revenons à nos moutons. Dans ce film, je retourne à mon fétichisme du nylon. Avec le latex, c'est mon préféré. En fait non! Mon préféré c'est les chaussures à talons hauts. Enfin bon, c'est pas facile de faire un classement. Mais les talons hauts c'est quand même ce qui me fait le plus craquer. D'ailleurs, pendant que j'écris ces lignes, je porte des talons de quinze centimètres.

Tout çà pour introduire (de manière lamentable je vous l'accorde) un film où vous aller me voir me tortiller et me masturber habillé en collant. Effectivement, dit comme çà, cela n'a rien de bien excitant.
  No  
Cela n'a en fait peut-être rien de bien excitant du tout. Peut-être que çà n'excite que moi et que vous en avez rien à foutre. Ce serait tout à fait vraisemblable.

Mais comme je disais plus haut, si vous êtes encore là à lire ces lignes c'est que .....

  ROTFL  

Allons-y! Voilà le sujet

              

  Clapping Hands  Quand je disais que c'était moi en collant, c'était assez bien résumé.

Là je vois sur les photos mes chaussures complètement destroy. Explication: La veille ou quelques jours avant, je ne me souviens plus très bien, j'étais aller acheter ces collant en vue d'une soirée avec ma partenaire du moment. Cette fille adorait les hommes en collant. Elle trouvait particulièrement sensuel de jouer avec un sex masculin emprisonné sous le nylon. J'avoue que j'étais particulièrement d'accord avec elle. Nous avons donc eu des ébats mouvementés et comme je portait ces sandales, il n'a pas fallu longtemps pour que les talons cassent.

  Grrr   C'est mon problèmes avec ces chaussures. D'ailleurs, si quelqu'un a une solution à me proposer.

Il a donc fallu que je rafistole les chaussures. J'ai fais çà comme j'ai pu. Je parlais donc du sexe sous le nylon.

           
        

AAaahh! Les caresses sur le nylon......  Roll  

     

Quelques vues de mon petit cul...

     

  Bugging Out  Qu'est-ce que vous voulez que je vous raconte à ce propos? Y'a qu'à regarder!

        
        
        
     

Bon, c'est un peu long, d'accord! Et encore, j'ai coupé à mort au montage. Mais que voulez-vous, j'aime trop cette matière gainante, translucide et brillante.

  Bounce  Comme d'hab., il y a une petite partie légèrement SM à la fin. Ben oui, faut c'qu'il faut! J'suis comme çà et puis de toute manière c'est moi qui décide! NA! Je vous fais une petite introduction à un ustensile que j'affectionne particulièrement: le martinet. D'ailleurs, l'article suivant sera à ce propos. Promis juré!

        
        
  Embarrassed  Après tout çà, il est un peu normal que je me laisse aller.

  

Le Film

Par Anatole - Publié dans : anatole
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Samedi 10 février 6 10 /02 /Fév 08:29

Je reproduit ici un article que j'ai posté sur le Forum Sexualité de Doctissimo. J'y raconte une séance de self-bongage qui aurait pu mal se terminer.
  Phew  

C'était chez des amis qui m'avaient prêté leur appart pour les vacances. Cet appartement était un grand studio en rez de chaussée avec une grande baie vitrée de quatre ou cinq mètres donnant sur un petit jardin privatif dans une cour intérieure. Manque de bol pour le côté vacance et grasse matinée, l'immeuble était en ravalement et dès huit heures du matin des ouvriers faisaient un raffut d'enfer.
En fait il bossaient mais pour moi impossible de faire une grasse mat. Cela ne me gênait pas trop outre mesure, je suis un lève tôt et de toute manière, j'était là pour visiter la région donc peu à la maison. Pour le ravalement, des échafaudages étaient placés le long des murs extérieurs (logique) et les ouvriers passaient tout le temps devant la baie vitrée en traversant le jardin privatif transformé en champs de bataille par les travaux. Comme c'était l'été, lorsque j'était à la maison, la baie vitrée était ouverte. En quelques jours j'ai plus ou moins copiné avec eux, ne serais-ce qu'en leur offrant du café lorsqu'ils arrivaient le matin et que j'étais en train de prendre mon petit déjeuner.
 
Vers la fin du séjour, l'idée m'est venue d'utiliser le fait que ces ouvriers travaillent devant chez moi pour pimenter une séance de self-bondage. Je sais qu'ici peu de gens sont adeptes de ce genre de pratique mais je me permets quand même de relater cette expérience.
 
La veille au soir, je commence la préparation de ma séance. La baie vitrée comportait un rideau roulant à l'extérieur et un rideau en velours épais à l'intérieur supporté par une tringle à anneaux toute simple. Je laissai le volet extérieur ouvert et fermai le lourd rideau intérieur. Je dévissai les fixation de la tringle de sorte qu'elle ne fut plus que posée sur les pattes fixées au mur. Je mis à chaque bout de la tringle une cordelette d'environs cinq mètres.
 
Je plaçai ensuite au milieu de la pièce, devant la baie vitrée, une chaise en bois toute bête prise dans le coin cuisine. Les cordelettes arrivaient jusqu'à la chaise. En tirant dessus, je tirais sur letringle et celle-ci tombait lourdement sur le sol, découvrant la baie vitrée et permettant au gens de l'extérieur de voir à l'intérieur. Vous commencez à voir le topo? Bon, remise en place du rideau et préparaton de ma personne.
 
Je me mis nu, rasai proprement mon sexe et mon anus et m'habillai en sous-vêtement féminin. Bas de nylon noir, porte-jaretelles noir, serre-taille en vinyl noir laqué brillant et serré fortement. Sans oublier les escarpins rouges à talons de quinze centimètres et des gants longs en satin rouge. Je me mis sur les tétons des pinces comportant une fixation sur laquelle étaient placés normalement des poids. Je forçai le pincement en rajoutant par dessus chaque pince une pince à linge. Je m'injectai ensuite une bonne dose de flotte mélangée à de la glicérine dans le rectum. Je ne suis pas allé chier de la journée en prévision de cette soirée et pour ne pas perdre ni l'eau ni le reste, je me bouchai l'anus avec un god gonflable. Ce dernier était équipé d'un vibrateur à brancher sur le secteur. Ainsi équipé, je continuai la préparation de mon lieu de torture.
 
Je plaçai devant la chaise un aspirateur dont j'avais enlevé le balais, ne gardant que le tuyau. C'était un aspiratur à eau. Le détail a son importance, vous verrez plus tard. Je le branchai sur un dispositif que j'avais découvert quelques jours auparavant. Il s'agissait d'un programmateur secteur qui reliait l'appareil branché au secteur de manière aléatoire. Mes amis s'en servaient pour simuler une présence en leur absence en y branchant des lampes et la radio. Il y avait deux programmateurs. Donc, je branchai l'aspirateur sur le premier et une rallonge que je tirai jusqu'à la chaise sur le second. Je continuai ensuite ma préparation perso.
 
Je me confectionnai un "ring gag", un baîllon anneau. Je ne sais pas comment on peut traduire cela. J'avais découvert dans un tiroir deux anneaux de la tringle à rideau. C'étaient des anneaux en trop que mes amis avaient gardé au cas où. J'en pris un. C'était un anneau épais en bois d'environs quatre ou cinq centimètre de diamètre. Je le mis en bouche, m'écartant très largement les mâchoires. Je le fixai derrière la nuque grâce à une ficelle partant de chaque côté de la bouche. Il ne pouvait plus sortir de ma bouche et m'obligeait à garder la bouche grande ouverte. Je trouvai deux baguettes chinoise pour manger. Elle étaient en bois verni. Je les assemblai grâce à deux élastiques placé à chaque bout. Les écartant avec mes doigts, je mis ma langue entre les baguette et lâchai le tout. J'avais quand même fait en sorte que les élastiques ne soient pas trop fort pour ne pas trop pincer la langue. Je savais que je partais pour quelque heures de bondage et qu'il fallait que je les supporte tout le long.
 
J'avais préparé le matin un dispositif me permettant de me libérer au bout de quelques heures. Pour cela, j'ai simplement trempé une paire de ciseau dans un verre d'eau mis au congélateur. Les bouts des ciseaux se retrouvaient enrobés de glace et ils fallait attendre que celle-ci fonde pour pouvoir se servir des ciseaux. Je fixai les ciseaux dans leur bloc de glace au dossier de la chaise sur l'un des deux pieds arrières. A chaque pied arrière, au niveau de l'assise, je mis une boucle en corde faite d'un noeud coulant. Ce sera pour mes poignets. Avec le poignets gauche, je pourrais ainsi attraper les ciseaux et couper les liens, me permettant ainsi de me libérer. Avant de continuer, je suis aller boire une grande quantité d'eau. Pas facile en tirant la langue bouche grande ouverte.
 
Je pris ensuite un rouleau de film cellophane, une cordeltte de cinq six millimètres de diamètre achetée auparavant dans un magasin de bricolage, un foulard et allai ramasser les deux bouts de ficelle attachés à la tringle à rideau. Je m'assis sur la chaise, face à la baie vitrée. Je branchai le plug à la rallonge, et appuyai sur le bounton de mise en marche de l'apirateur. J'avais réglé les programmateurs pour qu'il commencent leur cycle aléatoire une heure plus tard. Cà n'a pas été simple, j'ai eu du mal à comprendre comment çà marchait mais j'y suis arrivé. Bref, ceci est une autre histoire, intitulée comprendre un mode d'emploi traduit en français du koréen. Donc, je fixai ensuite à chaque pinces à seins l'autre bout de chacune des ficelles reliées à la tringle. Je le fis de sorte que la ficelle soit bien lâche car je n'étais pas encore tout à fait prêt. Il fallait encore que je m'attache à la chaise.
 
Pour cela, je plaçai chaque cheville contre une jambe avant de la chaise à l'extérieur et enroulai le cellophane autour. Je me retrouvai donc cuisses écartées, chevilles et mollets fixés à chaque jambe avant de la chaise. Je pris en suite un bout de cordelette que j'enroulai autour de mes testicules avant de l'attacher au barreau de la chaise reliant les deux pieds avant. Je me reculai ensuite le plus possible vers le dossier de la chaise, étirant mes testicules et sans que mon dos ne touche le dossier. Avec une autre corde, je m'attachai le bassin au bas du dossier afin de m'empêcher d'aller vers l'avant pour soulager mes testicules. Je me retrouvais donc attaché à la chaise, ne pouvant ni avancer, ni reculer mes fesses.
 
Je pris ensuite le tuyau de l'aspirateur, plaçai ma verge à l'intérieur et maintins le tout en attachant le tuyau de l'aspirateur à ma cuisse droite. Pourquoi la droite? Pourquoi pas. Je réglai ensuite les cordelettes des pinces à seins de sorte que cela tire sur mes tétons. Je devais maintenant faire attention à bien me tenir droit et à ne pas reculer mon buste au risque de faire tomber les rideaux. Je pris le foulard et me bandai les yeux. Avant de me bander les yeux, je vis qu'il était trois heures et demi du matin.
 
Il ne me restait plus qu'à mettre les poignets dans les noeuds coulant des pieds arrières. Je pris une grande respiration et mis mes poignets dans les boucles, et tirai pour les serrer. Je ne pouvait plus me libérer sans les ciseaux. Je n'avais plus qu'a attendre que le glace fonde. Je pris la poire de gonflage de mon plug anal dans la main gauche et commençai à jouer avec.
 
Je récapitule le topo. Je suis attaché à une chaise, habillé en dessous féminin, les testicules étirés vers l'avant, le cul rempli d'eau glycérinée et de merde, bouché par un plug gonflable, les tétons fixés à la tringle à rideaux, la bouche grande ouverte forcé de tirer la langue. Les yeux bandés, je ne voyais rien. Si je faisais tomber les rideaux maintenant, je serais à la vue de quiconque passerait dans la cour sans pouvoir me libérer puisque le bloc de glace empêchait de se servir des ciseaux. De plus, j'aurais été bien visible car je me suis rendu compte que je n'avais pas éteint la lumière.
 
Et donc, d'attendre, assis bien droit sur la chaise. En ces moments, il se passe plein de chose dans la tête. Des fantasmes, des idées excitantes qui faisaient que ma verge était en erection dans le tuyau de l'aspirateur. Je jouais avec la poire de gonflage du plug, le gonflant et le dégonflant, m'excitant le rectum et l'anus. Mes intestins gargouillaient de l'eau que j'y avait injecté et la glycérine facilitait le glissement de la merde vers l'anus bouché.
 
Une demi heure après, je sursautai lorsque le vibrateur du plug se mit en marche. Cela eut pour effet de tirer sur mes tétons qui commençaient sérieusement à me faire mal et sur mes testicules. Mais l'effet principal fut quand même une vague de plaisir dans mon bas-ventre. Je gonflai alors le plug à la limite pour accentuer encore le plaisir. C'est alors que l'aspirateur se mit en route. De surprise, je lâchai la poire de gonflage alors que le tuyau aspirait mon pénis en une succion infernale. Bon sang que c'était bon. La bite sucée violement, le cul dilaté par un plug gonflé fortement et vibrant. Des contractions de mes intestins apparurent, essayant d'expulser le plug trop gonflé qui de toute manière ne pouvait pas sortir puisque j'étais assis dessus et ne pouvais pas me lever de la chaise. Je voulu reprendre la poire de gonflage afin de dégonfler un peu le plug. Pas trop, sinon je me chiais dessus. Malheur, en la lâchant, elle s'est mis à pendre derrière, entre les deux pieds arrières de la chaise, hors de portée de mes mains. Merde! Je ne pouvais que rester avec le plug gonflé à mort. Je commençais à sérieusement bouger sur la chaise, plus par reflexe qu'autre chose car je savais bien qu'il fallait que je reste le plus immobile possible. Mais j'avais de plus en plus de contractions anales. Ce n'était pas encore des orgasmes, mais ce n'était pas loin. Et ce putain d'aspirateur qui continuait à me sucer. Je commençai à paniquer, à essayer de me leve par reflexe, tirant dangereusement sur mes tétons.
Bon sang, il fallait que je me calme. J'essayais de respirer doucement et calmement par ma bouche ouverte et sèche. Mais à chaque contraction sortait un râle de plaisir.
Soudain, le plug s'arrêta. Quel soulagement de ne plus avoir ces vibrations. Même s'il était toujours trop gonflé, cela à calmé les ardeurs de mes intestins. Par contre, l'aspirateur continuait son travail. OK, cela allait mieux côté cul, mais cela ne faisait que porter plus mon attention sur la succion de ma bite. Je n'étais pas loin de l'éjaculation quand l'aspirateur s'arrêta. Le con! Putain, pas maintenant! Excellent! Bonjour la frustration.
 
Ce petit jeu a continué pendant quelques heures, avec maints orgasmes du cul et maintes éjaculations dans le tuyau de l'aspirateur. Je m'étais même chié dessus lors d'une de ces poussées orgasmiques. Après la deuxième éjaculation, je me mis à pisser dans le tuyau. Cela faisait trop longtemps que je me retenais. Le soulagement fut spectaculaire d'autant que le plug se mit à vibrer à ce moment là.
Je n'avais plus de notion du temps, je ne savais pas s'il faisait déjà jour. Je commençai à en avoir marre. J'avais pris plusieurs fois mon pied, l'excitation me permettait d'endurer les souffrances avec plaisir, mais là, mes testicules, mes seins me faisaient mal. Ma langue aussi. Les baguettes qui l'écrasaient faisaient mal. De plus, comme le reste de la bouche, elle était toute sèche. Même mes chevilles me faisaient mal, à cause de la position éxigée par les talons de quinze centimètre.
 
Bon, il est temps que je me libère. Je tire sur la corde des ciseaux et les ramène dans ma main gauche. Ces mouvement me font bouger sur la chaise, d'où nouvelle excitation de mon anus toujours aussi dilaté et douleur sur mes seins pincés depuis trois, quatre heures. Peut-être plus, je ne savais plus. Enfin, j'arrive à attraper les ciseaux et je me rends compte avec horreur que le bloc de glace est loin d'être fondu. Merde, j'ai mal prévu la fonte. Ou le bloc est trop gros. J'essaies alors de le faire fondre plus vite en le gardant en main mais au bout de dix minutes je ne sents plus mes doigts et suis obligé de le lâcher.
Merde, faut attendre. Pour le coup, les douleurs se font plus intenses puisque j'y pense.
 
Je commence à m'endormir, en me penchant vers l'avant de ce que je peux avec mes poignets attachés derrière. Je ne veux surtout pas risquer de faire tomber les rideaux. Bon, ce n'est pas très agréable car çà tire sur mes couilles mais on va faire avec. Et v'là le plug qui se mets à vibrer. Je commence à angoisser en pensant qu'à un moment ou un autre, l'aspirateur aussi va se remettre en marche. Ce qui arriva bien entendu.
 
Je pourrais continuer les descriptions de ces moments particuliers dont je me souviens pendant longtemps, mais le sujet était ma "mauvaise" expérience. Pour l'instant, tout ce que je décris est plutôt une bonne expérience. En fait, cela s'est terminé par la plus grande peur de ma vie. Ce qui devait arriver arriva.
 
Sérieux, je n'en pouvait plus. Ma tête explosait à chaque contractionanal qui continuait et continuerait temps que le plug serait gonflé à bloc et temps qu'il se mettait à vibrer. A chaque fois mon bas-ventre était secoué de tremblement. Dès que je bougeais un peu, mes fesses glissaient sur la merde qu'elles étalaient. Et puis bonjour l'odeur, surtout la bouche grande ouverte prête à vomir.Mon anus était si bien dilaté, que je suis sûr que si je n'était pas assis dessus, le plug pourrait sortir. D'autant qu'il n'est pas en dur, il peut se déformer. J'ai essayé en faisant le plus attention possible, de soulever mon cul au maximum de la chaise pour faire sortir le plug. Il a commencé à sortir, dilatant encore plus ma rondelle, m'exitant d'autant plus. Mais il ne pouvait pas sortir complètement. Je poussais alors à fond, expulsant de le merde liquide au passage et enfin, le plus large passa l'anus, me procurant une jouissance d'enfer. Mais, il y en avait encore un bon tiers dans l'anus. C'est à ce moment que l'aspirateur se mit en marche. De surprise je me rassis brusquement sur la chaise, donc sur le plug, qui rentra d'un coup, tout gonflé, dans mon rectum. Je ne pourrais dire si c'était de la jouissance ou de la souffrance que j'ai alors ressenti, mais l'explosion dans ma tête fut terrible, ainsi que le râle qui sortit de ma gorge sèche. Une douleur fulgurante envahi mes tétons lorsque mon dos tomba sur le dossier de la chaise et que les pinces tirèrent sur la tringle à rideau qui évidement tomba.
Mon Dieu! Merde, merde merde! Vite les ciseaux! Et c'est là que j'éjaculai pour la nième fois dans le tuyau qui me sucait. J'espère que la glace a fondu! J'avais complètement oublié les ciseaux. Et une contraction énorme de mes sphincters pour dégager l'intru. Où est le bout de corde? Cà y est je l'ai! Vite vite. On peut me voir en train de jouir assis dans ma merde! Ouf! Les ciseaux sont libres, Merde je n'arrive pas à les prendre, ah si ,çà-y-est. Vite! On peut me voir. Et je continuai d'éjaculer! Ma main gauche fut libre et là je fit une connerie qui accentua encore mon desespoir, j'enlevai le bandeau de mes yeux. Non seulement j'était éblouis, mais en plus, je voyais ce qui se passait dehors, en plein jour. Heureusement, il ne se passait rien. Rien de rien, mais à tout moment les ouvriers pouvaient arriver. Un regard sur la pendule m'apprit qu'il était huit heures moins dix.
Bon sang, quiconque passait dans la cour pouvait voir un mec habillé en femme, attaché par les jambes et par les couilles à une chaise, le cul baignant dans la merde et les seins attachés aux rideaux qui trainaient par terre. Sans parler de la gueule bizarre que lui faisait son baillon et de l'aspirateur qui lui bouffait la bite. Ridicule, non, pathétique.
Toujour est-il que je prenais un putain de pied d'enfer, mais c'était en même temps la plus grosse angoisse de ma vie.
 
Là, c'était la panique totale. Je me libérai rapidement, et me précipitai à la fenêtre pour remettre les rideaux en place. Evidement, après avoir été immobilisée pendant quatre heure et demie dans une position pas naturelle, les chevilles ne tinrent pas le choc et, me prenant les pieds dans l'aspirateur toujour attaché à mon sexe, je m'affalai de tout mon long sur les rideaux. Je me relevai rapidement et remis les rideaux en place juste à temps. A peine je m'étais légèrement reculé pour regarder si je n'avais pas mis de la merde sur les rideaux que j'entendai les ouvriers arriver. L'aspirateur continuais sa succon, le plug continuais à vibrer et moi, je me mis à me branler derrière le rideau avec le tuyau d'aspirateur dans une main et le plug dans l'autre. Le sang qui affluait dans mes tétons accentuait encore mon plaisir et la jouissance fut une fois de plus extrême. D'autant que là, je me voyais en pied dans un miroir. Debout sur des talons hauts, bas noirs, corset noir, la bouche ouverte tirant la langue et me  branlant avec un aspirateur. Il en faut pas beaucoup plus pour que çà explose.

A la remarque d'une forumeuse qui trouvait dommage que je ne me soit pas filmé j'ai répondu:

Eh non! Je ne me suis pas filmé. C'est d'autant plus con, qu'étant en vacances, j'avais un caméscope et, de plus, il était muni d'une télécommande. J'aurais pu effectivement placer le camescope en plan fixe et enregistrer de temps en temps pour économiser le K7 de 30mn (S-VHS C). Mais j'avoue que dans l'excitation (et la concentration) de la préparation je n'y ai pas pensé.
De toute manière, vu la panique à la fin, je n'aurais certainement pas appuyé sur le bouton d'enregistrement de la télécommande....
Encore que.... Je pense être suffisement pervers pour penser à çà qd même.
Bounce



Par Anatole - Publié dans : anatole
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