Lundi 9 juillet 1 09 /07 /Juil 12:18
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Une jeune femme marchait dans la rue d’un pas décidé. Elle portait un petit chemisier blanc, de fins gants noirs et une jupe qui moulait ses fesses et ses cuisses pleines et s’arrêtait au-dessus des genoux. Elle marchait fièrement cambrée, ondulant des hanches, juchée sur les hauts talons de ses escarpins vernis noirs, ses jambes gainées de bas noirs et brillants.
Elle arriva à la porte d’un immeuble, chercha un petit papier dans son sac à main, le lit et composa le code d’entrée. La serrure électrique claqua. La jeune femme poussa la lourde porte en bois et entra.
Sur le palier, devant une porte, elle appuya sur le bouton de la sonnette. La porte s’ouvrit.
Une voix d’homme.
- Madame ?
La femme timidement en baissant légèrement le regard.
- Je suis la femme dont le mari vous a téléphoné.
- Ah oui, répondit l'homme! Je vous attendais. Entrez!
La jeune femme entra et pénétra dans le salon de l’appartement. Un canapé, une table basse, un fauteuil et un buffet. Elle entendit la porte qui se refermait et se retourna vers l’homme qui la suivait et lui dit d’une voix mal assurée.
- Mon mari vous a-t-il prévenu qu’il sera légèrement en retard?
- Oui, oui. Je suis au courant, répondit l’homme en tendant le bras vers le fauteuil. Mais je vous en prie, asseyez-vous.
- Merci.
Mal à l’aise, elle s’assit dans le fauteuil face à l’homme en lissant sa jupe. Timide, elle plaça son sac à main sur ses cuisses jointes à l’endroit de l’ourlet de la jupe.
- En attendant que votre mari arrive, permettez que j’aille me changer, demanda l’homme d’une voix douce.
La femme n’osa pas regarder l’homme en face.
- Je vous en prie, faites, balbutia-t-elle.
- Merci.
L’homme tourna les talons et sortit du salon. La femme resta seule. Toujours très mal à l’aise, elle retira ses gants en regardant autour d’elle et les mit dans son sac qu’elle posa par terre, à côté d’elle. Elle se tortillait dans le fauteuil, lissant machinalement le bas de sa jupe sur ses cuisses. Son trahissait l’angoisse. Son regard errait dans la pièce. Cherchant une position assise qui lui conviendrait, elle croisait et décroisait ses jambes provoquant le crissement de ses bas. Le mouvement de ses cuisses repoussait petit à petit la jupe, laissant entrevoir un peu de la peau blanche de ses cuisses entre le haut des bas et le tissu de la jupe.
La sonnerie d’un téléphone portable retenti doucement. La jeune femme sursauta. Ses mains se précipitèrent sur son sac qu’elles ouvrirent nerveusement. Elle en sortit le portable qui sonnait, le porta à son oreille et répondit.
- Allô? ...
Elle fut surprise.
- C’est toi mon chéri? Mais où es-tu? Nous t’attendons! ... A la maison? Mais qu’est ce que ...
Elle se leva.
- Quoi? Tu ne viendras pas? Mais! Et moi? ... Je reste? Mais! ...
Elle écoutait, en marchant lentement vers la fenêtre, dos à la porte du salon. Sa surprise se transformait en angoisse.
- ... Mais! ... Que je quoi? ...
Elle se tut, médusée par ce que disait son mari. L’homme apparut derrière elle. Il était habillé d’amples vêtements de cuir noir, portait une cagoule de la même matière qui lui cachait le visage, découvrant seulement ses yeux et sa bouche. La femme paniquait.
- Allô? ... Allô! Mais qu’est ce que c’est que cette plaisanterie, cria-t-elle! ... Allô!
La jeune femme regardait le téléphone qu’elle avait éloigné de son oreille, très perplexe.
- Vous avez bien entendu, lui confirma l’homme.
La femme sursauta en poussant un cri. Elle se retourna, surprise à la vue de son accoutrement. Elle tenait toujours son téléphone dans la main, contre sa poitrine.
- Ce stratagème a été mis au point par votre mari afin que vous veniez seule ici, lui expliqua l’homme en cuir. Vous resterez en ma compagnie pendant quelques jours.
- Mais! ... Et mon ... commença la jeune femme interrompue par l’homme.
- Et votre travail? Ne vous inquiétez pas!
Il s’approcha d’elle, lui prit le téléphone et l’éteignit.
- Votre mari les a prévenus. Vous a-t-il expliqué au téléphone les raisons de votre présence ici?
La jeune femme acquiesça d’un signe de tête, baissant les yeux et rougissant de honte.
- Répondez-moi s’il vous plaît! Que vous a-t-il demandé?
- De vous obéir en tout, quoique vous demandiez, répondit-elle d’une petite voix hésitante.
- Bien! Placez-vous au milieu du salon madame s’il vous plaît!
La jeune femme, comprenant que sous le ton aimable et courtois la requête de l’homme était en fait un ordre, s’exécuta. L’homme la contourna en la regardant et alla s’asseoir dans le fauteuil qu’elle occupait précédemment.
- Montrez-moi vos jambes, voulez-vous?
Hésitante, elle adressa à l’homme un regard dans lequel passa une lueur d’affolement. Le visage de l’homme, sous la cagoule demeurait imperturbable. Alors, elle fit ce qu’il venait de lui demander et, de ses deux mains, elle releva sur ses cuisses l’ourlet de sa jupe qu’elle remonta jusqu’en haut de la lisière de ses bas.
- Plus haut! Je veux les voir toutes entières, lui ordonna-t-il.
Elle obéit encore, et releva le tissu jusqu’à son ventre pour lui dévoiler la totalité de ses cuisses blanches entre lesquelles se distingue une petite culotte de satin blanc brillant.
- Vous êtes délicieuse de gêne, dit-il avec un léger sourire amical. Veuillez, je vous prie, tourner sur vous-même.
La jeune femme s’exécuta et l’homme eut alors la révélation de l’ampleur somptueuse de sa croupe tendant la coquette culotte qui galbait intimement les deux hémisphères.
- Montrez-moi vos seins maintenant, s’il vous plaît!
Elle lâche la jupe, qui, étroite et moulante, ne retomba pas complètement, et entreprit de déboutonner son chemisier avant de l’écarter des deux mains pour dégager une poitrine splendide simplement soutenue par deux petits balconnets.
- Relevez votre jupe et marchez!
Après une brève hésitation, elle se mit à aller et venir latéralement devant l’homme qui la suivait des yeux. Elle avait le corps bien droit, le buste cambré faisant saillir ses seins qui tremblaient doucement à chacun de ses pas. L’homme la fit se déplacer de gauche à droite et revenir, puis d’avant en arrière, se retourner et recommencer encore, jouissant tour à tour de la vue de ses hanches balancées qui désaxaient les fesses mouvantes en les projetant d’un côté et de l’autre, de sa taille flexible, de son ventre, de sa fente troublante dont on devinait les lèvres épaisses et pulpeuses sous le satin, de ses seins enfin, dont la quasi-nudité, comme celle de sa croupe et de son ventre, était rendue plus suggestive par la présence des vêtements simplement repoussés.
L’homme la fit s’arrêter devant lui.
- Accepteriez-vous, comme vous l’a demandé votre mari, de vous donner à moi?
- Oui, répondit la jeune femme, les lèvres tremblantes.
- Alors, s’il en est ainsi, baissez votre slip, dit-il, écartez les jambes et ouvrez largement votre sexe de vos doigts pour me demander de vous prendre.
La jeune femme le regardait les yeux écarquillés, semblant ne pas comprendre ce qu’on lui demandait.
- Allez! Faites-le et dites: Je veux être à vous, prenez-moi!
La jeune femme obéit et roula son slip sur ses hanches avant de le faire glisser, en se tortillant légèrement, jusqu’à mi-cuisses, découvrant son sexe fraîchement rasé. Puis, s’ouvrant comme l’exigeait l’homme, elle prononça, les larmes aux yeux, d’une voix sourde, les mots qu’il attendait.
- Je veux être à vous, prenez-moi!
- Venez plus près de moi, demande-t-il. Approchez-vous!
La jeune femme lâcha sa vulve et s’approcha de l’homme.
- Stop, hurla-t-il d’un ton brutal en levant la main!
La jeune femme s’arrêta brusquement en le regardant surprise.
- Je ne vous ai pas dis de lâcher votre sexe! Retournez au bout de la pièce et revenez vers moi en vous écartant la vulve. En partant de là-bas vous me redirez ce que je veux entendre!
Faisant demi-tour, la jeune femme alla se placer au bout de la pièce. Elle se retourna vers l’homme, se pencha légèrement en avant alors que ses mains descendaient vers son sexe, ses doigts attrapant les lèvres de sa vulve, et les écartant très largement en tirant dessus.
Le visage légèrement baissé, la jeune femme refit sa demande en levant des yeux humides sur l’homme.
- Je veux être à vous, prenez-moi!
D’un geste de la main l’homme l’invita à venir vers lui.
La jeune femme, humiliée, légèrement penchée en avant, tenant de ses deux mains les lèvres de sa vulve largement écartées, montrant l’intimité de ses chairs, avança, jambes écartées, à petits pas vers l’homme.
Arrivée devant lui, la jeune femme s’arrêta.
- Montrez-moi la mieux, demanda-t-il.
La vulve devant le visage de l’homme, elle poussa ses fesses en avant pour mieux lui offrir son intimité. L’homme approcha sa main.
Brusquement cabrées, la jeune femme pousse un cri alors que deux doigts volontaires prirent brutalement possession de son ventre. Par réflexe la jeune femme lâcha les lèvres de sa vulve et repoussa la main de l’homme.
- Bon sang, gronda-t-il en colère! Vous ne savez pas ce que vous voulez! Allez! Ecartez-moi ce sexe!
La jeune femme s’exécuta et émit un long gémissement plaintif lorsque les deux doigts de l’homme s’enfoncèrent de nouveau dans son ventre et qu’ils fouillèrent un moment en la secouant d’avant en arrière pour le plaisir de la faire se crisper de douleur avant de la libérer et de lui ordonner plus éprouvante épreuve encore.
- Retournez-vous! Penchez le buste en avant et écartez bien vos fesses pour redire les mêmes mots!
Les yeux brillants de larmes, la jeune femme consentit à l’humiliante exigence et, les seins ballottant, à peine retenus par les petits balconnets du soutien-gorge, prit la pose en offrant à l’homme sa croupe.
- Cambrez les reins mieux que çà s’il vous plaît, demanda-t-il d’un ton toujours très poli.
La croupe superbement tendue, ses doigts crispés et tremblants écartant ses fesses, la jeune femme dévoilait à l’homme l’ultime et secret réceptacle d’une perverse volupté.
- Je veux être à vous, prenez-moi, dit-elle d’une voix mourante!
Cette fois, une plainte rauque s’échappait de ses lèvres qu’elle mordit pour se contenir, tête rejetée en arrière et demeurant offerte aux doigts qui, superposés en sifflet, se foraient un chemin, la raidissant de douleur.
L’homme, commenta simplement.
- Vous êtes encore très étroite.
Il arrêta de la sonder et lui présenta ses doigts effluents.
- Nettoyez de votre bouche, lui ordonna-t-il!
La jeune femme, toujours penchée en avant, la jupe relevée sur ses reins, ses mains écartant les lobes charnus de ses fesses, se retourne vers l’homme et ouvrit les lèvres en arrondissant sa bouche pour y recevoir les doigts humides de ses oeuvres. Elle les lécha jusqu’à ce que l’homme rende libre sa bouche. De sa main il lui caressa la joue et, la prenant sous le menton, il lui releva le visage vers le sien et la regarda dans les yeux. Il la lâcha puis d’un mouvement de la main lui dit de se relever. Elle se redressa devant lui.
- Parfais! ... Remontez votre culotte, dit-il, redescendez votre jupe et placez-vous les mains dans le dos au milieu du salon.
La femme se rhabilla devant le visage de l’homme qui ne la quittait pas des yeux et alla se placer debout au milieu du salon. Elle attendait, les mains dans le dos, la suite des événements.
L’homme se leva et dit :
- Vous allez voir! Je vais prendre grand soin de vous. Je vais faire de vous une autre femme.
Lentement, il s’approcha d’elle et lui caressa doucement la joue. La jeune femme, par réflexes, recula légèrement son visage.
- Laissez-vous faire, dit-il sur un ton rassurant. Durant ces quelques jours vous allez connaître des plaisirs d’une volupté inattendue, croyez-moi.
La jeune femme avait le souffle rauque. Elle était très mal à l’aise.
L’homme descendit ses mains sur son cou et ses épaules. Il écarta les pans du chemisier qu’il fit glisser le long de ses bras, dégageant sa poitrine maintenue par le soutien-gorge dont les étroits balconnets remontaient les seins pour mieux les offrir.
- S’il vous plaît ... Non, murmura la femme!
- Chuuuut, fit l’homme doucement! ... Laissez-vous faire, vous dis-je.
Ses mains caressaient maintenant la poitrine de la femme qui se retint de bouger et de crier en fermant les yeux et en se mordant la lèvre inférieure.
Mais elle craqua au moment où l’homme se pencha pour embrasser seins. Elle ramena ses bras en avant sur la poitrine, voulant, par réflexe, empêcher l’homme.
- Non, dit-elle d’un ton sec en regardant l’homme dans les yeux!
L’homme attrapa les poignets de la jeune femme, les sépara et les maintient doucement mais fermement écartés de son corps. Il soutient son regard et lui dit gentiment :
- Vos bras dans le dos madame s’il vous plaît!
La femme le regardait angoissée. Elle déglutit un coup, ferma de nouveau les yeux et fit oui de la tête. Il lâcha alors ses bras qu’elle ramena, par un gros effort de volonté, doucement dans le dos.
- Bien! ... Merci, dit-il!
Son visage descendit vers les seins de la femme et sa langue et sa bouche se mirent en action. La jeune femme, dont les yeux étaient toujours fermés, sursauta quand la langue de l’homme entra en contact avec sa peau. Ses seins furent caressés, malaxés, embrassés, mordus par les mains et la bouche de l’homme en noir qui finit par remonter, embrassant la jointure des seins, l’épaule, le cou, la joue et tout le visage.
Alors que ses lèvres voulurent rejoindre celle de la femme, celle-ci se rebiffa à nouveau, écartant de ses mains le visage de l’homme, criant presque d’un ton sec :
- Non!
L’homme s’écarta et la regarda.
- Allons, allons, dit-il d’un ton doucereux ... Calmez-vous!
Il la prit par les épaules et la tourna doucement face au mur, lui prit les bras qu’il ramena dans le dos, sans forcer. La laissant ainsi, il recula et alla chercher dans un tiroir un rouleau de ruban adhésif d’emballage.
- Vous n’êtes pas très coopérative madame, lui reprocha-t-il. C’est dommage.
Il se rapprocha de la jeune femme, posa le ruban adhésif par terre et, restant derrière elle, plaqua son corps contre le sien, mit ses mains sur sa taille qu’il caressa, allant du ventre aux fesses. Elles remontèrent le long des hanches pour s’occuper de nouveau des seins. Pendant ce temps sa bouche embrassait et mordillait sa nuque.
Puis il s’accroupit, sa bouche descendant le long de la colonne vertébrale et ses mains, longeant ses bras, s’arrêtèrent aux poignets. Il rapprocha les mains et, pendant qu’il les maintint fermement ensemble d’une main, il attrapa de l’autre le ruban adhésif et entoura rapidement les poignets de la jeune femme avant que celle-ci ne puisse s’en rendre compte.
La lâchant, il se releva et la regarda. Elle se rendit compte que ses mains étaient entravées. La panique la fit se trémousser et se tortiller alors que visiblement cela ne servait à rien.
L’homme lui dit d’un ton plus familier :
- Calme-toi ma jolie. Ainsi tu garderas les mains dans le dos!
Il s’approcha d’elle et entreprit de lui ligoter les bras dans le dos. Il serra les coudes de la femme ensemble avec le ruban adhésif avant de refaire au propre le lien de ses poignets. Il la prit par les épaules et la retourna face à lui. Reculant, il l’admira quelques secondes. Elle gémit doucement en se tortillant légèrement pour libérer ses bras. Cela n’eut comme effet que de faire joliment bouger ses seins.
- Tu es superbe ainsi, la complimenta-t-il.
L’homme se retourne et va vers la commode.
- Et je vais te rendre plus belle encore!
- Qu’allez-vous faire de moi, demanda-t-elle le suivant du regard?
- Te faire jouir, répondit-il en fouillant dans le tiroir! Puis, tournant la tête vers elle :
- Simplement te donner du plaisir. Tu es venue pour ça non?
Il sortit un paquet de mouchoir en papier et une écharpe blanche, revient vers la jeune femme en ouvrant le paquet. Il sortit tous les mouchoirs et les plia en deux.
- Ouvre la bouche!
La femme résista avec une expression interrogative sur le visage.
- Allez! Ouvre grand la bouche, dit-il lui tapotant gentiment la joue
Elle s’exécuta et il lui plaça dans la bouche le paquet de mouchoirs pliés en deux qu’il maintint en place en la bâillonnant avec l’écharpe.
- Ainsi tu te tairas et ne crieras plus!
L’homme prit et releva les poignets de la jeune femme la faisant se courber en avant ses bras étant tendus et la poussa jusqu’au canapé où il la fit s’allonger sur le dos. Il entreprit aussitôt de s’occuper activement de sa poitrine, caressant, embrassant et mordillant les seins offerts. La jeune femme commençait à se tordre. Les mamelons débordaient des bonnets du soutien-gorge.
Progressivement, il descendait vers le ventre. Puis ses mains caressèrent les jambes gainées de noir qui se mirent à bouger en se frottant l’une contre l’autre faisant crisser les bas érotiquement. Il repoussa la jupe, dévoilant les jarretelles et la peau blanche de ses cuisses au-dessus des bas, puis, la remontant plus haut, découvrit le renflement moelleux de son sexe parfaitement épilé sous le mini slip de satin blanc.
Le corps de la jeune femme ondulait doucement, sa poitrine se soulevant au rythme de sa respiration de plus en plus nerveuse, entrecoupée de gémissements.
- Oh que c’est mignon, dit l’homme! Un petit slip de satin blanc, tout brillant, pour cacher cette vulve si appétissante.
Il écarta les cuisses et sa paume remonta, effleurant sa peau. Le slip s’agita dans les reflets du satin. Sur le tissu collé à ses chairs, ses doigts glissèrent doucement, la palpant. Il pinça son sexe à travers le tissu plissé.
Les hanches de la jeune femme furent prises de mouvements convulsifs. Une tache d’humidité apparut sur le satin du slip.
- Exactement comme je les aime, dit-il! Superbe! Toute lisse et moelleuse à souhait! A croquer!
L’homme écarta vraiment les jambes de sa prisonnière et plaça sa tête entre ses cuisses fermes et douces pour embrasser et lécher à pleine bouche sa vulve à travers le tissu. Ses mains s’occupaient pendant ce temps de ses seins.
La jeune femme, dont le souffle rauque était entrecoupé de longs soupirs, émit à travers son bâillon une série de gémissements et de petits cris étouffés. Ses hanches ondulaient maintenant frénétiquement, poussant en avant son bas-ventre vers la bouche dispensatrice de plaisir. Le tissu de la culotte, trempée maintenant, collait à ses chairs.
L’homme la lâcha et se releva pour aller au milieu du salon. La jeune femme, qui commençait à chauffer sérieusement, le regarda.
- Lève-toi! Viens par ici, lui ordonna-t-il!
La jeune femme se releva un peu péniblement du fait des bras liés dans le dos

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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