Jeudi 12 juillet 4 12 /07 /Juil 20:08
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La femme était debout au milieu du salon, les bras en l’air attachés derrière la tête par les poignets et les coudes. Les coudes serrés derrière la tête lui interdisaient de descendre ses bras vers l’avant, sa tête faisant obstacle. Son corps était complètement offert. Elle ne pouvait plus se soustraire aux envies de l’homme qui se trouvait debout devant elle.
- Je vais pouvoir ainsi m’occuper tout à loisir de toi, lui dit l’homme. Je vais te déshabiller lentement. Très lentement.
La femme gémit. Son ventre palpita. Le nombril fut secoué de spasmes nerveux.
L’homme s’agenouilla. Il posa ses mains sur sa jupe, à l’endroit où ses hanches la retenaient, défit la fermeture éclair et fit descendre le tissu. Sa bouche se promenait sur la peau frissonnante du ventre.
- Bon Dieu!... Que ta peau est douce, dit-il. On dirait du satin... Du satin chaud.
Le corps de la jeune femme ondoyait. Des sons plaintifs passaient à travers le bâillon. Son ventre oscillait, ses jambes se frottaient, aidant la jupe moulante à descendre.
Le vêtement arriva au sol. On vit sa croupe dont les globes rebondis ondulaient au rythme des mouvements. Elle respirait difficilement. Ses seins se soulevaient en cadence.
- Regarde tes seins! Ils sont magnifiques!
Le regard de la jeune femme descendit vers ses seins.
- Il faut que je les embrasse de nouveau!
L’homme se releva et ses dents mordillèrent les mamelons en érection.
De petits cris sortirent de la gorge de la femme. L’homme s’agenouilla à nouveau. Ses lèvres s’attardaient sur le ventre, couraient sur la peau frémissante pour s’arrêter sur le slip trempé afin de permettre à sa langue de s’y glisser, chaude et humide.
La jeune femme se cabra, les jambes à demi-ouvertes. Il creusa son slip humide de ses doigts, remonta entre les lèvres vers le clitoris. Gémissante, hanches tremblantes, la femme poussa son pubis en avant vers la main dont les doigts caressaient la fente.
La jeune femme, toujours attachée de la même manière finit par être nue à part ses chaussures et ses bas.
La bouche de l’homme courait sur tout son corps et, remontant vers son visage, il lui enleva le bâillon pour l’embrasser goulûment.
L’homme finit par détacher ses bras, les ramena vers l’avant et lui attacha les poignets avec une chaussette. Elle resta debout au milieu du salon, nue avec ses chaussures et ses bas, confuse, attendant que l’homme lui dise quelque chose.
Ce dernier s’assit en face d’elle dans un fauteuil.
- Assieds-toi par terre, face à moi!
La jeune femme s’assit par terre en lançant des regards interrogateurs à l’homme.
- Ecarte les jambes le plus possible et branle-toi!
La jeune femme s’exhiba face à l’homme, les cuisses généreusement ouvertes sur un sexe palpitant, montrant ses moindres recoins, étalant sans vergogne sa morphologie la plus secrète.
Un tel spectacle fascinait l’homme. Il la contemplait dans cette pose crue et obscène. La jeune femme passait ses mains entravées sur sa vulve et commença timidement à se caresser. La vue de l’homme masqué, assis devant elle et la regardant, la troubla.
- Vas-y vraiment, lui dit-il! Ne fais pas semblant! Tu n’arrêteras pas tant que tu ne te seras pas réellement masturbée.
La jeune femme ferma les yeux afin de ne plus voir l’homme devant elle et ses mains s’activèrent un peu plus sur son bas-ventre. Ses doigts écartaient ses lèvres humides et s’attaquèrent au clitoris.
- Ouvre les yeux, ordonna-t-il, et regarde-moi! C’est pour moi que tu te branles. Fait en sorte de m’exciter!
Elle se mit à s’astiquer le bouton en gémissant pour montrer qu’elle aimait çà et qu’un sournois plaisir sexuel lui taraudait les organes. Elle donnait des coups de ventre dans le vide, mimant un coït, se branlant la chatte de ses doigts habiles et portant une bonne partie de ses caresses sur son clitoris archi-bandé.
Ses mains remontèrent le long de son ventre, le caressant, pour aller sur ses seins qu’elles massèrent. La jeune femme en agaça les tétons qui grossissent immédiatement. Elle les porta alors l’un après l’autre à sa bouche pour les lécher et les téter voluptueusement. Ses mains redescendirent à sa vulve qu’elles se mirent à triturer avec une fougue et un enthousiasme de plus en plus évident. La femme gémit à en fendre l’âme.
L’homme se leva, sortit et revint tenant un concombre d’une taille plus que respectable. Il fait six bons centimètres de diamètre.
Il le donna à la jeune femme qui, le prenant des deux mains, le porta à sa bouche. Durant quelques minutes, elle le léchait, sa langue remontant le long de la hampe, le titillant avec une sensualité extrême. Elle ouvrit la bouche et engloutit le gros bout étirant ses lèvres et se mit à le sucer pour le mouiller.
Elle approcha l’engin de son bas-ventre et le posa à l’orée de son con. A petites pressions sur ses lèvres, puis en le frottant sur son bourgeon prêt à éclater, elle attisa les vagues du plaisir. Doucement, elle l’enfonça sans difficulté dans ses chairs bien lubrifiées par sa cyprine abondante.
Son visage exprima une grande satisfaction lors de la pénétration de l’objet.
L’homme ne la quittait pas des yeux, fasciné.
Pendant un bout de temps, le concombre bien calé dans son sexe aux lèvres étirées par son diamètre imposant, la jeune femme lui imprimait un mouvement de va-et-vient, d’abord lent, puis de plus en plus rapide.
Elle haletait et gémissait de plaisir, se trémoussant dans tous les sens, son bassin ondulant frénétiquement. Elle finit par se poignarder littéralement le vagin, hurlant son plaisir à tout va.
- Stop! Arrête, ordonna l’homme!
La jeune femme ne l’entendit pas et continua.
- Oh! Tu m’entends! Arrête de te branler, cria-t-il!
La jeune femme lâcha le concombre qui resta enfoncé dans le vagin et lui jeta un regard suppliant.
- Oh, non! Pas maintenant, le supplia-t-elle! Laissez-moi me finir! Je suis complètement excitée.
- Çà, je le vois bien justement, répondit l’homme! C’est moi qui vais te faire jouir, mais pas tout de suite. Approche et suce-moi!
Frustrée, la jeune femme obéit. Elle retira le concombre de son con et vint s’agenouiller devant l’homme qui resta assis. Elle baissa son pantalon avec ses mains jointes et prit possession de son membre déjà raide qu’elle effleura de ses doigts minces.
Elle superposa ses deux mains attachées sur la tige et repoussa en arrière la peau soyeuse du prépuce pour dégager entièrement le gland qu’elle honora d’un premier coup de langue.
Puis, sa bouche chaude aux lèvres humides cerna la tête turgescente dont elle commença une dégustation qui fit frémir l’homme de plaisir. D’abord, de ses lèvres fermement serrées, elle massa le gland longuement puis, sans relâcher son étreinte labiale, elle y joint une violente succion qui fit cambrer l’homme irrésistiblement et le conduit, en quelques trop brèves secondes, au bord du spasme.
La jeune femme le devina aux tressaillements de ses genoux qui l’étreignaient sous les aisselles. Elle le libéra.
De la pointe de sa langue, elle parcourut la muqueuse rose foncé, fouillant le méat, explorant minutieusement le bourrelet avant d’entreprendre, sur la corde sensible, une série d’aller et retour d’une exquise délicatesse.
Elle reprit le membre dans sa bouche, l’enfonça lentement jusqu’à la garde, puis le sortit tout aussi doucement, ramena de nouveau le prépuce en arrière et lécha le gland, dessous, lentement, en tournant.
Elle le remit en bouche, pas toute la verge, rien que le gland qu’elle massait avec sa langue, suçait en aspirant doucement, faisant glisser ses doigts tout le long de la verge, sans serrer, juste pour faire bouger la peau. Elle pompait délicatement le membre qui vibrait entre ses lèvres et dont elle massait le gland entre sa langue et son palais, tout en prenant garde de dégager ses dents afin de ne pas rompre la douceur de l’étui de velours qu’était sa bouche toute entière.
- Arrête! Je n’en peux plus, lui dit l’homme!
Il la repoussa violemment, se dégageant de sa bouche. La jeune femme ne comprit pas.
- Allonge-toi par terre sur le dos, ordonna-t-il!
La jeune femme obéit et l’homme, se levant du fauteuil, s'agenouilla sur elle lui remontant les bras au-dessus de la tête et s’assit sur son thorax devant ses seins qu’il prit à deux mains et entre lesquels il plaça sa verge. Comprimant les seins l’un contre l’autre, il enserrait son membre dans un carcan moelleux et commença à s’y branler allant et venant comme dans un vagin.
- Lève la tête, dit-il, et mets ta bouche devant mon gland!
La jeune femme releva sa tête et la maintint de ses mains attachées de sorte que le gland de l’homme finisse sa course au bord de ses lèvres. Elle sortit la langue essayant de le titiller au passage.
Au bout d’un moment, l’homme sortit sa verge d’entre les mamelons de la femme et recula pour s’asseoir sur son ventre. Il baissa la tête et plongea le visage dans les seins sur lesquels il le frotta dans tous les sens tout en léchant, mordillant et malaxant de ses mains.
Au bout d’un moment, l’homme descendit de sur la jeune femme et la retourna sur le ventre. Il plia ses jambes et relia chaque cheville au coude du bras respectif avec le scotch d’emballage, les mains libres de la jeune femme posée sur le sol de chaque côté de ses hanche, ce qui eut pour effet de bien écarter les cuisses, dégageant sa vulve, et de cambrer violemment son dos, faisant ressortir de manière provocante ses fesses. Elle se trémoussait doucement.
L’homme s’assit devant sa tête qu’il encadra de ses cuisses. Il releva le visage de la femme de ses mains, plaçant sa verge devant sa bouche.
- Ouvre la bouche!
La jeune femme ouvrit grand la bouche. L’homme y engouffra sa verge qu’elle engloutit dans sa presque totalité. Elle la lubrifia de sa salive par quelques mouvements de succion et entreprit une fellation des plus soignées quoique très inconfortable.
Le visage de l’homme, les yeux fermés, traduisait un grand émoi.
Les lèvres de la jeune femme suivaient au plus près le tour de son organe qui pénétrait et ressortait de sa bouche, luisant de salive. Sa tête se balançait de ce qu’elle pouvait pour imprimer à sa bouche un mouvement de va et vient. L’homme l’aidait par des oscillations légères de ses reins. La jeune femme avalait la verge si profondément que les poils lui frôlaient le nez et ses lèvres s’écrasaient sur le ventre. Un haut le coeur accompagné d’un râle la prit lorsque le gland lui toucha la luette. Elle pompait goulûment, n’émettant que quelques sifflements quand elle reprenait sa respiration. Sa longue chevelure blonde se balançait au rythme du plaisir de l’homme en gémissant de sa bouche pleine. Ses joues se gonflaient, se creusaient...
C’est lui maintenant qui, bougeant ses reins, donnait la cadence qui lui convenait le mieux, utilisant sa bouche comme un vagin: lentement... Arrêt au fond de la gorge...
Brusquement, il imprima une cadence rapide. L’expression sur son visage passe de la crispation à une béatitude extrême. Son rythme s’accéléra pour devenir brutal.
La tête de la jeune femme était durement secouée. Elle laissait sortir des éructations et des râles fréquents quand le membre de l’homme touchait le fond de sa gorge. Elle eut beaucoup de mal à reprendre sa respiration.
- Çà vient, dit-il en haletant!... Çà vient!... N’en perds pas une goutte!
L’homme accéléra encore le rythme. La jeune femme, la tête brusquement secouée par les assauts de l’homme, se mit à émettre des bruits incongrus en comprimant fortement les lèvres sur le gland dans l’intention de ne rien perdre du précieux sperme.
L’homme poussa un rugissement quand jaillit dans la gorge de la jeune femme un foutre épais et abondant qu’elle n’avala pas. Il continuait à aller et venir, lentement maintenant, sa queue luisante de son sperme qui ruisselait par la commissure des lèvres.
Le bas-ventre de la femme ondulait doucement alors qu’elle laissait sortir de sa gorge des plaintes étouffées.
Il sortit sa verge de la bouche, la prit en main et la frotta contre le visage de la jeune femme, la faisant glisser d’une joue à l’autre, les maculant de sa liqueur qu’elle avait gardée en bouche et recrachait petit à petit pour qu’il l’étale sur son visage.
L’homme s’écarta, regarda la jeune femme et lui sourit. Il se releva et vint se coucher derrière elle, entre ses cuisses écartées qu’il releva pour les placer sur ses épaules et, la prenant par les hanches, il la souleva, la cambrant encore plus si possible pour mettre devant sa bouche la vulve rasée de près.
La jeune femme, les seins écrasés de tout son poids sur le sol, le visage maculé de sperme, gémit fortement de l'inconfort de sa position.
L'homme colla sa bouche à la bouche verticale. Sa langue entra aussitôt en action pour titiller les grandes lèvres et pour jouer avec les nymphes sensibilisées par la branlette avec le concombre.
La jeune femme laissait sortir une plainte qu'elle ne pouvait conserver dans les profondeurs de sa gorge et se tortillait à la manière d'un ver de terre en faisant onduler son ventre.
- Doucement, lui dit l’homme! Je ne t'autorise pas à jouir encore. Tu ne prendras du plaisir que sur mon ordre. Alors, arrête de gémir et de bouger!
Elle inspira profondément pour se calmer et se mordit la lèvre inférieure. L'homme replongea la tête dans le bas-ventre et lapa les chairs roses et luisantes, s'occupant maintenant plus particulièrement de son anus que ses doigts massaient délicatement, sur les bords d'abord, puis de plus en plus franchement au centre. Les premiers réflexes de contractions passés, les sphincters se relâchaient peu à peu. Son index en profita évidement pour forcer le passage, ce qui provoqua une nouvelle contraction. Mais une fois à l'intérieur, il commença à fouiller.
Le visage de la jeune femme traduisit une concentration entièrement tournée vers ce plaisir nouveau.
L'homme prit une carotte dont la taille rappelait celle d'une verge en érection. Pour l'esthétique, elle avait encore ses feuilles. Il la plaça devant une de ses mains.
- Suce-la, ordonne-t-il!
La jeune femme prit le légume dans sa main en en se tortillant à l’extrême, l’amena devant son visage, ouvrit la bouche et se mit à lécher le légume, l’enfonçant profondément dans la gorge afin de bien le lubrifier de sa salive.
L'homme lui enleva la carotte de la bouche, écarta d'une main les lobes charnus et, à petites pressions sur son anus, il l'enfonça sans difficulté dans ses entrailles.
Il commença un mouvement de va et vient, faisant et refaisant inlassablement le même chemin, de l'anus jusqu'au fond de ses entrailles, fouillant, fouissant et fouinant pour bien imposer sa maîtrise des lieux, agaçant de l'autre main le clitoris à tel point qu'à plusieurs reprises, le réflexe étant le plus fort, la jeune femme projeta sa croupe en arrière.
Elle commençait à prendre du plaisir de cette intromission. Des gémissements de plus en plus forts sortaient de sa gorge. Elle se frottait les seins sur le sol alors que sa croupe se mettait à onduler pour appuyer plus fortement le clitoris sur la main dispensatrice de plaisir. Elle semblait avoir de plus en plus de mal à se retenir de jouir. Quelques petits cris sortirent involontairement de sa gorge.
L'homme enfonça complètement la carotte dans l'anus et, lâchant le tout se recula pour admirer la jeune femme dont le corps entravé ondulait doucement avec les longues feuilles sortant de son cul.

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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