Mercredi 25 juillet 3 25 /07 /Juil 19:12
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La jeune femme entra dans le salon nue et propre. Elle tenait à la main ses bas et ses chaussures.
L'homme se leva et se mit au milieu du salon. Il lui prit des mains les bas en nylon.
- Remets tes chaussures, lui ordonne-t-il!
Elle s'exécuta.
- Viens devant moi!
La jeune femme s'approcha de l'homme.
Il s'agenouilla devant elle et entreprit d'attacher les chevilles avec une paire de chaussettes longues en prenant soin de ne pas les de ne pas les coller l'une contre l'autre.
Il attacha ensuite ses poignets de la même manière avec une deuxième paire de chaussettes et relia les deux liens par leur centre avec un bas, qui, tirés au maximum, empêchait la jeune femme de monter les mains plus haut que sa poitrine. Les chevilles et les poignets n’étaient pas trop serrés l'un contre l'autre afin de lui permettre de faire de petits pas et de prendre des objets.
L'homme prit dans sa poche le slip de satin blanc encore humide de la femme, le chiffonna en boule et le glissa dans sa bouche. Il l'y maintint par un deuxième bas noué derrière la nuque.
L'homme fit se mettre la jeune femme à quatre pattes. Prenant la carotte qui traînait par terre, il s'assit sur la croupe tendue regardant les fesses. Il enduisit le légume de gel lubrifiant et, écartant les lobes d'une main, enfonça de l'autre le légume dans l'anus offert jusqu'à ce que seules les feuilles ne sortent, comme précédemment. La jeune femme gémit, son anus étant encore sensible.
Se levant, l’homme montra le salon d'un geste ample du bras et ordonna :
- Lève-toi! Pendant que je prends ma douche, je veux que tu ranges tout ce bordel! Compris?
La jeune femme se mit debout et acquiesça d'un signe de tête.
- Non, non cocotte, dit-il! Quand je te pose une question tu réponds! D'accord?
La jeune femme répondit d'une manière presque incompréhensible, sa langue étant bloquée par sa culotte :
- Oui.
- Ce n'est pas la bonne manière de me parler! A partir de maintenant tu m'appelles "Seigneur"!
- Oui Seigneur répond-elle ses mots toujours déformés.
- C'est mieux!
L'homme se retourna et sortit du salon laissant la jeune femme seule. Elle poussa un énorme soupir et commença à ranger en se déplaçant, du fait de ses entraves, à tout petits pas saccadés qui faisaient joliment remuer ses seins, ses fesses et les feuilles de la carotte.

La jeune femme, toujours ligotées par les chaussettes et les bas, bâillonnée avec son slip, entièrement nue à part ses chaussures et sa carotte dans le cul, allait et venait dans la cuisine préparant le dîner. Elle posa un steak dans une assiette sur le plan de travail.
L'homme, habillé d'une robe de chambre et de sa cagoule en cuir, la regardait, appuyé contre le chambranle dans l'encadrement de la porte. Il lui indiquait, quand besoin était, l'emplacement des ustensiles :
- La poêle est dans le placard sous le plan de travail.
La femme y alla, se baissa, ouvrit la porte du placard et prit la poêle. Elle la posa sur la plaque de cuisson et se retourna vers l'homme pour lui demander à travers son bâillon :
- Tu veux que je fasse cuire au beurre ou à l'huile?
Sa question était bien sûr incompréhensible.
- Pardon?
La femme en essayant d'articuler :
- Tu veux ton steak cuit au beurre ou à l'huile?
- Au beurre ou à l'huile, demanda l’homme?
La femme acquiesça de la tête.
- Au beurre s'il te plaît.
La jeune femme alla vers le réfrigérateur.

La jeune femme, entièrement nue avec ses chaussures et sa carotte, était debout, jambes serrées, bras dans le dos. Ses chevilles et ses genoux étaient étroitement liés l'un contre l'autre par du ruban adhésif d'emballage.
Ses bras étaient pliés dans le dos, les poignets entre les omoplates, reliés, eux, par une chaussette.
Deux pinces à linge étaient placées sur chaque sein, de chaque côté du téton.
La jeune femme n'était pas bâillonnée mais portait un bandeau sur les yeux.
Elle était debout au milieu du salon, face à l'homme depuis vingt bonnes minutes. Lui, était assis à table en train de terminer son dîner. Son regard passait de son assiette à la jeune femme qui se trémoussait légèrement essayant en vain de relâcher un peu ses liens.
L'homme finit. Il reposa les couverts dans l'assiette, termina son verre de vin, s'essuya la bouche avec sa serviette. Il se leva, se dirigea vers la jeune femme et se plaça devant elle.
Ses mains caressèrent sa poitrine, jouant avec les pinces à linge, descendirent le long de ses hanches pour empoigner les fesses qu'elles se mirent à pétrir.
L'homme lâcha la jeune femme et se mit derrière elle. De sa main droite il caressait doucement ses fesses, puis, sans prévenir leur asséna une belle claque.
N'ayant pu prévoir le coup du fait de son bandeau sur les yeux, un cri de surprise plus que de douleur sortit de la bouche de la femme. Le choc, qui fait trembler les lobes charnus ainsi que les feuilles de la carotte, manqua de lui faire perdre l'équilibre. Elle le retrouva en sautillant à pieds joints, et pour cause. Les sauts firent joliment trembler ses seins ainsi que les pinces à linge qui y étaient accrochées transformant la simple sensation de pincement agaçante qu’elle ressentait depuis un quart d’heure en douleur. Prenant deux autres pinces, l’homme en mit une sur chaque téton entre celles déjà en place.
La jeune femme n’ayant pu voir ce que préparait l’homme du fait de son bandeau sur les yeux poussa un petit cri de surprise rapidement suivi d’un gémissement de douleur. Petit à petit, la douleur cinglante s'estompait et se mélangeait aux pincements exaspérants des premières pinces.
L'homme passa un bras autour de sa taille afin de la maintenir et lui asséna de sa main libre une belle fessée. La jeune femme se tordait dans les bras de l'homme, essayant, par réflexe, de se soustraire aux claques. Ses seins tressautaient à chaque claque sur les fesses faisant bouger les pinces sur les tendres chairs écrasées. Un cri sortait de sa gorge à chaque fois, dû à la fois à la douleur cinglante de la main et à celle provoquée par les pinces.
La tenant toujours par la taille, l'homme la fit sautiller vers le canapé.
- Avance!
Tant bien que mal, la jeune femme arriva devant le canapé où l'homme s'assit. Il la tira en avant de sorte qu'elle tombe sur ses genoux en poussant un petit cri de frayeur, lui présentant au mieux ses fesses. L'homme reprit la fessée d'une main en écartant de l'autre les feuilles de la carotte.
Sous les claques ponctuées des cris de la femme qui s'était mise à pleurer, les lobes charnus prenaient rapidement une teinte rosée du plus bel effet.
L'homme arrêta la fessée et, en se levant, fit rouler la jeune femme par terre où, en pleurnichant, elle se tortillait doucement en essayant de se retourner sur le dos afin de ne pas écraser les pinces sur les tétons. L'homme défit la ceinture de sa robe de chambre et s'agenouilla devant le visage de la femme en écartant les pans de son vêtement.
Il la remit sur le ventre, la faisant gémir lorsque son poids appuya sur les pinces à linge. Attrapant un sein dans chaque main, il tira dessus pour soulever le torse en cambrant son dos et lui placer la bouche devant son sexe.
- A ton tour de prendre une petite collation, ma jolie, lui dit-il en lâchant les seins et en la maintenant par les épaules.
La femme ouvrit la bouche où l'homme fit pénétrer son membre. Elle commença de la tête un mouvement de va et vient en aspirant la colonne de chair entourée de ses lèvres soyeuses. Se soulevant sur ses genoux, l'homme lui enfonce son sexe jusqu'au fond et la gorge et lâcha ses épaules. La jeune femme ne pouvait plus maintenir son torse relevé qu'en prenant appui de sa tête sur le bas-ventre de l'homme. Ce dernier entreprit alors un mouvement saccadé des reins, secouant la tête de la femme qui se mit à éructer des râles à chaque fois que le gland touchait le fond de sa gorge et que les pinces de ses seins s’écrasaient sur les cuisses de l’homme.
Ce dernier finit quand même par ressortir brutalement, la verge raide, laissant retomber la jeune femme sur le sol, lui arrachant un cri de surprise et de douleur.
Faisant le tour de la femme, l’homme la fit se mettre sur les genoux, la tête toujours au sol, la croupe tendue vers le plafond. Il se plaça devant ses fesses qu’il écarta de ses deux mains pour mettre entre elles sa verge. Resserrant les lobes charnus il commença à se branler entre les fesses comme il l'avait fait entre les seins.
Il la retourna sur le dos. Se plaçant à califourchon sur son ventre en enlevant sa robe de chambre tout en s’occupant de des seins, il frottait sa verge contre le ventre de la femme, mimant un coït. Puis il plaça sa verge raide devant les lèvres de la vulve, entre les cuisses serrées par les liens. L’homme, mimant toujours un coït, se branlait de maintenant entre les cuisses serrées en frottant sa verge contre le clitoris et la vulve sans la pénétrer. A ce contact, la femme s’excita et commença à onduler des hanches.
Puis l’homme se remit à genoux et défit les entraves de ses jambes qu'il écarta et entre lesquelles il se plaça. Ses mains se mirent à caresser doucement le sexe de la femme, puis, remontèrent sur le ventre alors que la bouche prenait le relais. La jeune femme donnait des coups de ventre en avant, prenant du plaisir sous les caresses de la langue. Elle finit par réclamer à l'homme qu'il la pénétra :
- Vas-y! Maintenant! Prends-moi!
Ne se faisant pas prier, l'homme approcha son sexe de celui de la femme et la pénétra délicatement. Doucement, il commença un lent mouvement de va et vient. La croupe de la jeune femme se soulevait et ondulait en rythme alors que ses soupirs et petits cris d'aise montraient qu'une sourde chaleur commençait à l'envahir, ses chairs intimes étant à peine calmées.
Les mains de l'homme malaxaient ses seins sans brutalité. Il prit une pince à linge dans chaque main et, les soulevant légèrement, les secoua. Les seins ballottés, la jeune femme gémit doucement de douleur et de plaisir mêlés. L'homme enleva alors les pinces à linge en les "dé pinçant". La douleur due à l'afflux de sang dans les tétons fit se cambrer la jeune femme qui laissa échapper de sa gorge un long râle. L'homme se mit alors à masser les bourgeons de chair en amplifiant le mouvement de ses reins. La femme se tordait de douleur et de bien-être sous les doigts de l'homme puis, la douleur se dissipant, frétilla de volupté.
L'homme se coucha sur elle et, la prenant dans les bras, se retourna sur le dos, mettant la femme sur son ventre. Elle se releva et, assise sur le phallus, les yeux toujours bandés et les bras ligotés dans le dos, prit les commandes de la manoeuvre, se tortillant dans tous les sens et criant son plaisir à tout va.
L'homme sentant venir la jouissance :
- Termine-moi avec la bouche!
La jeune femme se sépara alors du pénis, s'allongea devant la verge de l'homme et la prit en bouche.
C'est dans un cri de jouissance que l'homme lui éjacula sur le visage.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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