Vendredi 10 août 5 10 /08 /Août 17:12

8

Une demi-heure plus tard, Julia se présenta à son Maître, belle, propre et fraîche. Elle se tenait debout dans le salon, à portée de sa main, attendant les ordres. Il ne pu s’empêcher de caresser son corps. Ses mains courraient sur sa peau douce et soyeuse où commençaient à apparaître les boursouflures des coups de cravache. Il s’attardait particulièrement sur ses seins, ses hanches et ses fesses. Mais son estomac lui rappela qu’il était temps de dîner.

 

Il alla prendre dans la valise deux lanières de cuir. Il passa la première autour des cuisses de Julia, juste au-dessus des genoux qu’il attacha ensemble en serrant fortement et laissant les chevilles libres. Avec la seconde, il attacha ses bras le long de son torse, passant la lanière au-dessus des coudes et sous les seins. Julia ne pouvait plus que marcher à petits pas, ses genoux étant comme soudés l’un à l’autre. De même, elle pouvait se servir de ses avant-bras mais sans pouvoir décoller les coudes de son corps.

 

- Va me préparer le dîner, lui dit-il! Toi, tu as déjà mangé.

 

- Bien Seigneur.

 

Elle alla à la cuisine d’une démarche claudicante, rendue encore plus difficile par ses talons hauts, et prépara le dîner. Pour sa part, l’homme alluma la télévision et regarda le programme en attendant.

 

Pendant tout le dîner, Julia resta debout à côté de lui. De temps en temps il passait une main sur ses fesses, machinalement, comme on caresse son chien. Elle pouvait bien rester debout puisqu’elle avait été couchée tout l’après-midi.

 

Après le dîner, Julia ayant fait la vaisselle, l’homme la fit avancer au milieu de la pièce et lui passa autour du cou le nœud coulant d’une corde qu’il attacha à une poutre du plafond. Il fit pencher Julia en avant. Le nœud se resserra. Il attrapa un sein et fit rouler le téton entre ses doigts. Il le pressa de plus en plus fort. Au moment où il tirait à l’arracher, Julia ne pu retenir un cri. Il se plaça devant elle, mettant sa bite devant sa bouche et sur son ordre, elle lubrifia sa verge de sa salive. Il se plaça ensuite derrière elle et admira son beau cul offert et l’embrocha après l’avoir enduit de lubrifiant ce coup ci. Julia se cambra et des larmes sortirent de ses yeux, mais elle ne cria pas. L’entrée était rendue d’autant plus difficile que ses cuisses étaient serrées par la lanière. Il ressortit un peu, et d’un bon coup de reins s’enfonça plus loin. Afin de faciliter le travail, Julia écarta de ses mains ses fesses et prit la cadence.

 

- Pas question de ça, ma petite, lui dit-il! Tu es là pour me donner du plaisir, pas pour en prendre!

 

Il sortit d’elle, lui détacha bras et jambes et l’assit sur un tabouret en donnant du mou à la corde qu’elle avait autour du cou avant de la réajuster pour la tendre légèrement. Ce plaçant devant elle, il lui prit les chevilles en relevant les jambes, ce qui la mit en équilibre précaire, légèrement penchée en arrière. Ses muscles abdominaux étaient tendus à l’extrême pour supporter le poids de son torse et afin qu’il ne bascule pas en n’étant retenu que par la corde passée autour du cou, l’étranglant alors encore plus fort. Le nœud était déjà suffisamment serré comme çà, lui rendant la respiration difficile et surtout écrasant un peu les carotides, réduisant le flux sanguin vers le cerveau et par conséquent son oxygénation. C’est le visage rougi et gonflé de sang que Julia se fit enfiler par l’homme.

 

- Si tu tombes, la corde te sert le cou, lui expliqua-t-il bien qu’elle l’eu comprit toute seule.

 

A chaque coup de queue, Julia faisait attention à son équilibre, basculant d’avant en arrière, se retenant du mieux qu’elle pouvait au tabouret. Pour ajouter encore à son trouble, il lui attrapa le clitoris. D’abord doucement, il fit rouler le bouton sous son pouce, puis l’écrasa violemment. Il sentit le foutre de Julia glisser sous ses doigts.

 

- Tu y prends plaisir. Tu es une vraie chienne lubrique. Tu en veux, tu en réclames! Je crois que tu n’as pas encore bien compris que tu ne peux jouir que si je le veux.

 

Du coup il sortit son sexe luisant de mouille, releva Julia et la fit se remettre debout. Il tendit la corde à nouveau. Julia était debout, droite comme un i, nue avec ses chaussures à talons de douze centimètres, essayant de garder son équilibre afin de ne pas trop tirer sur la corde et serrer davantage le nœud. Pour pimenter un peu la chose, l’homme passa une troisième lanière de cuir autour de ses chevilles, l’empêchant ainsi d’écarter les pieds et l’obligeant à sautiller légèrement sur place lorsque d’aventure elle devait reprendre son équilibre. La tête penchée sur le côté à cause de la corde qui tirait sur le cou, Julia avait le visage tout congestionné par l’afflux de sang qui avait du mal à repartir, la bouche grande ouverte dans un réflexe bien illusoire d’améliorer sa respiration rauque et saccadée, la langue légèrement sortie à cause de la pression de la corde.

 

La laissant ainsi au milieu du salon, l’homme sortit sur la terrasse un café à la main, s’affala dans une chaise longue à la vue de Julia et alluma une cigarette. Il goutta à la douceur d’un soir d’été sans un regard pour la créature pendue au plafond.

 

Au bout d’un quart d’heure, il revint vers Julia et l’admira. Elle avait prit un « régime de croisière », tout ses muscles bandés afin de ne pas trop bouger, la respiration à peu près régulière quoique sensuellement rauque. Ravi, l’homme la prit dans ses bras, tournant autour d’elle, l’embrassant dans le cou, caressant ses seins, son ventre, sa croupe. Alors que ses mains se posaient sur ses fesses, sa langue jouait avec les tétons. Puis se mettant sur son côté, une main entre les lobes charnus de son postérieur et l’autre sur son sexe, ses doigts titillèrent son anus, sa vulve et son clitoris pendant qu’il lui susurrait des mots doux à l’oreille vantant les mérites de sa plastique si joliment mise en valeur. Sous les caresses simultanées des mots et des doigts, à la limite de l’évanouissement depuis un quart d’heure, l’esprit de Julia se mit à vagabonder dans des brumes de plaisir.

 

L’homme se mit alors à genoux devant elle, les mains glissant le long de ses jambes, sa bouche chatouillant son ventre et descendant vers le sexe dont s’échappaient des effluves traduisant l’émoi de la jeune femme. Les caresses ayant amenés les mains de l’homme aux chevilles de Julia, ce dernier, afin de corser un peu le jeu, lui retira les chaussures. Elle se mit à crier, du moins à émettre de manière plus intense des râles gutturaux lorsque le poids de son propre corps l’étrangla un peu plus. N’ayant plus le support des talons aiguilles de douze centimètre, elle due se mettre sur la pointe des pieds, relevant le plus possible les talons, faisant pleins de petits pas de quelques centimètres afin de garder à la fois l’équilibre et la hauteur nécessaires. Pour le coup, elle sortit de sa rêverie pour se retrouver brutalement dans le monde réel sous les tortures de son maître.

 

Ce dernier recula de deux ou trois mètres afin de mieux la voir. Content de lui il alla chercher le martinet. Voyant l’engin, Julia se mit à gémir de plus belle.

 

Les lanières claquèrent sur le beau cul boursouflé de Julia. Par réflexe, elle se cambra en avant pour se soustraire aux coups. Son cri fut coupé sec par l’étranglement suivi d’une quinte de toux. Complètement paniquée à l’idée d’être pendue, Julia gesticula tant et si bien qu’elle ne pu reprendre son équilibre et se retrouva effectivement pendue de tout son poids. Elle poussa un cri énorme, déchirant, malgré la corde serrant son cou, pensant vivre les dernières secondes de sa vie, avant que l’homme, hilare tant il s’amusait, ne l’aida à se remettre debout sous l’anneau de la poutre, sur la pointe de pieds.

 

Elle tremblait de partout, surtout au niveau des chevilles, ses muscles faisant un effort terrible pour essayer de soulever ses talons de dix centimètres.

 

- Reprenons, dit l’homme alors que Julia se calmait à peu près.

 

Soudain, tout son corps s’embrasa. Il fouettait Julia sauvagement, s’acharnant sur ses fesses puis  frappant ses seins et son ventre pour revenir ensuite sur son dos, ses reins, ses fesses, ses cuisses. Durant ce qui dû lui paraître une éternité, Julia encaissa les coups en se tordant de douleur comme un ver de terre au bout d’une ligne et plus elle criait, plus elle recevait de coups. Ayant mal au bras à frapper comme un sourd, couvert de sueur, l’homme arrêta. Le tout n’avait duré que cinq minutes. Le corps de la jeune fille était rouge des marques du martinet. Elle en avait partout. Il devait lui faire l’effet d’être léché par les flammes.

 

L’homme détacha la corde du plafond et Julia s’écroula sur le sol, se retenant par un effort de volonté surhumain, de pleurer, surtout par crainte que les coups ne reprennent et parce que sa première préoccupation était quand même de reprendre une respiration normale bien que le nœud coulant autour de son cou ne s’était pas desserré. Au moins le poids de son corps ne l’étranglait il plus.

 

- Debout, lui cria-t-il en libérant aussi les chevilles! Viens me rejoindre sur le canapé!

 

Difficilement, Julia se releva. Ses fesses, son ventre, ses seins, ses cuisses lui faisaient mal à chaque mouvement. Elle se regarda et, sans doute rassurée de ne pas se voir écorchée vive, elle avança en titubant vers le canapé et sur son ordre se mit à genoux devant son maître et lui demanda d’une voix rauque et sifflante :

 

- Je ne peux pas remettre toute seule mes chaussures, attachée comme je suis. Peux-tu m’aider ?

 

Là, bien qu’étonné au plus haut point, et c’est un euphémisme, l’homme eut la satisfaction de sa vie. Malgré tout ce qu’elle venait d’endurer, pas loin de tomber dans les vapes car la corde au cou, les brûlures des coups lui vrillant le cerveau, Julia eu quand même la présence d’esprit de penser à la règle de base qui voulait qu’à l’intérieur elle soit nue avec ses chaussures.

 

Il la fit s’asseoir dans le canapé à sa place, se mit à genoux devant ses pieds et c’est avec un immense respect qu’il lui massa doucement les chevilles avant de tendrement lui remettre ses escarpins et d’embrasser ses jolis pieds cambrés. Comme un chien qui exprime sa joie en secouant violement sa queue lorsque son maître le récompense, Julia se mit à haleter de plaisir et une goutte de cyprine se mit à couler entre ses cuisses serrées.

 

Bon, il ne faut pas exagérer non plus ! L’homme se releva et d’un signe intima l’ordre à Julia de se mettre à genoux devant le canapé. Lui-même s’assit dans le sofa et, prenant la jeune femme par les tétons, la tira entre ses jambes écartées. Il lui retira la corde du cou. Le soulagement fut pour Julia de courte durée car il la remplaça par un collier de plastique large de huit centimètre qu’il serra de façon à l’étrangler à nouveau juste ce qu’il faut pour que ce soit supportable mais pénible.

 

- Viens donc lécher la sueur dont mon corps est trempé, créature répugnante de servilité, lui demanda-t-il d’un ton sec!

 

On sentait que l’homme avait été désarçonné par la réaction de Julia et qu’il avait du mal à retrouver une attitude autoritaire. Troublée, Julia s’approcha de l’homme et commença à lui lécher le torse. Il prit sa tête dans ses mains et comprima son visage contre son ventre. Julia lapa à grands coups de langue, nettoyant son ventre et sa poitrine de la sueur provoquée par l’effort. Elle prenait entre ses lèvres ses poils et tirait doucement dessus. Puis, elle s’attaqua plus particulièrement à ses tétons, les suçant comme si elle voulait en faire sortir du lait. Elle recommençait à s’exciter. Malgré la douleur, elle frottait son corps contre le sien en haletant comme une chienne. Décidément, elle en voulait.

 

- Assez, dit-il en la repoussant violemment! Tu recommences à jouir, tu es infernale!

 

Il la coucha par terre, sur le ventre et lui dis d’attendre. Il prit dans la valise deux cordelettes de nylon et commença par attacher ensemble ses chevilles. Puis pliant ses jambes de sorte que ses talons touchent ses fesses, il les fixa étroitement à ses cuisses. Il passa ensuite ses bras dans son dos et les lia fortement à ses chevilles. L’opération terminée, il retourna Julia sur le dos.

 

- Tu passeras la nuit dans cette position, lui expliqua-t-il!

 

Il continua sur un ton plus doux :

 

- Demain nous passerons la journée à faire l’amour. Reposes toi bien pour être en forme!

 

La laissant par terre, il monta se coucher.

 

 

Dans la nuit, il fut réveillé par des bruits venant du rez-de-chaussée. Il descendit silencieusement et vit, à la lumière de la lune, Julia, qui s’étant retourné sur le ventre et malgré son ligotage serré et son collier d’étranglement, se frottait la vulve sur le carrelage. Il la regarda quelque temps. Ses halètements et ses gémissements accompagnant les ondulations de son corps entravé l’excitaient. Brusquement il alluma la lumière. Julia s’arrêta, le regardant de ses yeux emplis de frayeur. Il prit la cravache.

 

- Vue la gravité de la faute, lui dit-il, je ne te laisse pas le choix.

 

Il s’accroupit à côté d’elle, glissa une main entre ses jambes serrées, trouva sa chatte et commença à la masturber. Elle dégoulinait de mouille, le clitoris droit comme un petit i glissant sous ses doigts. Julia gémissait de plus belle, son corps frémissait de plaisir. S’arrêtant soudain, il se releva et remit Julia sur le dos. Il reprit le massage de sa chatte. Il sentait l’orgasme monter en elle. Tout son corps était secoué de spasmes, dans la mesure où ses liens le permettaient. Elle explosa et son vagin expulsa une abondante mouille pendant qu’un cri de plaisir sortit de sa gorge étranglée. Il se transforma aussi sec en hurlement de douleur lorsque la cravache s’abattit par deux fois sur son ventre. Des larmes jaillirent de ses yeux.

 

- Si tu veux dormir à mes côtés, lui dit-il, je te le permets, mais à condition que tu montes dans la chambre attachée comme tu l’es.

 

Il prit Julia par les aisselles et l’aida à s’asseoir sur ses talons. Ces dernières minutes l’avaient fortement excité et il le lui fit comprendre en lui enfournant sa bite dans la bouche. Après s’être bien assuré qu’elle avait tout avalé, il la bâillonna et remonta dans la chambre.

 

 

Au moment où il allait s’endormir, il entendit un gros bruit de chute dans l’escalier suivit d’un gémissement étouffé. Discrètement et sans allumer la lumière, il alla voir. Julia essayait de monter l’escalier en rampant d’une marche à l’autre. Elle avait déjà réussi à monter la moitié de l’escalier quand elle perdit l’équilibre et se retrouva en bas, glissant sur le ventre ses seins heurtant chacune des marches de l’escalier. Elle reprit quand même l’ascension en sanglotant de douleur. Il retourna se coucher en attendant son arrivée, complètement ébahi par la volonté de cette fille à lui faire plaisir. Ou est-ce à en prendre ?

 

Une demi-heure plus tard, il vit la porte s’ouvrir et Julia apparue sur le seuil. Elle s’écroula par terre essayant de reprendre son souffle. Ses cuisses, son ventre et ses seins, en plus des marques de fouet, étaient rouges d’égratignures et recouvert d’ecchymoses dues aux frottements contre l’escalier. Il se leva, la détacha, lui retira son collier et l’aida à se mettre au lit. Il la prit tendrement dans ses bras où Julia se mit à sangloter doucement. Enfin ils s’endormirent.

 

 

Le lendemain matin, l’homme se réveilla et eut comme première vision le visage de Julia, qui le regardait en souriant.

 

- Bonjour Seigneur. As-tu bien dormi?

 

- Bonjour Julia, lui répondit-il l’esprit embrumé de sommeil, très bien. Et toi?

 

- Non, assez mal. J’étais impatiente de voir venir le jour.

 

- Pourquoi ça?

 

- Tu as dis hier que nous passerions la journée à faire l’amour. Pouvons-nous commencer?

 

Décidément, Julia ne pensait qu’à cela. Avec son acquiescement, elle s’empara de la colonne charnelle de l’homme et la massa en la comprimant, comme si déjà elle avait voulu en tirer un maximum de semence. Elle ne prolongea pas outre mesure cette première branlette matinale. Sa bouche prit le relais sans se faire attendre. Oeuvrant avec un art frisant la perfection, elle suça et lécha le dôme fendu suivant la ligne des gros bourrelets et termina sa course sur le fragile filet. Continuant la fellation, Julia se retourna, exhibant sa vulve devant le visage de l’homme.

 

Il écrasa sa bouche sur sa chatte mûre à point de laquelle sortait une mouille de plus en plus abondante et odorante. Il la récupérait en lapant dans la fente et portait toutes ses ardeurs sur la toute petite pointe érigée d’un clitoris transformé en bloc de granit.

 

D’un geste brutal, il bouscula Julia sur le lit et lui releva les jambes à la verticale en lui écartant les cuisses de manière à bien dégager la fourche sexuelle. Il plongea la tête la première sur le fastueux festin qui s’offrait à ses yeux et à sa bouche. Il suçait, léchait et mordillait tandis que Julia se tordait déjà sous la jouissance qui commençait à lui titiller les entrailles, gloussant la bouche entrouverte, les yeux fermés, les deux mains posées sur la tête de l’homme comme si elle avait craint qu’il ne se retire avant d’avoir obtenu satisfaction complète.

 

Il se dessouda malgré tout de sa vulve et eu vite fait de se mettre en place entre les cuisses écartelées. Il dirigea son gland vers l’entaille. Pour mieux se concentrer sur l’acte, Julia propulsa son ventre en avant dans une offrande totale de son corps et gémit à en fendre l’âme dès que le gland de son maître s’infiltra dans ses chairs. Alors, pour la première fois, elle se fit vulgaire:

 

- Oui! Oh, oui! Prends-moi! Baises moi! Donnes toute ta queue à mon con, remplis-le de ton foutre! Oui!... Oh, oui! Ah! Que c’est bon de posséder ta bite dans mon ventre!

 

Il allait et venait dans son ventre, d’abord avec une extrême lenteur, puis de plus en plus vite au fur et à mesure que se précisait une jouissance qu’elle aurait du mal à contenir. Brusquement elle le repoussa, le priant de s’allonger sur le dos. Elle l’enfourcha et s’accroupit sur sa verge. Elle conduisit elle-même d’une main ferme la hampe vers sa faille sexuelle. Elle promena le gland tout le long de la crevasse, le frottant contre les grandes lèvres et s’empala brusquement dessus. La totalité de la queue de l’homme disparut tandis que les muqueuses gourmandes se resserrèrent aussitôt sur le visiteur.

 

Elle s’était enfoncée le braquemart jusqu’à la garde et se régalait jusqu’au fond de sa chatte de son phallus qui déclenchait en elle cette volupté tant attendue. Elle se mit à onduler du cul pour mieux sentir l’engin qui se complaisait à pistonner le con inondé. Elle agitait spasmodiquement son arrière-train pour ne pas perdre un centimètre de la verge qui la taraudait au plus profond de sa féminité. Elle haletait comme une locomotive pendant qu’elle remuait d’un mouvement vertical, se levant et s’abaissant lentement pour bien sentir chaque millimètre de la pénétration dans son conduit vaginal.

 

Julia, transfigurée, accéléra soudain la cadence:

 

- Vas y, hurla-t-elle presque dans un cri de victoire! Vas-y! C’est le moment où jamais de jouir!

 

Elle poussa un beuglement de vache saillie. Une terrible explosion ravagea son bas-ventre enflammé. D’infernales secousses traversèrent son corps et une grandiose jouissance envahit son esprit dans une sublime extase. Son jus de jouisseuse déferla sur le membre de l’homme pour se perdre dans les plis du scrotum. C’est alors qu’il éjacula. Julia encaissa les giclées jusqu’au fond de son vagin palpitant. Le foutre de l’homme se fondit avec le fleuve de cyprine pour ne plus former qu’un magma gluant qui déborda bientôt de la vulve en de longues et luisantes rigoles.

 

Julia se leva et recueillit le mélange en se caressant le vagin. Elle s’enduisit le corps, s’en frotta le visage en léchant ses doigts devant celui, ahurit, de l’homme qui n’en revenait pas. Elle se mit à quatre pattes, rejeta les hanches en arrière dans un geste obscène, écarta ses fesses pour dégager au maximum son trou anal. Comprenant le message, il ne se fit pas prier. Il s’approcha de l’entre fesse généreusement exhibée et pointa son gland sur le sphincter brunâtre qui se contracta dès les premiers attouchements. Il donna un premier coup de ventre pour tester la résistance du sphincter et constata avec plaisir qu’il n’aura pas besoin de trop forcer pour en obtenir l’ouverture. Un deuxième coup fut d’ailleurs suffisant pour qu’une bonne partie de son membre disparaissent dans la cavité anale. Il imprima alors à son bas-ventre les indispensables mouvements de va et vient.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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