Vendredi 24 août 5 24 /08 /Août 07:53
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Le vendredi suivant, Geoffrey emmena Julia au club sans lui dire où ils allaient. En plus de son collier et de sa laisse, elle portait une superbe robe de satin rose extrêmement moulante qui mettait en valeur ses formes provocantes. Cette robe, d’un décolleté profond, serrée à la taille et s’évasant en de larges plis jusqu’au sol, soulignait sa poitrine ferme, sa taille fine et sa croupe ample. Sachant que les membres présents demanderaient à la déshabiller, il avait demandé à Julia de mettre une culotte. Geoffrey savait Alexia sensible à ce détail.
Alexia les accueillit en souriant:
- Entrez, nous vous attendions avec impatience.
Ils entrèrent dans le salon. Deux hommes que Geoffrey avait déjà vus la dernière fois les attendaient. Il fit les présentations:
- Julia! Je te présente Alexia, Pierrick et Xavier qui brûlent de mieux te connaître.
Alexia se leva et dit à Julia de la suivre. Julia jeta des regards interrogateurs à son Seigneur, comme elle l’appelait maintenant, qui acquiesça en haussant les épaules pour expliquer qu’il n’était pas au courant du programme précis la concernant dans l’immédiat. Elles sortirent.
Pierrick et Xavier félicitèrent Geoffrey pour la beauté de sa soumise et le remercièrent de bien vouloir la partager avec eux. Il apprit que la fille, qu’il avait vu chevauchant malgré elle la machine à plaisir, appartenait à Pierrick et que Xavier, quant à lui, possédait celle qu’on allait initier cette semaine.
Ils prirent un verre et allèrent se préparer. En entrant dans la salle de travail, ils virent l’esclave de Pierrick, Inès, à moitié debout dans une position fort inconfortable, jambes fléchies, les muscles des cuisses contractés pour supporter le poids du corps. Elle ne portait que des chaussures dont les talons vertigineux menaçaient à tout instant son équilibre, ce qui, pour elle, eut été fort douloureux. Elle avait en effet, comme Julia aura le lendemain matin, dans chaque téton et dans chacune des grandes lèvres de sa vulve, des anneaux. De ces anneaux partaient des chaînes, attachées soit au sol, soit au plafond. Inès ne pouvait pas se mettre complètement debout car les chaînes de sa vulve fixées au sol étaient trop courtes. De même, elle ne pouvait pas s’accroupir totalement car celles fixées au plafond étiraient déjà fortement ses seins vers le haut. C’est pourquoi, dans cette position extrêmement fatigante, elle ne pouvait pas se permettre de perdre l’équilibre sans laisser au sol ou au plafond une partie de son anatomie.
Les jambes flageolantes, tétanisées par l’effort, les seins et les lèvres étirés à la limite de l’élasticité de ses chairs, Inès laissait échapper des gémissements de douleur. Des larmes coulaient sur ses joues.
- Sans un peu de peine, il n’y a pas de plaisir, lui dit Pierrick. Ne l’oublie jamais ma petite!
Il ponctua sa phrase d’un coup de martinet sur le ventre. Les lanières de cuir arrachèrent à Inès un petit cri, qui lui valu aussitôt une gifle magistrale. Sous l’impact, elle faillit basculer. Elle se rattrapa de justesse, mais elle tira tellement sur ses grandes lèvres, que quelques gouttes de sang apparurent au niveau du trou dans lequel passait un des anneaux. Malgré la douleur, elle ne cria pas, ayant apprit la leçon à ses dépends.
- J’ai horreur quand elle pleurniche, nous expliqua Pierrick.
C’est alors qu’apparut Alexia. Elle portait une culotte de cheval et un chemisier tout deux d’un blanc immaculé, une large ceinture, des gants et de hautes bottes montantes en cuir verni noir.
- Nos deux dernières invitées sont devant la porte, leur annonça-t-elle. Etes-vous prêts messieurs ?
Ayant leur assentiment, elle demanda à Julia de faire entrer la nouvelle recrue. Cette dernière était entièrement nue, à part un bandeau sur les yeux.
Julia, quant à elle, portait ses escarpins et ses bas, ainsi qu’une guêpière de taffetas de nylon noir, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l’intérieur. Elle était très étroitement lacée, ce qui creusait sa taille et ses hanches faisant ressortir ses seins et ses fesses. La guêpière descendait sur le ventre, presque jusqu’au pubis qu’elle dégageait, ainsi que les hanches. Elle était plus courte derrière et laissait les fesses entièrement libres. Les bras de la jeune femme étaient attachés dans le dos, serrés au niveau des coudes et des poignets.
- Vous connaissez déjà Julia, dit Alexia, mais laissez-moi vous présenter Aurélie.
Pierrick s’approcha de Julia et lui dit d’aller servir de siège à Inès qui visiblement n’en pouvait plus. Il la fit asseoir par terre, entre les jambes de son esclave, le visage dans son bas-ventre, et fit asseoir Inès sur ses épaules, de sorte que le visage de Julia était enfoui, bouche contre vulve, dans l’entrejambe de sa collègue, qui pour mieux tenir serrait les cuisses.
Ensuite, ils s’occupèrent d’Aurélie, qui attendait, toujours nue, debout, les yeux bandés. On la fit avancer, trébuchant un peu. Geoffrey prit Alexia à part et lui demanda si Aurélie avait été mise au courant de ce qui l’attendait.
- Non, répondit-elle. Xavier lui a seulement parlé d’une grosse orgie classique.
Pierrick et Xavier s’occupaient chacun d’un sein, le triturant, le suçant, mordillant les tétons bandés. Geoffrey se plaça derrière, admirant sa chute de rein. Ses deux mains descendaient le long de ses reins et de l’une d’elle il la pénétra des deux parts à la fois, si brusquement qu’elle cria, plus de surprise que de douleur. Alexia rit. On l’approcha de la table en bois basculante sur laquelle était attachés en position ouverte quatre bracelets de cuir : Un à chaque coin. On la força gentiment à se coucher sur le dos sur la table. Alexia lui ouvrit les jambes alors que Geoffrey lui écarta les bras. Pendant qu’Alexia lui écartait doucement les lèvres et collait sa bouche à sa vulve, Geoffrey s’occupait goulûment de ses seins. Tout occupée par leurs caresses, Aurélie ne se rendit pas compte que Pierrick et Xavier, qui avaient pris le relais pour maintenir bras et jambes écartés, les avaient attachés aux bracelets.
Sur un signe de Xavier, Alexia et Geoffrey arrêtèrent leurs caresses et tout le monde lâcha Aurélie. Elle voulut bouger, mais ne le pu, ses bras et ses jambes étant entravés à la table. Comprenant ce qui se passait, prise de panique, elle se tortilla dans tous les sens et se mit à crier. Aussitôt, Alexia lui mit sur la bouche une large bande de tissu autocollant. Elle ne pouvait plus ni parler ni crier. Elle ne pouvait que gémir.
S’adressant à Xavier, Alexia demanda:
- Tu ne l’as jamais attachée ?
- Non, jamais, répondit-il.
- Ni fouettée ?
- Jamais non plus, mais justement...
- Justement, l’interrompit Pierrick, si tu la fouettes un peu, et qu’elle y prenne plaisir, non.
- Ce qu’il faut, continua Alexia, c’est dépasser le moment où elle prendra plaisir, pour obtenir les larmes. Sur ce, messieurs mettez vos cagoules.
Alexia tendit à chacun d’eux une cagoule en caoutchouc entièrement fermée avec de petites perforations pour les yeux et un trou au niveau de la bouche permettant de s’en servir. Une fois que chacun eut mit sa cagoule, Alexia enleva le bandeau et le bâillon d’Aurélie pendant qu’ils firent basculer la table de manière qu’elle se trouve debout, bras et jambes maintenus en croix.
Le regard d’Aurélie se posa sur chacun des membres présents avec plus d’étonnement que d’inquiétude. Ce fut lorsqu’elle vit Inès et Julia que la crainte apparut. Alexia prit la parole.
- Tu es ici pour semaine Aurélie. C’est une sorte d’école où nous allons t’apprendre l’obéissance et la soumission. Nous allons faire de toi une esclave totalement dévouée à son maître. Avec nous tu apprendras la souffrance, non seulement morale, mais aussi physique, la souffrance de ton corps dans toute sa révoltante acuité. Tu seras humiliée bien plus que tu ne peux l’imaginer, tu seras battue, enchaînée, forcée, et la moindre caresse qui te sera accordée, la plus petite faveur faite à tes sens, tu devras la payer de tes cris de douleur. Tu seras fouettée, beaucoup !
- Car une femme, continua Xavier, n’est jamais aussi belle que sous le feu de la lanière qui la fait se tordre et hurler. C’est au moment où sa volonté défaille en cédant à la souffrance, et que son corps tout entier se libère de ses contrôles, que ses jambes, ses fesses, sa taille et ses seins se magnifient et prennent tous leurs sens érotiques dans les mouvements involontaires et irrépressibles qui naissent de chaque cinglement du fouet, que la femme devient pour nous un véritable objet digne d’adoration.
- Tu seras, fouettée, salie, humiliée, reprit Alexia, afin que tu comprennes que ton corps ne t’appartient plus, que tu ne t’appartiens plus. Tu es maintenant la propriété de ton maître. Il nous a précisé que tu as toujours refusé de porter des talons hauts, minijupes, lingerie sexy et autre accessoires, car, disais-tu, cela faisait trop pute.
Tu es moins qu’une pute maintenant. Une pute se donne pour de l’argent. Toi, tu te donneras à n’importe qui, n’importe où et de n’importe quelle manière pour rien, sur simple ordre de ton maître. C’est pour cela qu’en plus des bracelets de cuir aux poignets, et d’un collier au cou, tu porteras pendant toute la semaine et sans interruption, sauf pendant la toilette, des bottines dont les talons font près de douze centimètres.
Alexia alla chercher dans l’armoire une paire de bottines de cuir noir verni, montant jusqu’aux dessus des chevilles, entièrement fermées par un lacet et une bande large sur la bas du mollet. Cette bande comportait un cadenas, de sorte que seul le possesseur de la clé pouvait permettre d’enlever les chaussures. Il y avait aussi un anneau qui permettait de s’en servir comme d’une chevillière normale. Pierrick et Xavier mirent les chaussures à Aurélie après lui avoir enfilé de petites soquettes pendant que Geoffrey lui passait autour du cou son collier. Ceci terminé, Alexia détacha les menottes de la table et fit venir Aurélie au milieu de la pièce. Elle avait beaucoup de difficulté à tenir debout, ses chevilles n’étant pas habituées à devoir supporter son corps avec ses pieds ainsi cambrés.
- Voici ta tenue de base pour la semaine, lui expliqua Alexia. Sauf ordre contraire, tu seras toujours habillée ainsi.
Ils allaient attacher Aurélie au plafond quand Pierrick protesta qu’il la voulait prendre d’abord, et tout de suite. Il la fit mettre à quatre pattes. La maintenant des deux mains aux hanches, il s’enfonça sans ménagement dans son ventre.
Aurélie manifesta sa douleur en un long râle pendant toute la pénétration de la verge dans son con, puis en de brefs petits cris à chaque aller retour puissant ponctué par les claque¬ments des cuisses de Pierrick sur ses fesses. Il allait et venait si fort dans le vagin, que tout le corps d’Aurélie était secoué de tremblements et que ses seins ballottaient durement dans le vide. Une fois vidé en elle, il céda la place à Xavier qui ne la ménagea pas plus. Les cris d’Aurélie se muèrent peu à peu en râles de plaisir, mais elle n’eut pas le temps d’en profiter, Xavier éjacula avant.
Pendant ce temps, Alexia se fixa au bas-ventre un godemiché de belle taille qui était maintenu par des lanières à la taille. Elle voulut se frayer un chemin au plus étroit, non sans gel lubrifiant, et forçant brusquement, fit de nouveau hurler la future esclave. Etait-ce de plaisir, de douleur ou d’humiliation ? Toujours est-il que son corps se tordait, essayant d’échapper aux morsures de l’engin qui lui labourait le fondement. Quand Alexia la lâcha, Geoffrey lui fit relever le torse de sorte que sa bouche ne soit pas épargnée. Une fois le visage couvert de son sperme, il la laissa à la renverse par terre, gémissante et salie, le visage luisant de sperme et l’anus brillant de gel.
Pierrick était retourné avec Alexia et Xavier vers Inès et Julia. Ils les séparèrent et les deux hommes laissèrent Inès au bout de ses chaînes ne s’occupant que de Julia. Xavier était par terre avec Julia embrochée sur son membre et couchée sur son torse pendant que Pierrick officiait dans son rectum. Ainsi prise par les deux trous, le corps de Julia était secoué au rythme des deux hommes alors que la pauvre Inès, jambes et chevilles tremblantes, essayait de rester debout en tirant fortement sur ses seins pour soulager les lèvres de son sexe.
Alexia alla s’occuper d’Inès. Elle avait pris la place de Julia, maintenant fermement les cuisses d’Inès contre ses épaules, tandis que sa bouche se collait à sa vulve. Alors que sa langue prenait possession des nymphes maltraitées, elle descendait progressivement, entraînant l’esclave avec elle. Si les chaînes de ses lèvres se détendaient, ses seins, par contre, étaient durement étirés vers le haut, ses tétons arrivant presque au niveau de ses yeux baignés de larmes.
Geoffrey s’approcha d’elle par-derrière et empoigna ses deux seins tendus qu’il malaxa pour son malheur, puis il s’enfonça dans son anus. Apparemment, il avait été préparé. Alexia la lâcha et Inès retrouva sa position initiale. Geoffrey ramonait sauvagement entre ses reins tout en continuant à malaxer ses seins. A chacun de ses coups de boutoir, les lèvres de sa vulve s’étiraient à la limite du déchirement. Inès hurlait de douleur. Lorsque Geoffrey eut fini, Pierrick, toujours enfoncé dans le cul de Julia, lui demanda de la punir pour ses cris. Geoffrey prit le martinet et fouetta les seins étirés qui tressautaient sous les lanières en insistant sur le dessous qui est rarement aussi facile d’accès. A chaque coup, apparaissaient de fines marques d’un rouge sombre alors que la couleur générale des seins passait au rose. Durant toute la séance, Inès ne cessa de hurler. Ce n’est qu’une fois son torse et son ventre couvert de zébrures que Geoffrey arrêta et détacha les chaînes de son sexe. Elle se releva précipitamment, en titubant sur ses talons, pleurant toutes les larmes de son corps, les jambes tremblantes de l’effort fourni. Alexia les lui écarta et faufila sa tête entre pour s’occuper de sa chatte douloureuse avec des bruits de succion très expressifs.
Les hommes retournèrent vers Aurélie, toujours à quatre pattes, la firent relever en lui expliquant que tant qu’elle serait dans cette maison, elle ne saurait jamais qui la violerait ou la tourmenterait. Elle ne saurait jamais quels étaient les responsables du pire. Mais ils voulaient que pour la première fois elle se vit fouettée, et que c’était pour cela qu’ils avaient mis des cagoules. On l’amena sous l’anneau du plafond et on lui attacha les mains au-dessus de la tête, de manière assez lâche. Elle pouvait donc bouger et voir venir les coups. Alexia abandonna Inès accrochée par les tétons et s’approcha, frotta son corps à celui d’Aurélie, une main sur un sein, l’autre au creux de son ventre. Elle lui dit:
- Tu peux crier, te débattre, pleurer et supplier. On veut t’entendre hurler ta soumission, mais on n’en tiendra pas compte. On ne jugera du résultat, non pas par tes cris ou tes larmes, mais par les traces plus ou moins vives ou durables que les fouets laisseront sur ta peau.
L’orgueil qu’Aurélie mit à résister et à se taire ne dura pas longtemps: on l’entendit supplier qu’on la détache, qu’on arrêta un instant, un seul. Elle se tordait avec une telle frénésie pour échapper aux morsures des lanières, qu’elle tournoyait sur elle-même, perdant l’équilibre, se tordant les chevilles avec ses bottines dont elle n’avait pas l’habitude. Elle bougeait si bien, que le ventre, le devant des cuisses et le côté avaient leur part autant que les reins et les fesses.
Xavier remarqua que le fouet de cuir la marquait beaucoup moins que la corde mouillée ou la cravache, et donc, permettait de faire durer la peine. Entre-temps, Pierrick demanda un répit pour profiter de la croupe échauffée d’Aurélie dont il écarta les deux parties qui brûlaient sous ses mains et la pénétra non sans mal malgré le gel dont il était encore imbibé, tout en faisant la réflexion qu’il faudrait rendre ce passage plus commode.
Pendant que Pierrick officiait dans le rectum d’Aurélie, Geoffrey dit à Julia de venir se coucher sur le dos à côté d’eux, jambes pliées et écartées, attendant dans cette position que quelqu’un veuille bien la prendre. Elle s’exécuta, leur dévoilant dans une impudeur totale ses deux orifices. Geoffrey alla chercher dans l’armoire deux godemichés et revint vers Julia.
- Afin que tu sois toujours remplie, mets ces deux godes et maintient-les en place. La personne voulant te prendre enlèvera le gode du trou voulu et le remettra en place.
Elle se mit un gode dans le vagin et l’autre dans le cul. Son mari la laissa ainsi.
La séance de fouettage dura une demi-heure, pendant laquelle Julia se fit pénétrer une dizaine de fois. Aurélie était rouge des marques de fouet et Julia toute collante du sperme qu’on avait étalé sur son corps. Inès, quant à elle, était toujours debout dans son coin les seins accrochés au plafond par les anneaux de ses tétons, piétinant sans cesse car il lui était de plus en plus difficile de supporter la cambrure extrême des pieds imposée par ses chaussures.
- Il est temps que l’on s’occupe sérieusement de Julia, dit Alexia. Viens ma belle, allonges-toi sur le dos sur cette table.
Julia s’assit sur le bord de la table. Alexia la prit aux épaules, la posa sur le bois, puis tira un peu en avant par la taille. Les mains de Julia s’agrippaient au rebord de la table, où Pierrick les assujettit aux bracelets ayant maintenus auparavant les chevilles d’Aurélie. Ses reins étaient dans le vide. Alexia lui fit plier les genoux vers la poitrine, tandis que Xavier passait des sangles dans les bracelets de ses chevilles, les attachant, écartées, à la poutre passant au-dessus de la table. Julia était exposée de telle manière que la seule chose d’elle qui fût visible était le creux de son ventre et de ses reins violemment écartelés. Son torse était fermement maintenu à la table par des sangles de cuir qui passaient sur ses épaules, sous ses seins et sur son ventre. Alexia lui caressa l’intérieur des cuisses, la vulve et le mont de Vénus. Regardant Geoffrey, elle dit:
- C’est l’endroit du corps où la peau est la plus douce. Il ne faudra pas l’abîmer. Vas-y doucement.
Geoffrey prit le martinet. Aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre, Julia gémit. Son Seigneur passait de la droite à la gauche, s’arrêtait, reprenait. Julia se débattait de tout son pouvoir. Geoffrey cru que les sangles la couperaient en morceaux. Mais elle ne criait pas, le regard dans le vague lorsque les paupières n’étaient pas fortement fermées par la souffrance.
- Plus vite, lui dit Alexia, et plus fort !
Julia se raidit, mais en vain. Elle hurla de douleur sous les coups pendant cinq minutes.
S’approchant de Julia, Alexia lui dit en lui caressant son front inondé de sueur.
- La façon dont tu as été fouettée, comme la posture où tu es liée n’a d’autre but que de te rendre plus présente et aiguë ta condition de femme esclave, Julia. Tu vas rester comme ça, jambes ouvertes et relevées, exposée sur la table face à nous le reste de la séance. Tu ne pourras cesser de désirer refermer les jambes.
Alexia alla chercher dans l’armoire un coffret de cuir vert qu’elle posa sur le ventre de Julia.
- Ton maître ne t’a rien dit, demanda-t-elle ? Julia fit non de la tête. Et bien voici les anneaux qu’il désire te faire porter.
Alexia sortit du coffret les anneaux et la plaque que Geoffrey avait achetés. C’étaient des anneaux en plaqué or. La tige en était ronde, d’un diamètre de cinq millimètres, et ils étaient oblongs. Alexia montra à Julia que chacun était formé de deux U qui s’emboîtaient l’un dans l’autre et se bloquaient définitivement.
- Tu porteras d’abord un modèle d’essai que l’on peut enlever.
Chaque anneau était long comme deux phalanges du petit doigt. Au bout de la chaîne pendra un disque d’or. Le disque était aussi large que l’anneau était long. Sur une face il y avait son nom et sur l’autre celui de son mari. Dans le coffret il y avait deux autres petits anneaux d’or, comme ceux que l’on porte au doigt.
- Tu porteras la grosse chaîne à ton ventre, sur une des lèvres de ta vulve, sur l’autre ne sera fixé qu’un anneau. Les deux petits seront pour tes seins.
- Mais..., dit Julia!
- Eh oui ! Comme cela tu appartiendras complètement à ton maître. Je te percerais à la fin de la séance dans quelques heures. Cela fait moins mal que le fouet que tu viens de recevoir.
- Mais, vous ne m’endormirez pas, s’inquiéta Julia tremblante ?
- Jamais de la vie, répondit Alexia ! On resserrera un peu tes liens, c’est tout. Inès y est passée et ne s’en porte pas plus mal.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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