Samedi 1 septembre 6 01 /09 /Sep 09:40
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Xavier et Pierrick étaient partis mettre Inès au lit. Il ne restait dans la salle de travail que Geoffrey, Julia, vulve offerte, et Alexia qui s’occupait activement d’Aurélie qui avait de nouveau les yeux bandés.
Allant et venant dans le ventre de Julia, Geoffrey regardait les deux femmes qui lui offraient un spectacle de choix. Alexia s’était entièrement déshabillée. Ventre contre ventre, seins contre seins, bouche contre bouche, les deux femelles s’en donnaient à cœur joie. Complètement excitée, Alexia chevauchait Aurélie, se frottant la vulve contre les seins de sa partenaire à une cadence folle, enduisant son corps de sa cyprine. Elle glissait progressivement jusqu’à ce que sa tête se trouve entre les cuisses de l’esclave. Alexia plongea alors sauvagement son nez dans la fente à sa disposition. Aurélie gémit quand les lèvres étrangères qui appuyaient sur le renflement de chair d’où part la corolle intérieure, l’enflammèrent brusquement. Elles le quittèrent pour laisser la pointe chaude de la langue l’enflammer davantage. Elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent. Les dents et les lèvres, en une longue morsure, aspiraient le clitoris, et ne le lâchaient plus. Une longue et douce morsure sous laquelle Aurélie haletait.
Alexia la quitta, la laissant le corps enduit de son jus et frustré de plaisir. Geoffrey sortit de Julia et s’approcha d’Alexia. Il la voyait dans toute la splendeur de son corps sculptural, orné au bas-ventre de son triangle noir. Ses hanches ondulaient langoureusement. Leurs deux corps se collèrent. Il commença à la caresser des épaules aux genoux, suivant la ligne de ses flancs frémissants, la courbe ample et régulière de ses hanches s’allongeant vers ses cuisses pleines et fermes. Il revenait galber ses seins sans les pétrir encore, pour redescendre lentement vers son ventre plat et dur qu’il abandonna soudainement avant d’arriver au pubis. Il désuni ses deux cuisses moites, et remonta entre elles jusqu’à la toison qu’il effleurait un instant avant de glisser deux doigts dans l’anfractuosité humide de son sexe en la faisant tressaillir de désir au moment où sa bouche prenait la sienne. Elle entrouvrit les lèvres et consentit au passage de sa langue avide.
Julia avait fermés les yeux en détournant la tête du couple car elle ne voulait pas voir son mari prendre autant de plaisir avec celle qui lui apporterait tant de tourments. Et surtout, attachée comme elle l’était, elle ne pouvait se caresser et, il fallait bien qu’elle l’admette, cela l’excitait.
Les doigts de Geoffrey, après s’être profondément enfoncés dans le vagin gluant d’Alexia, caressaient son entrejambes en allant très loin entre ses fesses chercher le petit cratère, le massant doucement. Puis ils progressaient vers sa vulve pour remonter lentement entre les lèvres douces et légèrement baillantes afin de se poser sur le bourgeon turgescent qu’ils sollicitaient longuement avant de redescendre et recommencer à la faire frissonner délicieusement.
Alexia, intensément émue, gémissait de plaisir dans la bouche de Geoffrey dont la langue active la pénétrait en un mouvement de va-et-vient phallique. Elle se plaça de telle sorte que le bout du pénis frôle la toison de son sexe. Elle leva une jambe pour que le gland vienne glisser sur les lèvres trempées. D’un coup de reins, il poussa son membre dans le con baveux. Elle se mit à exprimer son plaisir par des hululements et des commentaires d’une voix gutturale, se frottant contre lui d’un mouvement ondulatoire de tout son corps. Ces reptations l’excitaient tellement, qu’il éjacula. Alors qu’il se vidait, Alexia se liquéfia en empoissant sa queue.
Ils s’embrassèrent, sa verge toujours en elle, durant de longues minutes devant les yeux pleins de larmes de Julia.
Se séparant enfin, Alexia lui demanda d’aller coucher Aurélie pendant qu’elle s’occupait de Julia.
Arrivés dans sa chambre, Geoffrey remit sa cagoule et retira à Aurélie ses chaussures, son bandeau, ainsi que ses bracelets afin qu’elle aille faire sa toilette. Comme dans toutes les chambres d’esclave du club, la salle de bain et les W.C. ne comportaient pas de portes. Aurélie se leva d’une démarche hésitante, passa devant lui pour se rendre dans le petit cabinet et s’installa sur la cuvette.
- Redresses bien le buste, lui ordonna-t-il, et écarte les cuisses!
Elle obéit et, quand le jet puissant à l’odeur âcre jaillit de son ventre et gicla violemment dans la cuvette en un fort chuintement, elle ferma les yeux, luttant désespérément contre l’envie qui lui venait de pleurer en cédant aux tourments que subissait son orgueil affreusement mortifié. Le flot doré de sa miction s’étant tarie, il la regarda encore s’essuyer la vulve, la poitrine gonflée de sanglots difficilement contenus, et les yeux brillants de larmes impossibles à totalement contrôler.
Elle ressentit de nouveau une grande gêne de devoir procéder à sa toilette, surtout celle concernant les parties les plus intimes de son corps, là où le sperme avait séché, en se montrant nue si totalement dans des positions embarrassantes.
Geoffrey attendit dans la chambre qu’elle ait finit. Il pensait à Julia, qu’Alexia était en train de percer.
Encore un traitement particulier auquel il ne participait pas. Il se demandait s’il ne faisait pas une bêtise de plus. Déjà après le WE passée sans lui, Julia était revenue changée. Changée bien sûr parce que dressée et obéissante, mais plus subtilement aussi. Il avait du mal à se l’expliquer mais son attitude générale envers lui avait changé. Julia était devenue plus distante. Cela aurait pu passer pour du respect et de la soumission envers son seigneur mais Geoffrey n’était pas dupe ou du moins pas à l’aise. Il sentait bien qu’il y avait autre chose.
Aurélie revint. Il lui fit remettre ses chaussures qu’il cadenassa et lui remit ses bracelets et son collier. Il lui saisit les deux mains et attacha ensemble les anneaux de ses menottes à celui de son collier. Ses mains se trouvèrent jointes à la hauteur de son cou. Il ne restait plus qu’à l’enchaîner au mur, avec la chaîne qui reposait sur le lit et passait dans l’anneau scellé dans le mur au-dessus.
Geoffrey défit le crochet qui en fixait l’autre extrémité, et tira pour raccourcir la chaîne. Elle se tendit entre l’anneau du mur et le collier de l’esclave, la déséquilibrant. Juchée sur ses talons extrêmement hauts et les mains liées au collier, elle se tordit une cheville et s’affala de tout son long à côté du lit, arrachant la chaîne des mains de Geoffrey. Il la reprit et lui cingla les fesses avec en lui ordonnant de se lever. Aurélie fut obligée d’avancer vers la tête du lit où il la fit se coucher. Il tendit si bien la chaîne que la jeune femme pouvait à peine se déplacer sur la largeur du lit et encore moins se tenir debout à côté.
La laissant ainsi, nue avec ses chaussures, sur le lit, étroitement enchaînée, Geoffrey sortit de la chambre après lui avoir souhaité une bonne nuit et alla se coucher.
Aux dernières heures de la nuit, juste avant l’aube, Geoffrey retourna dans la chambre d’Aurélie, comme le lui avait demandé Xavier la veille. Il alluma la lumière de la salle de bain ce qui faisait un carré de clarté sur le milieu du lit, à l’endroit où le corps d’Aurélie, mince et recroquevillé, reposait. De sous sa tête il ôta l’oreiller et lui dit de se lever. Lorsqu’elle fut à genoux, ce qu’elle dut commencer à faire en s’accrochant à la chaîne, il l’aida en la prenant par les coudes pour qu’elle se dressât tout à fait, et s’accotât au mur. Il détacha alors la chaîne du mousqueton, et l’accrocha à un autre maillon de manière qu’elle reste tendue. Il détacha ensuite les bras d’Aurélie pour les attacher ensemble, croisés dans le dos, à sa nuque. Il prit sa cravache à sa ceinture, la leva. Elle s’abattit en sifflant sur le travers de ses reins. L’esclave hurla jusqu’à ce que, lui ayant mit un bâillon, elle ne puisse plus que gémir. Geoffrey la cravachait à toute volée, recommençant quatre fois en prenant bien soin à chaque fois de cingler soit plus haut, soit plus bas pour que les traces fussent nettes. Il avait cessé qu’elle gémissait encore, et que ses larmes coulaient sur son cou.
- Retournes-toi, lui ordonna-t-il!
Comme, éperdue, elle n’obéissait pas, il la prit par les hanches et la mis dos au mur. Il en profitait pour caresser son beau corps zébré des marques de la flagellation de la veille. Il prit un peu de recul, puis, de toute sa force, abattit la cravache sur le ventre et une deuxième fois sur le devant des cuisses.
Le tout n’avait duré que cinq minutes. Après avoir éteint la lumière et être ressorti, il regarda Aurélie par la petite fenêtre, gémissante, oscillant de douleur le long du mur, au bout de sa chaîne, à genoux sur le lit les bras attachés croisés dans le dos à sa nuque, dans le noir. Geoffrey la laissa ainsi et retourna se coucher en passant devant la chambre de sa femme. Il s’arrêta un moment pour la regarder dormir par la fenêtre du couloir. Bizarrement, il n’osait pas entrer la réveiller alors qu’il s’avait très bien que cela ferait plaisir à Julia qu’il s’occupa d’elle. En fait, c’est la pauvre Aurélie qui avait fait les frais de son malaise. C’est en colère contre lui-même qu’il se coucha et se rendormit.

Plus tard ce matin, Geoffrey entrait dans le salon afin d’y prendre le petit-déjeuner. Il était le dernier. Pierrick et Xavier étaient attablés devant un café et des croissants. Alexia se préparait un thé. Ils se saluèrent. C’est alors qu’il vit Aurélie debout au milieu de la pièce, un bandeau sur les yeux. Xavier la lui montra du doigt disant qu’elle était à la disposition de tout le monde pour la petite envie matinale. Le remerciant, il s’approcha d’elle. Les balafres sur ses fesses et son ventre s’étaient gonflées, et formaient des bourrelets étroits d’un rouge sombre, presque bleu.
Il la prit d’une main au ventre et la poussa vers le sofa. Il la fit mettre à genoux, le dos contre le canapé, et pour qu’elle s’y appuyât plus près des épaules que de la taille. Il lui fit écarter les cuisses. Ses mains reposaient contre ses chevilles, ainsi sa vulve était-elle entrebâillée, et au-dessus de ses seins offerts, sa gorge renversée. Geoffrey dénoua la ceinture de sa robe de chambre, enjamba Aurélie, la saisie par la nuque et s’enfonça dans sa bouche. Ce n’était pas la caresse de ses lèvres le long de sa verge qu’il recherchait, mais le fond de sa gorge. Il la fouilla longtemps et sentit gonfler et durcir en elle le bâillon de chair qui l’étouffait, et dont le choc lent et répété lui arrachait des larmes sous son bandeau. Pour mieux l’envahir, il avait fini par se mettre à genoux sur le sofa de part et d’autre de son visage, et ses fesses reposaient par instants sur sa poitrine. Sans achever son plaisir, il se retira de sa bouche en silence et se remis debout sans refermer sa robe de chambre.
Il la fit ensuite se courber, prosternée devant son maître, Xavier, les coudes à terre et la tête entre ses bras. Il alla prendre sur la table le beurrier et revint vers Aurélie. Sous les yeux hilare de Xavier, il étala avec ses doigts un gros morceau de beurre sur et dans son anus. Il fit de même avec sa verge avant d’aller se laver les mains. Il revint vers la jeune femme toujours prosternée devant Xavier, présentant son cul enduit de beurre. La soulevant aux hanches, il força ses reins pour la déchirer. Une première fois elle ne cria pas. Il s’y reprit plus brutalement, et elle cria. Et à chaque fois qu’il se retirait et revenait, donc à chaque fois qu’il le décidait, elle criait. Lorsqu’il en eut fini, il dit à Xavier:
- Pierrick a raison. Elle est trop étroite, il faut l’élargir.
- Pas trop tout de même, dit Pierrick.
- A votre gré, répondit Xavier, vous êtes aussi bon juges que moi.
Geoffrey fit relever Aurélie, la conduisit au sofa où il la fit asseoir devant, par terre, le dos appuyé contre l’assise du canapé, les jambes écartées et repliées le plus possible contre elle. De la table, tout le monde pouvait admirer le double sillon écartelé de son ventre et de ses reins brillant de beurre et de foutre. Il lui ordonna de se caresser elle-même, mais de ne pas refermer les jambes. Aurélie allongea docilement vers son ventre sa main droite, et rencontra sous ses doigts l’arête de chair où se rejoignaient les fragiles lèvres de sa vulve qu’elle se mit à masser.
Assis à table, tout le monde se mit à manger en regardant le spectacle. S’adressant à Alexia Geoffrey demanda :
- Comment cela s’est-il passé cette nuit, avec Julia?
- Oh, très bien! répondit-elle. Elle porte pour l’instant les anneaux d’essai.
- Quand pourra-t-on installer les anneaux définitifs?
- Dans une semaine ce sera bon. Vous n’au¬rez qu’à repasser, tout les deux, vendredi prochain.
- Fantastique!
Alexia se leva, sortit, puis revint de suite avec un coffret où, dans un compartiment, il y avait un assortiment de chaînettes et de ceintures, et dans l’autre, un choix de tiges d’ébonite faites à l’imitation d’un sexe dressé. Toutes avaient en commun qu’elles s’élargissaient à la base, pour qu’on fût certain qu’elles ne remonteraient pas à l’intérieur, ce qui aurait risqué de laisser se resserrer l’anneau de chair qu’elles devaient forcer et distendre. Ces tiges allaient des plus minces aux plus épaisses.
- Voilà pour l’anus d’Aurélie, dit Alexia.
Après avoir mangé, Geoffrey alla voir Julia dans sa chambre. Elle dormait encore, paisiblement, sous le drap où l’on devinait les formes accueillantes de son corps. Il la réveilla doucement, d’un baiser sur les lèvres:
- Bonjour mon amour. Bien dormi ?
Elle fit oui de la tête en s’étirant.
- Comment vas-tu, lui demanda-t-il ?
Sans attendre la réponse, il alla ouvrir les rideaux de la fenêtre. La lumière du jour inonda la pièce.
- Fait voir tes nouvelles parures.
Julia repoussa le drap, lui dévoilant son corps superbe. Elle portait effectivement maintenant un petit anneau dans chacun de ses tétons. Il voulut en prendre un dans ses doigts pour voir de plus près, mais une grimace de douleur de Julia au moment où il touchait son aréole lui fit comprendre de ne pas pousser plus loin ses investigations. Julia écarta les cuisses pour lui montrer sa vulve. Dans chacune de ses grandes lèvres se trouvait un anneau approximativement de la même taille que ceux de la chaîne qu’il avait achetée. Il effleura de ses lèvres sa vulve nouvellement parée, ainsi que ses deux seins, pour terminer en collant sa bouche à la sienne. Ils s’embrassèrent longuement.
Un quart d’heure plus tard, Geoffrey retourna au salon. Aurélie était habillée d’un harnais de cuir comportant un «soutient gorge» et une «culotte» reliés à un large collier. Alexia était en train de fixer sur Aurélie la dernière lanière retenant le godemiché. Désormais, huit jours durant, entre le levé du jour et le début de son service au bar, huit ou dix heures généralement, Aurélie portera un godemiché fixé au centre de ses reins par trois lanières tendues à une ceinture de cuir autour de ses hanches, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne pu le repousser. Une lanière suivait le sillon des fesses, les deux autres le pli des cuisses de part et d’autre de la chatte, afin de ne pas empêcher qu’on y pénétrât au besoin.
Chaque jour elle était ainsi écartelée davantage car chaque jour, Alexia, qui la faisait mettre à genoux, ou plutôt se prosterner, fixait un gode de la taille supérieure. Au repas du soir, que les esclaves présentes prenaient ensemble, nues, dans la même salle, Aurélie le portait encore, et du fait des lanières et de la ceinture, tout le monde pouvait voir qu’elle le portait. Il ne lui était enlevé qu’au moment de la toilette avant le service du soir. Rares furent les nuits où il ne se trouva pas quelqu’un pour faire usage de cette voie ainsi rapidement rendue aussi aisée, bien que toujours plus étroite, que l’autre. Au bout de huit jours aucun appareil ne fut plus nécessaire et Xavier dit à Aurélie qu’il était heureux qu’elle fut doublement ouverte, et qu’il veillerait à ce qu’elle le demeurât.

Geoffrey, quant à lui, était revenu avec Julia pour la pose définitive de ses anneaux. Les fers, qui trouaient maintenant le lobe gauche de sa vulve et portaient en toutes lettres qu’elle était sa propriété, lui descendaient jusqu’au tiers de la cuisse, et, à chacun de ses pas, bougeaient entre ses jambes comme un battant de cloche. A chaque fois qu’ils sortaient, sauf pour aller voir des gens qu’ils connaissaient avant la pause des anneaux, Julia portait une robe ou un T-shirt moulant sans rien dessous. On devinait ainsi sous le tissu la forme des petits anneaux de ses seins. Julia ne semblait pas gênée par le port de ses fers, au contraire, Geoffrey ressentait en elle une certaine fierté. Même le jour où, une fois n’est pas coutume, il lui fit porter un pantalon moulant blanc. On voyait très bien les anneaux de son sexe et la chaîne collée à sa cuisse. Une seule fois elle eut honte lui raconta-t-elle : la première fois qu’elle alla voir sa gynécologue. Ce furent les lacérations toutes fraîches plus encore que les fers qui bouleversèrent le médecin.
La première chose qu’il fit en emmenant sa nouvelle Julia à la maison, fut de l’essayer. En entrant, elle se déshabilla, ne gardant que ses chaussures. C’était devenu un réflexe. Aguicheuse, elle le fixa de ses beaux yeux et, ayant dégrafé le gros grain de sa jupe étroite et tiré lentement le zip fermant le vêtement sur sa hanche gauche, elle se déhancha lascivement sur place en frottant l’une contre l’autre ses cuisses dont le nylon, qui les voilait, crissa doucement. Repoussée par les doigts fins aux ongles longs et carminés, la jupe glissa d’une hanche à l’autre qu’elle découvrit peu à peu pour laisser voir, en atteignant ses cuisses fuselées, que la jeune femme ne portait rien d’autre qu’une ceinture de dentelle blanche dont les longues jarretelles barraient ses hanches épanouies pour venir tendre des bas d’une extrême finesse. Elle laissa tomber la jupe à ses chevilles, puis l’enjamba gracieusement pour la saisir et la jeter sur un fauteuil inoccupé. Sous sa veste, elle n’avait effectivement aucun sous-vêtement et, quand elle se fut ainsi dénudée, elle écarta légèrement les jambes cambrées par ses escarpins, projeta son ventre en avant et présenta ses seins relevés sur ses mains en coupes puis, les faisant glisser sur son ventre elle dégrafa le porte-jarretelles. Dégrafant aussi ses bas, elle les roula doucement le long de ses cuisses, avec une superbe impudeur.
- Montres moi comme tu es belle, lui demanda son mari !
Julia tourna sur elle-même, minaudant pour l’exciter, le regardant à travers ses paupières à demi baissées et ses lèvres entrouvertes en un sourire d’une insolente et provocante promesse, jouant avec la chaîne qu’elle portait au bas-ventre.

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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