anatole

Samedi 13 septembre 6 13 /09 /Sep 17:32

Salut tout le monde.

Pour des raisons diverses et variées, cela faisait longtemps que je ne m'étais pas occupé du blog. Mais je n'avais pas laissé tomber.

Voici donc un nouvel article.

Oh, rien de bien exeptionnel mais toujours pervers et bizarre.

L'autre jour, je suis allé chez le quincailler pour acheter trois bricoles (c'est le cas de le dire) et en suis ressortit avec tout plein de truc non prévus mais qui m'ont donnés des idées.

Idées que je me suis évidemment empressé d'essayer.

     

Comme vous pouvez le voir, je portais ce jour là un slip sympa.

  

  

Je me suis tout d'abord amusé avec des anneaux en acier zingué d'un diamètre intérieur de 35mm et 30mm.

J'en ai orné mes testicules.

  

Voilà le résultat.

Mignon n'est-il pas?

  

A la base de mon sexe, derrière les testicules et la verge, est placé un anneau de 35mm. En fait, c'est un tout petit peu trop petit. Non pas à porter mais à retirer.

Le mettre est assez simple, surtout en s'aidant de lubrifiant. Le plus compliqué est, alors que les deux testicules ont déjà été mis en place, de passer la verge. Mais comme c'était au début de la séance, cette dernière était encore toute molle.
La difficulté fut de l'enlever alors qu'elle était encore gorgée de sang et que celui-ci avait du mal à refluer du fait même de l'enserrement de l'anneau.

  

Les quatre autres anneaux ont un diamètre intérieur de 30mm.

Voilà la même chose vue de derrière.

     

Il va sans dire qu'une masturbation s'impose.

     

     

  

 

Chez le quincaillier, j'ai aussi acheté des cadenas.

Pas de photo!

Ceci pour ne pas dévoiler l'utilisation que j'en ai eu.


Par AnatoleTG - Publié dans : anatole
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Samedi 29 mars 6 29 /03 /Mars 15:48

Après tous les différents essais et réglages, me voilà parti pour une séance d'une heure sans sortir du sac plastique.

  

Et cela commence très mal. Il y a un bout de tuyau large qui passe à travers le sac et que je me mets dans la bouche pour respirer. Et ben v'là-t-y pas qu'à la première succion un pan du sac vient se coller contre l'ouverture et m'empêche de reprendre mon souffle. Cela m'a d'autant surprit que je n'avais pas pris de grande inspiration avant.

     

Résultat, un trou dans le plastique. Tant pis, je continue comme çà. En fait, pour la sécurité ce n'est pas plus mal.

  

     

     

  

Le Film 

 

Par Anatole - Publié dans : anatole
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Vendredi 21 mars 5 21 /03 /Mars 07:41

Alors là, cela m'a pris alors que je faisais le ménage (rien de bien bandant, comme vous le savez).
Avant de ranger l'aspirateur, je me suis dit: "Et si ..."
Et voilà.

Et pour l'occasion, j'ai enfilé ma combinaison complète en lycra rouge vif. J'adore. J'ai étalé un grand sac plastique, mis l'aspirateur à côté, placé les caméras, mis un peu de lumière et c'est parti...

J'adore sentir la matière du lycra sur ma peau. Je n'ai pas résisté à me caresser un peu.

  

     

Ensuite, mise en place, de l'aspirateur,

  

de moi-même dans le sac plastique,

     

puis enfin de l'embout de l'aspirateur en essayant de fermer le sac de manière étanche autour du tuyau.

  

Premier essai.

  

     

Bon, çà a l'air d'aller. On continue.

     

Je n'ai pas fait de trous dans le sac. Il était sensé être complètement étanche, d'où impossibilité de respirer. C'est pourquoi je garde la main près de l'interrupteur.

Mais il y avait quand même un truc bizarre. J'arrivais à respirer. Très difficilement certes, mais en forçant de l'air entrait dans mes poumons. J'expliquai çà par le fait que le sac était très grand et que même s'il restait peu d'air, il y en avait suffisamment pour ne pas étouffer trop vite.
Mais quand même, ce n'était pas normal. Ayant arrêté l'aspirateur, de l'air entrait quand même trop facilement.

Bon, nouvel essai.

  

Non, décidément le vide ne se faisait pas. Ou très lentement et ne durait pas.

     

     

Et quand il se faisait, la pression sur mon corps, était beaucoup plus faible que prévu.

  

Non. Il y a quelque chose. Faut voir çà.

 

Résultat de l'investigation: J'avais mal entouré le tuyau avec les bords du sac. Il y avait un gros trou qui laissait passer l'air. Difficilement puisque tout chiffonné quand même, mais suffisamment pour faire merder le truc.

C'est réparé et bien étanche maintenant. Allons-y!

  

     

Là, y'a pas à dire, c'est étanche et le vide se fait.

  

C'est bien sympa. Il est sûr que là j'étouffe.

     

Il y a même un début de panique en essayant de percer le plastique en tendant les bras.

  

Mais je me maîtrise vite et essaie de me calmer en ne bougeant plus. Je peux quand même retenir ma respiration une trentaine de secondes.

Mais le problème est maintenant de sortir du sac. L'aspirateur est certes éteint, mais ce n'est pas pour cela que l'air entre facilement dans le sac via le moteur.
Le sac est très grand, mais très vide d'air.

  

Vite, vite, enlever les élastiques qui maintiennent les bords du côté ouvert du sac autour du tuyau.

Pas facile car par la pression atmosphérique, le sac "colle" et il n'est pas aisé de trouver les élastiques.
Calme! Restons calme et on y arrivera.

     

Et voilà!

  

Bien! Ces ajustements fait, voyons ce que donnent les images avant de continuer.

 

Impeccable! C'était impeccable, sauf que de ne pas pouvoir respirer, outre le fait que c'est dangereux, donc excitant, limite le temps pendant lequel je suis comprimé.

J'ai donc inséré dans le sac un bout de tuyau que je place dans ma bouche et qui me permet de respirer. Cela me permet aussi, dans une certaine mesure, de contrôler le vide dans le sac en desserrant les lèvres, ce qui fait entrer un peu d'air pour diminuer la pression et me permettre de changer de position sans éteindre l'aspirateur.

     

     

Le Film

Par Anatole - Publié dans : anatole
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Samedi 15 mars 6 15 /03 /Mars 08:30

 

Bon, cela fait maintenant une heure et demie que les seringues aspirent mes tétons. Il est temps que je m'en occupe.

Je commence par enlever une première seringue. En tirant dessus bien entendu sans diminuer le vide dans la seringue.

  

Ensuite, sans attendre que le téton ne dégonfle et sans le masser pour diminuer l'intensité de la douleur, j'y place une pince

     

a laquelle est accroché un poids. La sensation du pincement sur le téton gorgé de sang est délicieusement douloureuse. Et lorsque le poids tire dessus ....

  

Mais, comme si la pression des machoires n'était pas suffisante, je rajoute une deuxième pince par dessus pour l'augmenter encore (ainsi que la douleur) et éviter que les pinces ne glissent.

L'autre téton maintenant.

  

  

Voilà le résultat. Les cordelettes sont là pour les séances d'accrochage comme racontée ICI.
Elles sont en place à la bonne longueur, donc je les laisse.

  

Le but de cette séance n'est pas de s'accrocher, mais de secouer les poids dans tous les sens afin de tirer sur les tétons de manière totalement désordonnée.

     

Et quand je secoue, j'y vais franco de port.

     

     

C'est vrai quoi! Faut pas mégoter ....

  

Mes tétons sont complètement martyrisés. La douleur est très intense.

     

Et comme je fais tout çà en me masturbant,

  

ce qui devait arriver arriva.

Je me mis à jouir et pendant l'orgasme, je retire les pinces afin d'accentuer d'un coup la douleur en même temps que l'éjaculation.

     

Et là, bonjour le jaillissement d'endorphine dans le cerveau. Le tout mélangé à l'excès de dopamine ...

  

Wouah! Quel pied!

Le Film (4ème partie)

Le film entier
Par Anatole - Publié dans : anatole
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Lundi 3 mars 1 03 /03 /Mars 21:52

La suite se passe sur le lit. Pourquoi sur le lit? Pourquoi pas. C'est mieux que par terre. Mais surtout, debout sur un lit tout mou oblige à gigoter un peu.

Ce qui secoue les poids accrochés au plug et tire d'autant plus dessus.
Comme vous pouvez le constater ci-dessous.

  

D'ailleurs, je bouge d'autant plus que je n'arrivais pas à fermer la cagoule.

Une fois la cagoule mise, je me suis rendu compte, par une douleur sourde qui se faisait de plus en plus insistante d'abord, puis par la couleur toute bleue ensuite, que j'avais un peu trop serré le ligotage de mon sexe. Entre la préparation et le déménagement du matos, cela faisait quelque chose comme une quarantaine de minutes qu'il était ainsi torturé.

     

Je décidai donc défaire la cordelette.
Comme vous pouvez le constater, le poids tire de plus en plus sur le plug bien gonflé qui se trouve à la limite de sortir.
Ce qu'il finit par faire d'ailleur sans prévenir.

  

Il va sans dire que de retirer le ligotage fait encore plus mal que de le garder. Un peu comme pour les pinces. Je crois que, à la vue de mon sexe, j'ai bien fait d'enlever ce qui, en fait, était un garrot.

Il ne faut pas que cela m'empêche de m'occuper de mon cul en secouant les boules de geisha qui s'y trouvent toujours ...

     

... et de mes tétons en manipulant un peu les seringues.

  

Alors là, j'ai retrouvé une vieille paire de collant.

Je décidai donc d'utiliser le truc classique des mes deux jambes dans une seule du collant.

     

Bon, le résultat ne fut pas terrible, car les collants étaient un petit peu trop petits et j'ai tout déchiré en essayant de l'enfiler comme çà.

  

J'avais vraiment les jambes très serrées la dedans. Je voulu alors me mettre debout, mais c'était loin d'être facile sur un lit dont le matelas s'enfonce sous votre poids.

  

Je réussi quand même avec pour seul résultat de me casser la gueule immédiatement. Je me suis ratrappé de justesse en m'apuyant sur le mur d'en face et réussi à me reposer sur le lit sans dommages.

  

Le Film (2ème partie)

 Sinon, il y a le film complet à la fin de l'article "VFEAM (fin)" 

Bon, le coup du collant étant vraiment merdique, je l'ai viré. De fait, il était trop petit pour faire ce que je voulais.

Passons à autre chose. Le poids accroché ce coup-çi à la ficelle des boules de geisha alors que je suis debout sur le matelas les chevilles ligotée.

Je commence donc par me ligoter les chevilles.

  

  

J'accroche ensuite le poids à la ficelle

et me mets à quatre pattes pour me relever

    

  

Il va sans dire que je sents le poids qui tire sur les boules coincées dans mon rectum. Avant de me relever complètement, j'en profite pour secouer mon popotin histoire de balancer le poids et d'accentuer ainsi les sensations.

  

  

Je fini quand même par me mette debout.

Et de continuer les balancements.

    

Tout en me masturbant bien sûr.

Je vais même jusqu'à sauter sur place.

     

Autre chose.
Je prends la ficelle,

l'accroche à mes chevilles,

  

me mets à quatre pattes

     

avant de me coucher à plat ventre

  

et de tirer sur la ficelle pour faire sortir les boules.

La première

puis la seconde. Celle-ci ayant eut plus de mal à sortir car enfoncée plus loin. Cela faisait quelque chose comme une heure et demie que les boules étaient en place.

  

Le Film (3ème partie)

 Sinon, il y a le film complet à la fin de l'article "VFEAM (fin)" 

Par Anatole - Publié dans : anatole
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