Samedi 1 décembre 6 01 /12 /Déc 13:01

 

Bon! Comme je l'ai dit dans l'article précédent, j'avais oublié de m'échauffer un peu la peau pendant que j'étais accroché au plafond. Vous me direz qu'il n'est effectivement pas très pratique de se fouetter ou de se donner des coups de cravache avec les deux mains attachées au dessus de la tête. Mais j'aurais pu au moins en faire une simulation assez proche avec une seule main accrochée au plafond. Mais voilà, j'ai oublié.

   

   

Je le fais donc non ligoté.

         

Autant avec le martinet j'y suis allé franchement, autant avec la cravache je m'y suis pris plus doucement. Le but n'était pas de torturer la victime, mais simplement, comme je le disais plus haut, de l'échauffer. Histoire de la faire se tortiller dans ses liens somme toute pas très sévères pour qu'elle puisse effectivement bouger. Tout çà pour qu'elle puisse ressentir au mieux la frustration de mouvement engendrée par les cordes.

         

Plus doucement avec la cravache .... Mouais! Si on veut. J'ai utilisé la technique des petits coups répétés au même endroit. Je confirme que cela fait mal quand même, surtout sur la peau déjà irritée par les liens et la sueur.

   

         

Je n'ai évidement pas pu m'empêcher de me branler en même temps. Vous me connaissez maintenant ...

         

Et, il y a certains endroits plus douloureux que d'autres.

         

   

         

   

         

Je ne vous raconte pas comment cela se termine.

   

 

Par Anatole - Publié dans : anatole
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Samedi 24 novembre 6 24 /11 /Nov 14:04

 

Voilà la suite de l'histoire du grand naïf de service.

Après s'être douchée, ma victime, je préfère dire mon sujet d'expérience, revient dans l'entrée, seulement habillé d'un string en simili cuir (en vrai cuir c'est trop cher) avec ses chaussures et son bandeau, toujours sans rien voir, à tâtons. Ce n'est qu'une fois dans l'entrée, toutes portes fermées qu'il enlève son bandeau. Il trouve alors par terre une corde de dix mètres, des pinces à linges, des bas et gants en latex et une cagoule de cuir. Je lui dis de se poser les pinces sur les tétons et de se ligoter lui-même suivant les instructions photographiques d'un livre posé au sol.

En ce qui me concerne, j'avais oublié les pinces. De plus, je l'ai fais dans le salon car me filmer dans l'entrée de deux mètres carré est pour le moins peu pratique.

J'avais prévu de lui faire mettre un string pour deux raisons: d'abord parce que je trouve cela sexy, et surtout pour essayer de le mettre à l'aise vis à vis de moi. Il m’avait précisé qu'il n'était ni homosexuel ni bi et déjà qu'il s'était branlé devant moi, je voulais éviter trop de connotation sexuelle dans cette séance.

         

Ce ligotage est des plus faciles. Il s'agit simplement de faire avec la corde une espèce de harnais, de body, bien serré sur le haut du corps. S'il n'attache aucun membre, il procure quand même une sensation tout à fait agréable en enserrant le torse et le ventre. De plus, il fait une très bonne base pour y attacher ensuite bras et jambes. Indépendamment d'une séance de bondage, ce ligotage peut être porté en toute occasion sous des vêtements.

         

Je ne m'attarde pas sur la méthode de ligotage qui est facilement compréhensible.

   

Je rappelle que durant le ligotage, le sujet porte des pinces aux seins. J'avais oublié de me les mettre. Je l'ai donc fait ensuite.

         

Vient l'habillage en latex.

Une chose: Vous me voyez là avec la cagoule sur la tête. Lui, ne l'aurait mise qu'après s'être habillé, avec, bien entendu, le bandeau sur les yeux sous la cagoule afin de ne pas pouvoir l'enlever même avec les mains libres. Moi, je n'avais pas envie de perdre trop de temps en trucage au montage pour cacher mon visage.

   

   

         

Dur de résister à se branler un petit coup.

         

Ensuite, on joue avec les pinces histoire de sensibiliser un peu plus les tétons.

   

   

   

On commence alors la séance de bondage proprement dite. Simple au début. Ne connaissant pas vraiment son expérience et ne sachant pas ce qu'il peut endurer, j'y vais progressivement. Il est d'abord tout bêtement debout, les poignets attachés au plafond de manière assez lâche qu'il puisse se trémousser. Car il faut préciser que pour le faire bouger, il a droit à essayer ma cravache un peu partout sur le corps. On chauffe l'atmosphère ainsi que son épiderme.

   

Pourquoi le faire se trémousser? D'abord afin qu'il se rende bien compte de la frustration de mouvement qu'implique le ligotage, ensuite pour faire frotter les cordes de l'espèce de harnais et enfin parce que juché sur des talons hauts dont il n'a pas l'habitude, il perd l'équilibre à tout bout de champs. Ce qui ne fait qu'aggraver la chose.

         

   

Ensuite, la même chose avec les jambes ligotées serrées.

         

   

Voilà pour le début.

Cela faisait quelques heures que je faisais le con et j'étais crevé. Je décidai donc d'arrêter la séance et entrepris de retirer les cordes.

         

   

Jolies marques, non?

C'est alors que j'avais enlevé les cordes que je me suis rendu compte que je ne m'étais pas filmé me donnant des coups de cravache. J'ai donc remédié à la chose, mais cela fera l'objet d'un prochain article.


Par Le lapin 2 - Publié dans : anatole
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Samedi 17 novembre 6 17 /11 /Nov 10:15

Le lapin? Quel drôle de titre! Non, non, rien à voir avec le rongeur d'un célèbre magazine.

Je vais simplement vous raconter l'histoire d'un beau lapin que l'on m'a posé.

Il y a un peu plus d'un mois, j'avais rendez-vous avec quelqu'un qui m'avait contacté courant août. Il s'était dit intéressé par une séance de bondage avec moi après avoir vu ce blog et lu mes différents posts. Après plusieurs discussions durant lesquels il me jaugeait afin de savoir s'il pouvait éventuellement me faire confiance (ce qui est tout à fait normal), nous décidâmes d'une date. Il devait venir sur Paris pour autre chose et profitait de l'occasion. Très bien. Nous nous mîmes d'accord pour que le soir j'aille le chercher à son hôtel, que l'on se fasse une première petite séance histoire de faire connaissance, puis éventuellement recommencer toute la journée du lendemain. Je posai donc une journée de congé pour cette date là et lui dit de m'appeler lorsqu'il serait à son hôtel le soir.

Comme vous l'avez compris, j'attends toujours le coup de fil.

C'est moins le fait que la séance ne se soit pas faite qui m'a mit en colère que le fait qu'il n'ai pas eut le respect de me prévenir de l'incapacité qu'il avait de venir ou, comme je le subodore, qu'il ne m'ai simplement pas dit qu'il avait peur et voulait annuler la séance. C'est une chose que j'aurais pu comprendre. Ce n'est pas simple de débarquer chez quelqu'un que l'on ne connaît pas pour se faire ligoter et être ainsi à la merci d'un étranger. On aurait simplement pu aller bouffer un morceau quelque part et faire connaissance. Mais non! Pas un mot, pas une explication. Rien!

Maintenant, la troisième explication est qu'il se soit simplement foutu de ma gueule. C'est la plus probable.

J'avais tout préparé pour une séance sympa. J'avais transformé mon intérieur en plateau de tournage. Mouais... Le terme est peut-être un peu exagéré. Disons que j'avais tendu des borgnoles noires un peu partout, installé de l'éclairage et mis en place deux caméras afin d'essayer de faire quelque chose de qualité.

Je me suis retrouvé comme un con, grand naïf que je suis, à attendre un mythomane.

Qu'à cela ne tienne, me suis-je dis! Puisque tout est en place, je vais transformer çà en séance de self bondage. Je vais m'appliquer à moi-même ce que je comptais lui faire et ainsi vous raconter le scénario prévu.

 

A l'arrivé, dans l'entrée, porte du salon fermée, lui expliquer qu'il portera toute la séance au minimum un bandeau sur les yeux sauf éventuellement dans la salle de bain, et encore. C'est en passant la porte d'entrée que la séance devait commencer. Par terre étaient déposés quelques accessoires afin qu'il s'équipe immédiatement, habillé tel qu'il l'était.

         

On voit par terre une paire de chaussures à talons hauts et à plate-forme, des bracelets et un collier de cuir, une cagoule en latex, un bandeau pour les yeux, des cadenas et des ... grelots. Oui, des grelots. On voit aussi un bâillon boule, mais c'était en fait une erreur de ma part.
Le but du jeu était qu'il s'équipe et s'entrave lui même. Moi, pendant ce temps là, je devais filmer. Il aurait donc commencé par les bracelets en cuir à mettre aux poignets et aux chevilles.

         

Ensuite, il se serait attaché les chevilles à l'aide d'un cadenas sans oublier d'y passer un grelot. Cà, c'est juste pour faire du bruit à la moindre agitation et ainsi accentuer la frustration de mouvement tout en rajoutant à l'humiliation d'être attaché.

   

C'est à ce moment là qu'il aurait changé de chaussures.

Ensuite, il aurait du enfiler la cagoule de latex. Elle est entièrement fermée à l'exception d'un petit trou au niveau de la bouche.

   

L'intérêt de cette cagoule, est qu'elle n'est pas trop serrée et le trou de la bouche étant assez petit, dès que l'on respire un peu fort la dépression crée des plis qui réduisent encore l'arrivée d'air lorsque qu'il ne l'empêchent pas carrément. Le latex étant assez fin, on distingue à travers les lueurs intenses comme les projecteurs par exemple. Pour être totalement dans le noir et ainsi perdre tout repère, il devait ajouter le bandeau par dessus. A partir de ce moment, il ne devait plus rien voir pendant un bout de temps. En fait, le bandeau par dessus c'est pour moi, qui dois pouvoir l'enlever rapidement pour me repérer pour les caméras. Lui, il l'aurait eu sous la cagoule.

   

Avant que les ergoteurs ne me fassent la remarque, il est tout à fait normal qu'à ce moment je n'aie plus les bracelets aux poignets. On y revient dans un instant.

Cagoule et bandeau en place, il est maintenant temps de mettre le collier.

Vous voyez que les bracelets sont accrochés au collier de chaque côté du cou. Avec un grelot bien entendu. Là, c'est moi qui les ai accroché d'avance, afin que ce soit plus pratique pour moi. En effet, non seulement je m'équipe, mais en plus je passe mon temps à me déséquiper pour changer la valeur de plan et les axes des caméras afin que cela ne soit pas trop ennuyant et donc à me rééquiper à nouveau. N'y voyant rien, et n'ayant personne pour éventuellement m'aider, c'est à chaque fois la galère de rattacher les menottes au collier. Là, je n'ai qu'à glisser mes poignets dedans.

Toujours est-il que le résultat devait être ma victime toute habillée "en civil", en talons hauts les chevilles attachées et les poignets fixés à un collier passé par dessus une cagoule en latex.

Le faire ensuite entrer dans le salon, seul puisque j'étais censé filmer. Eventuellement l'aider en le guidant par la parole. Un fois arrivé au milieu du salon, sous l'anneau, je l'aurais attaché au plafond par une sangle de cuir passée dans la boucle du milieu du collier.

   

L'idée était de le laisser là pendant un bon moment. J'avais prévu de me fumer une clope en l'admirant ainsi pendu par le cou au plafond. Je serais ensuite aller prendre une douche pour à mon tour m'habiller pour la séance. J'avais prévu une combinaison complète en lycra rouge avec le masque que je portais pour MIIB.

         

Il serait resté ainsi quelque chose comme trois quart d'heure. Un petit peu d'endurance pour commencer ne fait pas de mal d'autant que le bondage n'est pas très strict. La seul difficulté, est la respiration avec cette cagoule de latex. C'est pourquoi, le sachant, je lui aurais attaché les mains au collier afin qu'il ait accès au trou de la bouche.


Bon, maintenant je vais écrire au présent, comme si je décrivais quelque chose qui s'est passé. Le conditionel passé, même à la première forme, est pénible à la longue.

donc...

Une fois habillé, je reviens dans le salon, m'approche du sujet et lui détache les mains et les pieds. Je le laisse accroché par le collier au plafond. Je me fais caresser le corps afin qu'il sente avec ses doigts nus le lycra qui recouvre mon corps et puis il n'y a pas de mal à se faire faire du bien. Enfin je vais m'asseoir sur le canapé et lui dit de se déshabiller, ainsi debout accroché au plafond.

         

Suivant les vêtements qu'il portera, ce sera plus ou moins difficile. Normalement, il devra retirer les chaussures pour enlever le pantalon ainsi que ses chaussettes.

         

Les chaussures ayant une semelle épaisse de 5cm et des talons de 15cm, lorsqu'il les enlèvera il devra se mettre sur la pointe des pieds pour ne pas s'étrangler. Voire même sur un seul pied. Cela risque d'être amusant.

Il doit ensuite remettre ses chaussures, à l'aveugle bien sûr, en les cherchant et les redressant éventuellement du bout des pieds.

   

Pendant ce temps, je me lève et m'approche de lui pour le caresser alors de manière lascive de mes mains gantées de lycra. Cela me permet de voir la réaction de son sexe qui traduira son émoi éventuel. En tout état de cause, je lui referais enlever les chaussures après avoir raccourci un peu la sangle qui l'accroche au plafond.

   

C'est alors que je le fais se branler devant moi, accroché par le cou au plafond, sur la pointe des pieds afin de ne pas s'étrangler et en respirant comme il le peut.

         

Ensuite, le détacher du plafond et le faire aller à la salle de bain.

Dans l'entrée, lui demander s'il a besoin d'aller faire caca et si oui, le guider aux chiottes. Il le fera bien sûr devant moi. Il est là pour être humilié, non?
Dans la salle de bain, lui faire retirer les accessoires en cuir, c'est à dire les bracelets, chevillières et collier. Les chaussures aussi évidement ainsi que la cagoule. Il garde le bandeau. Lui faire toucher où sont la serviette, le gant de toilette, le savon etc... Il se douche en gardant le bandeau sur les yeux. L'engueuler s'il met de l'eau partout. Avant de se doucher, il doit s'administrer un vrai bon lavement avec le tuyau de la douche.

Pas d'image de moi pour la scène de la salle de bain, ce n'est pas d'un grand intérêt dramatique.


Par Anatole - Publié dans : anatole
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Jeudi 15 novembre 4 15 /11 /Nov 21:49

Emily 01 (Crime Of The Century - Supertramp)
 
Emily 02 (Un Peu De Ton Amour - Telephone)

Emily 03
(Hello - Paul Anka)
Par Anatole - Publié dans : Les CLips
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Jeudi 15 novembre 4 15 /11 /Nov 21:48
3

 

A la maison, Geoffrey retrouva Julia. Elle était comme le voulaient les règles, entièrement nue avec seulement des bottines de cuir verni. Elle était en train de mettre la table, et, de la cuisine, montaient de bonnes odeurs. Il s’approcha d’elle, la serra contre lui et l’embrassa langoureusement tout en la caressant longuement.
- Comment s’est passée ta journée, lui demanda-t-il? Ton accoutrement a-t-il fait sensation?
- Plutôt, oui, répondit-elle. Pas un seul de mes collègues ne m’a quitté des yeux.
- C’est normal! Tu es belle. Autant qu’on te regarde. Bon! Ce n’est pas tout, il faut se préparer.
Il alla chercher dans le placard une espèce de chaise pliante qu’il avait réarrangée. Il s’agissait, en fait, d’un cadre métallique plié en U avec un côté plus haut que l’autre. Sur le grand côté étaient fixés, en haut un dossier, et en bas, touchant le sol, un coussin cylindrique en mousse. Cette chaise ne comportait pas de planche horizontale sur laquelle on pût s’asseoir. C’est Julia qui en fera office, et plus particulièrement ses fesses et ses cuisses.
Geoffrey mit un bâillon à Julia, l’installa dans le cadre et l’y attacha fermement. Pour sa part, il alla se changer avant d’aller voir ce qui se passait en cuisine. Tout avait l’air en ordre. Il ne restait plus qu’à attendre les invités. Il s’assis sur sa nouvelle chaise, prit un livre et attendit. Xavier et Aurélie ne tardèrent pas.
Xavier, comme Geoffrey, était vêtu d’un costume de soirée. Aurélie portait un long manteau de fourrure qui descendait jusqu’au sol. Sur la tête était fixé un harnais de cuir la serrant au front et sous le menton. Il comportait un bâillon boule enfoncé dans sa bouche. Elle semblait marcher sur des oeufs et difficilement tenir debout. Je compris pourquoi lorsqu’elle retira son manteau.
En dessous, elle portait un corset de cuir souple très étroit, attaché devant à un collier par une lanière à boucle. De cette lanière, en partaient deux autres, juste au-dessus des seins libres pour passer dans le dos. Le plus surprenant fût ses chaussures : des chaussures ballet. Ses cuisses sanglées étaient reliées aux chevilles par des lanières trop courtes pour lui permettre de tendre les jambes et qui la contraignaient à de tout petits pas, jambes pliées, les muscles des cuisses contractés.

Julia étant indisponible, c’est Aurélie qui faisait office de maîtresse de maison. Elle déambulait de droite à gauche dans l’appartement, oscillant sur la pointe des pieds. Geoffrey mit Xavier au courant du projet de fête pour l’anniversaire du club. Ils en discutèrent pendant l’apéritif et, au moment de passer à table, Geoffrey décida de faire le service.
Il plaça les convives, donnant à Aurélie Julia comme chaise. Xavier lui défit les sangles des cuisses et des chevilles, lui attacha les bras dans le dos, lui enleva son harnais de tête et, une fois qu’elle fut assise sur Julia, il lui lia les chevilles. Pour manger, elle devait lécher son assiette. Xavier trouva son modèle de siège intéressant. Julia servit de siège durant tout le repas qui s’éternisa pendant quatre heures.

Une fois leurs invités partis, pendant qu’ils rangeaient, Geoffrey parla à Julia de l’idée d’amener son amie Christine au club. Julia la lui avait présentée comme sa meilleure amie et il a toujours soupçonné qu’il y avait entre elles plus que de l’amitié. C’est pour cela qu’il demanda de but en blanc:
- Que pense Christine de tes anneaux et des marques sur ton corps?
Julia rougit et, comprenant qu’il était inutile de nier, répondit:
- Au début, elle était horrifiée jusqu’à ce que je lui explique. Maintenant cela l’excite plutôt, bien qu’elle ne l’ai jamais avoué.
- Christine serait donc une bonne candidate, demanda Geoffrey?
- Je pense que oui.
Il décida d’en parler dès le lendemain à Alexia.
- Et si nous l’invitions à dîner un de ces soirs? Nous pourrions faire une belle partie à trois, qu’en penses-tu?
- Je n’osais pas te le demander, lui répondit Julia. Je meure d’envie de te la faire connaître mieux.
Deux jours plus tard, Julia invita Christine à passer la soirée avec eux. Cela ne faisait pas une demi-heure qu’elle était là que Julia lui dit:
- Fais nous voir ton numéro ma chérie s’il te plaît.
Agissant en femelle avertie, Christine se débarrassa de sa jupe avec une lenteur calculée et exhiba sa croupe rebondie que protégeait encore une adorable petite culotte. Cette culotte était si soyeuse et si diaphane que le triangle de la toison pubienne transparaissait à travers le tissu, tandis que la forme de la vulve était presque aussi apparente que si rien ne l’avait protégée. Elle tourna sur elle-même pour faire admirer les deux côtés de son corps. Elle passa une main sous son corsage et l’autre dans son slip et se massa les seins et la vulve pour montrer, au cas où on ne l’aurait pas compris, qu’on n’était pas là pour parler de la pluie et du beau temps.
Dans un geste spécifiquement féminin, elle se débarrassa de son corsage et dégagea ses seins. Elle en agaça les tétons et une fois ceux-ci gros comme des obus, ses mains descendirent sur son ventre. Alors qu’elle tortillait du popotin, les caresses allèrent vers la culotte qu’elle arracha d’un coup. Un tel spectacle emballa Julia et Geoffrey. Elle s’assit par terre et, fière de l’impression faite par sa chatte, Christine savourait leurs chauds regards pointés sur son entrecuisse. Elle adorait s’exhiber, les cuisses généreusement ouvertes sur une moule que rien ne protégeait des regards des autres.
Elle se caressa ensuite délibérément le sexe en leur montrant les marques d’une grande excitation sexuelle. Ils la virent onduler des hanches et du ventre, gonfler sa poitrine sur les seins de laquelle monta une de ses mains qui se mit en devoir de les pétrir en insistant sur les fraises rose pâle qu’elle effleura du bout des doigts après avoir humecté ceux-ci de sa salive. En nous regardant avec provocation, elle écarta encore plus les cuisses et pris appui sur ses talons pour projeter en sèches saccades son bas-ventre à la rencontre de sa main fouillant l’intérieur de sa vulve suintante.
Geoffrey s’hypnotisait de ses doigts qui allaient chercher très bas le point de départ de leur périple, remontaient lentement entre les lèvres ourlées en disjoignant les bords rose vif de l’entaille pelvienne dont ils écartaient parfois quelques mèches gluantes, s’appuyant un moment en tournant sur le sommet de la chair bâillante où s’érigeait le minuscule mont de volupté. Ils reprenaient ensuite leur voyage en redescendant pour s’insérer profondément entre les fesses légèrement soulevées et revenir en un souple balancement du poignet s’enfoncer plus franchement dans l’anfractuosité trempée de cyprine odorante.
Puis Christine ferma les yeux. Ses jambes pliées se mirent à trembler. Tout son corps s’agita de soubresauts qui la secouèrent de la tête aux pieds. Son ventre accentuait ses bondissements vers la main dispensatrice de plaisir et dont le mouvement de bas en haut entre les muqueuses maintenant rouge vif de sa vulve ruisselante, produisait de petits borborygmes liquides. Son autre main pressait fortement le téton de son sein droit, et sa bouche, aux lèvres entrouvertes, laissait fuser une sorte de gémissement roucoulant qui se transforma bientôt en une plainte rauque et ponctuée de petits cris de plaisir.
Soudain l’orgasme convulsa Christine. Son visage se crispa, ses joues se creusèrent, ses pommettes s’enflammaient et pâlissaient tour à tour violemment, les ailes de son nez se pincèrent et blanchirent pendant que de sa gorge jaillissaient les cris rauques et précipités témoignant de l’intensité de sa jouissance qui exaltait tous ses sens portés au paroxysme de l’excitation voluptueuse.
Geoffrey jeta un regard sur Julia qui ne quittait pas son amie des yeux, son amie qui, les cuisses refermées sur sa main retenues prisonnière, était agitée de spasmes incontrôlés qui la soulevait du sol pour l’y rejeter et la faire bondir encore. Elle perpétuait ainsi, aussi longtemps qu’elle pourrait l’endurer, l’extase qui la possédait.
Enfin les sursauts cessèrent et Christine ouvrit les yeux posant son regard brillant de larmes sur ses hôtes, qui n’avaient cessés de la regarder, immobiles devant ce spectacle fascinant.
- Oooohhh!... Je ne m’arrêterais jamais! Je viens encore de jouir comme une folle! C’était bon de me caresser en sachant que vous me regardiez faire!
Julia se leva, alla chercher la valise d’accessoires et en sortit un godemiché qu’elle tendit à son amie, qui le lui arracha des mains. Christine se l’enfonça à grand renfort de gloussements de satisfaction et lui imprima un mouvement de va-et-vient à une cadence folle dans ses chairs hyper excitées, se trémoussant dans tous les sens, son bassin ondulant frénétiquement. Julia se pencha sur elle, et, de sa bouche, happa un de ses tétons et se mit à le sucer. Le contact de la bouche de Julia électrisa Christine et le godemiché gluant lui glissa des mains.
Julia l’embrassait maintenant à pleine bouche, tout en lui triturant la chatte de ses doigts habiles et en portant une bonne partie de ses caresses sur le clitoris archi-bandé. Christine se laissait faire sans participer à l’action, se contentant d’écarter le plus possible les cuisses afin de bien dégager la zone à conquérir. Julia se plaqua étroitement contre elle, poussa son ventre contre le sien et écrasa ses seins contre sa poitrine alors que ses longues jambes se mêlaient aux siennes et que se pressaient leurs cuisses déjà étreintes.
Elle lui prit les lèvres dans les siennes, pulpeuses et sensuelles et, à pleine bouche, avidement, donna son premier baiser de la soirée à son amie. La langue de Julia se glissa, palpitante, entre les dents de Christine et remplit toute sa bouche pour soumettre sa propre langue à sa loi pendant que ses lèvres, chaudes et humides, se pressaient sur celles de son amie.
Délaissant enfin sa bouche, les lèvres descendirent dans son cou et sur sa poitrine. Christine gémit doucement. Saisissant son sein droit d’une main, Julia plaqua sa bouche de goule sur le gauche et commença à le sucer après avoir capturé le téton durci qui gonfla plus encore sous l’étreinte des lèvres. Christine se crispa sous le double effet des caresses synchronisées. Au début, la main et la bouche surent rester douces. Peu à peu, elles se firent plus insistantes, plus impérieuses. Elles pétrirent toutes les deux à leur façon, augmentant irrésistiblement la sensibilité de la poitrine captive et frémissante.
Brusquement, Julia se dégagea et délaissa Christine. Elle protesta de se voir abandonnée alors que la volupté se répandait en elle de ses flots émouvants et irrésistibles:
- Oooohhh!... Julia ne me laisse pas... J’ai trop envie de jouir maintenant!
- Ne crains rien ma belle petite chatte! Je n’en ai pas encore fini avec toi!
Rassurée Christine reprit en main le godemiché, ferma les yeux et se l’enfonça de nouveau dans la chatte en se contorsionnant. En souriant, Julia fouilla dans la valise et y prit un harnais de cuir sur lequel elle vissa un des godes qui s’y adaptaient. Le phallus choisi était de caoutchouc dur, de forme cambrée comme un croissant. Ressemblant à une banane de fortes proportions, son gland lisse et luisant couronnait, comme la tête d’un champignon, la hampe hérissée de poils de velours semi-rigides d’un diamètre de près de cinq centimètres. Julia se ceignit les hanches de l’ensemble du harnais et se trouva alors en mesure de jouer le rôle d’un mâle de belle prestance, tout en jouissant elle-même de la seconde verge solidaire du dispositif et qu’elle avait introduit dans son vagin avant de serrer énergiquement les courroies sur son bassin et ses reins.
Elle revint s’étendre près de Christine à qui elle prit le godemiché des mains et qu’elle fit se retourner sur le ventre et se cambrer pour lui offrir sa croupe largement étalée. Le somptueux fessier exposé à ses regards, saisissant les cuisses de son amie près de l’aine, elle les contraignit à s’écarter et lui fit relever les fesses insolemment pour découvrir la vulve rose aux lèvres charnues et mouillées de cyprine gluante avec, un peu plus haut, le petit cercle de l’anus.
Julia enfouit son visage entre les cuisses désunies et prit son sexe à pleine bouche pour commencer à mâcher les lèvres soyeuses pendant que ses mains, remontant le long des flancs haletants, venaient se glisser entre la poitrine et la moquette pour emprisonner les seins et les pétrir vigoureusement à pleines mains, pinçant les bouts tendus sans cesser de brûler la vulve de la pression de ses lèvres et de pousser dans le vagin sa langue alerte, faisant hésiter son amie entre le plaisir et la douleur qui, l’un comme l’autre, la firent crier, et vouloir toujours plus. Ne sachant plus ce qu’elle disait, délirant déjà, Christine lui demanda de la mordre, de la prendre, de la sucer plus fort, de lui faire mal même, de l’abrutir de plaisir.
Ne demandant que cela, Julia la mordit sévèrement en capturant son clitoris qu’elle aspira entre ses dents serrées pour la faire crier de souffrance et d’hystérique volupté. Christine se démenait comme une forcenée, prisonnière de son amante qui la maintenait énergiquement en s’arrimant à ses seins qu’elle déformait de ses doigts durs pour continuer de sucer, d’aspirer, de mordre le bouton de chair tendre, dispensateur de plaisir voluptueux. Christine criait et s’étouffait, le visage écrasé sur la moquette, les joues couvertes de larmes, agitant convulsivement les fesses et ondulant des hanches, incapable de savoir si elle voulait se donner davantage, ou échapper à l’intolérable baiser qui la rendait démente.
Crispée à se rompre les nerfs, Christine poussa un terrible hurlement et releva la tête en se raidissant sur ses bras tendus dont les muscles saillirent d’un coup sous la peau fine. Elle éprouva l’atroce sensation qui lui venait de son ventre qui s’ouvrait et se déchirait sous la formidable pénétration et fit s’enfuir l’envie de jouir qui se répandait doucement en elle, pour ne laisser subsister que la douleur sous la poussée implacable du taraud poilu qui se chevillait au bas de son ventre impitoyablement meurtri en distendant ses chairs intimes.

- Noooonnn!... Juliaaa!... Aaarêêête! J’ai mal!... Tu me fais trop mal!... Enlève-le, il est trop... trop gros... J’ai mal! Je t’en prie!... Aaaaahhh!...
Sans lui répondre ni se soucier de ses cris et de ses plaintes vibrantes, ignorant ses sanglots et ses supplications pathétiques, Julia, haletant bruyamment sous l’effort que lui demandait la possession de son amante, déplaça sa main gauche pour libérer un sein et l’amena sous le ventre de son amie contre lequel elle la glissa jusqu’à la pointe de la vulve distendue dont elle caressa, d’un doigt actif le pistil exaspéré et projeté vers l’avant par le volume du godemiché. Elle entreprit alors le va-et-vient de la possession, prenant Christine puissamment de son faux pénis, se retirant doucement pour exciter les parois vaginales du glissement des poils de velours relevés en étant pris à rebours et, sans cesser d’agacer le clitoris gorgé de sang, d’un coup de reins imparable, fesses crispées, elle projeta son ventre à la rencontre de la croupe offerte et trépidante de sa monture qui, sous l’inexorable enfoncement mêlait peu à peu de longs gémissements rauques à ses plaintes de douleur allant s’assourdissant. Puis, au rythme régulier de la pénétration, la souffrance de Christine s’estompa et s’effaça totalement pour faire place au plaisir.
- Jouis putain!... Tu aimes çà hein!... A quatre pattes comme une chienne que tu es!... Gigote salope!... Je te tiens bien garce!... Tu sens comme je suis bien dans ton con tout mouillé?... Allez!... Remue-le bien ton gros cul joufflu!...
Geoffrey n’avait jamais vu Julia dans cet état et il la soupçonnait fort de se venger sur son amie pour toutes les humiliations subies. Cela rendait le spectacle tout à fait passionnant.
Sans la moindre retenue, Christine se livrait au rut de Julia qui la possédait vigoureusement et la sabrait à grands coups de reins tout en se pénétrant elle-même de la verge intérieure du harnais. Le buste relevé sur ses bras toujours raidis, un seins captif et l’autre ballottant, la tête renversée et la chevelure folle, les lèvres ouvertes sur une plainte permanente qui montait de sa gorge en feu et s’échappait en longues trilles sanglotantes, secouée par les coups de boutoir de Julia dont les seins se frottaient sur son dos, Christine se mit à hurler, prise de sauvages convulsions. Longuement, à pleins poumons, elle cria sa jouissance en se jetant dans de violents bondissements que son amie avait bien du mal, cette fois, à contenir et à dompter pour continuer de la soumettre à l’infernale étreinte.
Vint le moment où Christine eut mal à force de jouir. Elle voulait que cela cesse, rien qu’un instant, un tout petit instant! Mais implacable, Julia la maintenait dans la houle de ses orgasmes successifs qui la secouaient sans répit et lui refusaient le repos qu’elle réclamait de tout son être, épuisée. Malgré elle, elle continuait à jouir, à hurler à perdre haleine, suppliant d’arrêter, sanglotant et hoquetant des mots sans suite sous l’accablante intensité de son plaisir qui la ravageait. Restant sourde à sa demande, Julia allait et venait en poussant son ventre.
Geoffrey sut que Julia allait jouir à son tour lorsque, délaissant le clitoris de Christine, elle reprit soudainement et sauvagement possession de ses deux seins pour s’y agripper et accélérer la cadence de la pénétration qui se fit plus violente, plus puissante et plus saccadée. La jouissance l’emporta alors d’un coup et, rugissante de plaisir, bacchantes échevelées, délirante, elle se crispa en se tendant désespérément contre son amie et en broyant ses pauvres seins que ses doigts griffaient convulsivement pour, dans un grand cri, retomber sur son dos, molle et demi inconsciente.
Enfin, Christine, sentant la tempête décroître, se laissa aller à son tour sur la moquette où elle retomba inerte.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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