Dimanche 12 août 7 12 /08 /Août 07:36

 

Bon, puisqu'on en est dans le scotch, continuons.

J'aimerais tellement m'acheter un corset. Le problème en est le prix. Et comme beaucoup de gens, n'est-ce-pas, côté sous cela ne va pas en s'arrangeant. Quoiqu'en disent nos dirigeants adorés.

Et je ne sais pas trop qu'elle taille et quelle matière choisir. Vu le prix de la chose, si on se plante c'est dommage. Donc, je m'en suis fait un maison. Il n'est pas beau je vous l'accorde. Mais, le principal intérêt est qu'il n'est pas cher, qu'on le fait à la taille qu'on veut et serré comme on veut. J'ai bien une ceinture Gibeau, mais vous avouerez que côté sexy c'est pas le top.

         

D'un autre côté, celui que j'ai fait n'est pas très estétique non plus, c'est le moins qu'on puisse dire. En revanche, qu'est ce qu'il est serré!

   

         


Par Anatole - Publié dans : anatole
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 11 août 6 11 /08 /Août 07:57

Bondage 5 (Easter)

Sexe 2
(Get this party started)

SM01 (Supertramp - Child Of Vision)

 

 

 

Par Anatole - Publié dans : Les CLips
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 10 août 5 10 /08 /Août 17:12

8

Une demi-heure plus tard, Julia se présenta à son Maître, belle, propre et fraîche. Elle se tenait debout dans le salon, à portée de sa main, attendant les ordres. Il ne pu s’empêcher de caresser son corps. Ses mains courraient sur sa peau douce et soyeuse où commençaient à apparaître les boursouflures des coups de cravache. Il s’attardait particulièrement sur ses seins, ses hanches et ses fesses. Mais son estomac lui rappela qu’il était temps de dîner.

 

Il alla prendre dans la valise deux lanières de cuir. Il passa la première autour des cuisses de Julia, juste au-dessus des genoux qu’il attacha ensemble en serrant fortement et laissant les chevilles libres. Avec la seconde, il attacha ses bras le long de son torse, passant la lanière au-dessus des coudes et sous les seins. Julia ne pouvait plus que marcher à petits pas, ses genoux étant comme soudés l’un à l’autre. De même, elle pouvait se servir de ses avant-bras mais sans pouvoir décoller les coudes de son corps.

 

- Va me préparer le dîner, lui dit-il! Toi, tu as déjà mangé.

 

- Bien Seigneur.

 

Elle alla à la cuisine d’une démarche claudicante, rendue encore plus difficile par ses talons hauts, et prépara le dîner. Pour sa part, l’homme alluma la télévision et regarda le programme en attendant.

 

Pendant tout le dîner, Julia resta debout à côté de lui. De temps en temps il passait une main sur ses fesses, machinalement, comme on caresse son chien. Elle pouvait bien rester debout puisqu’elle avait été couchée tout l’après-midi.

 

Après le dîner, Julia ayant fait la vaisselle, l’homme la fit avancer au milieu de la pièce et lui passa autour du cou le nœud coulant d’une corde qu’il attacha à une poutre du plafond. Il fit pencher Julia en avant. Le nœud se resserra. Il attrapa un sein et fit rouler le téton entre ses doigts. Il le pressa de plus en plus fort. Au moment où il tirait à l’arracher, Julia ne pu retenir un cri. Il se plaça devant elle, mettant sa bite devant sa bouche et sur son ordre, elle lubrifia sa verge de sa salive. Il se plaça ensuite derrière elle et admira son beau cul offert et l’embrocha après l’avoir enduit de lubrifiant ce coup ci. Julia se cambra et des larmes sortirent de ses yeux, mais elle ne cria pas. L’entrée était rendue d’autant plus difficile que ses cuisses étaient serrées par la lanière. Il ressortit un peu, et d’un bon coup de reins s’enfonça plus loin. Afin de faciliter le travail, Julia écarta de ses mains ses fesses et prit la cadence.

 

- Pas question de ça, ma petite, lui dit-il! Tu es là pour me donner du plaisir, pas pour en prendre!

 

Il sortit d’elle, lui détacha bras et jambes et l’assit sur un tabouret en donnant du mou à la corde qu’elle avait autour du cou avant de la réajuster pour la tendre légèrement. Ce plaçant devant elle, il lui prit les chevilles en relevant les jambes, ce qui la mit en équilibre précaire, légèrement penchée en arrière. Ses muscles abdominaux étaient tendus à l’extrême pour supporter le poids de son torse et afin qu’il ne bascule pas en n’étant retenu que par la corde passée autour du cou, l’étranglant alors encore plus fort. Le nœud était déjà suffisamment serré comme çà, lui rendant la respiration difficile et surtout écrasant un peu les carotides, réduisant le flux sanguin vers le cerveau et par conséquent son oxygénation. C’est le visage rougi et gonflé de sang que Julia se fit enfiler par l’homme.

 

- Si tu tombes, la corde te sert le cou, lui expliqua-t-il bien qu’elle l’eu comprit toute seule.

 

A chaque coup de queue, Julia faisait attention à son équilibre, basculant d’avant en arrière, se retenant du mieux qu’elle pouvait au tabouret. Pour ajouter encore à son trouble, il lui attrapa le clitoris. D’abord doucement, il fit rouler le bouton sous son pouce, puis l’écrasa violemment. Il sentit le foutre de Julia glisser sous ses doigts.

 

- Tu y prends plaisir. Tu es une vraie chienne lubrique. Tu en veux, tu en réclames! Je crois que tu n’as pas encore bien compris que tu ne peux jouir que si je le veux.

 

Du coup il sortit son sexe luisant de mouille, releva Julia et la fit se remettre debout. Il tendit la corde à nouveau. Julia était debout, droite comme un i, nue avec ses chaussures à talons de douze centimètres, essayant de garder son équilibre afin de ne pas trop tirer sur la corde et serrer davantage le nœud. Pour pimenter un peu la chose, l’homme passa une troisième lanière de cuir autour de ses chevilles, l’empêchant ainsi d’écarter les pieds et l’obligeant à sautiller légèrement sur place lorsque d’aventure elle devait reprendre son équilibre. La tête penchée sur le côté à cause de la corde qui tirait sur le cou, Julia avait le visage tout congestionné par l’afflux de sang qui avait du mal à repartir, la bouche grande ouverte dans un réflexe bien illusoire d’améliorer sa respiration rauque et saccadée, la langue légèrement sortie à cause de la pression de la corde.

 

La laissant ainsi au milieu du salon, l’homme sortit sur la terrasse un café à la main, s’affala dans une chaise longue à la vue de Julia et alluma une cigarette. Il goutta à la douceur d’un soir d’été sans un regard pour la créature pendue au plafond.

 

Au bout d’un quart d’heure, il revint vers Julia et l’admira. Elle avait prit un « régime de croisière », tout ses muscles bandés afin de ne pas trop bouger, la respiration à peu près régulière quoique sensuellement rauque. Ravi, l’homme la prit dans ses bras, tournant autour d’elle, l’embrassant dans le cou, caressant ses seins, son ventre, sa croupe. Alors que ses mains se posaient sur ses fesses, sa langue jouait avec les tétons. Puis se mettant sur son côté, une main entre les lobes charnus de son postérieur et l’autre sur son sexe, ses doigts titillèrent son anus, sa vulve et son clitoris pendant qu’il lui susurrait des mots doux à l’oreille vantant les mérites de sa plastique si joliment mise en valeur. Sous les caresses simultanées des mots et des doigts, à la limite de l’évanouissement depuis un quart d’heure, l’esprit de Julia se mit à vagabonder dans des brumes de plaisir.

 

L’homme se mit alors à genoux devant elle, les mains glissant le long de ses jambes, sa bouche chatouillant son ventre et descendant vers le sexe dont s’échappaient des effluves traduisant l’émoi de la jeune femme. Les caresses ayant amenés les mains de l’homme aux chevilles de Julia, ce dernier, afin de corser un peu le jeu, lui retira les chaussures. Elle se mit à crier, du moins à émettre de manière plus intense des râles gutturaux lorsque le poids de son propre corps l’étrangla un peu plus. N’ayant plus le support des talons aiguilles de douze centimètre, elle due se mettre sur la pointe des pieds, relevant le plus possible les talons, faisant pleins de petits pas de quelques centimètres afin de garder à la fois l’équilibre et la hauteur nécessaires. Pour le coup, elle sortit de sa rêverie pour se retrouver brutalement dans le monde réel sous les tortures de son maître.

 

Ce dernier recula de deux ou trois mètres afin de mieux la voir. Content de lui il alla chercher le martinet. Voyant l’engin, Julia se mit à gémir de plus belle.

 

Les lanières claquèrent sur le beau cul boursouflé de Julia. Par réflexe, elle se cambra en avant pour se soustraire aux coups. Son cri fut coupé sec par l’étranglement suivi d’une quinte de toux. Complètement paniquée à l’idée d’être pendue, Julia gesticula tant et si bien qu’elle ne pu reprendre son équilibre et se retrouva effectivement pendue de tout son poids. Elle poussa un cri énorme, déchirant, malgré la corde serrant son cou, pensant vivre les dernières secondes de sa vie, avant que l’homme, hilare tant il s’amusait, ne l’aida à se remettre debout sous l’anneau de la poutre, sur la pointe de pieds.

 

Elle tremblait de partout, surtout au niveau des chevilles, ses muscles faisant un effort terrible pour essayer de soulever ses talons de dix centimètres.

 

- Reprenons, dit l’homme alors que Julia se calmait à peu près.

 

Soudain, tout son corps s’embrasa. Il fouettait Julia sauvagement, s’acharnant sur ses fesses puis  frappant ses seins et son ventre pour revenir ensuite sur son dos, ses reins, ses fesses, ses cuisses. Durant ce qui dû lui paraître une éternité, Julia encaissa les coups en se tordant de douleur comme un ver de terre au bout d’une ligne et plus elle criait, plus elle recevait de coups. Ayant mal au bras à frapper comme un sourd, couvert de sueur, l’homme arrêta. Le tout n’avait duré que cinq minutes. Le corps de la jeune fille était rouge des marques du martinet. Elle en avait partout. Il devait lui faire l’effet d’être léché par les flammes.

 

L’homme détacha la corde du plafond et Julia s’écroula sur le sol, se retenant par un effort de volonté surhumain, de pleurer, surtout par crainte que les coups ne reprennent et parce que sa première préoccupation était quand même de reprendre une respiration normale bien que le nœud coulant autour de son cou ne s’était pas desserré. Au moins le poids de son corps ne l’étranglait il plus.

 

- Debout, lui cria-t-il en libérant aussi les chevilles! Viens me rejoindre sur le canapé!

 

Difficilement, Julia se releva. Ses fesses, son ventre, ses seins, ses cuisses lui faisaient mal à chaque mouvement. Elle se regarda et, sans doute rassurée de ne pas se voir écorchée vive, elle avança en titubant vers le canapé et sur son ordre se mit à genoux devant son maître et lui demanda d’une voix rauque et sifflante :

 

- Je ne peux pas remettre toute seule mes chaussures, attachée comme je suis. Peux-tu m’aider ?

 

Là, bien qu’étonné au plus haut point, et c’est un euphémisme, l’homme eut la satisfaction de sa vie. Malgré tout ce qu’elle venait d’endurer, pas loin de tomber dans les vapes car la corde au cou, les brûlures des coups lui vrillant le cerveau, Julia eu quand même la présence d’esprit de penser à la règle de base qui voulait qu’à l’intérieur elle soit nue avec ses chaussures.

 

Il la fit s’asseoir dans le canapé à sa place, se mit à genoux devant ses pieds et c’est avec un immense respect qu’il lui massa doucement les chevilles avant de tendrement lui remettre ses escarpins et d’embrasser ses jolis pieds cambrés. Comme un chien qui exprime sa joie en secouant violement sa queue lorsque son maître le récompense, Julia se mit à haleter de plaisir et une goutte de cyprine se mit à couler entre ses cuisses serrées.

 

Bon, il ne faut pas exagérer non plus ! L’homme se releva et d’un signe intima l’ordre à Julia de se mettre à genoux devant le canapé. Lui-même s’assit dans le sofa et, prenant la jeune femme par les tétons, la tira entre ses jambes écartées. Il lui retira la corde du cou. Le soulagement fut pour Julia de courte durée car il la remplaça par un collier de plastique large de huit centimètre qu’il serra de façon à l’étrangler à nouveau juste ce qu’il faut pour que ce soit supportable mais pénible.

 

- Viens donc lécher la sueur dont mon corps est trempé, créature répugnante de servilité, lui demanda-t-il d’un ton sec!

 

On sentait que l’homme avait été désarçonné par la réaction de Julia et qu’il avait du mal à retrouver une attitude autoritaire. Troublée, Julia s’approcha de l’homme et commença à lui lécher le torse. Il prit sa tête dans ses mains et comprima son visage contre son ventre. Julia lapa à grands coups de langue, nettoyant son ventre et sa poitrine de la sueur provoquée par l’effort. Elle prenait entre ses lèvres ses poils et tirait doucement dessus. Puis, elle s’attaqua plus particulièrement à ses tétons, les suçant comme si elle voulait en faire sortir du lait. Elle recommençait à s’exciter. Malgré la douleur, elle frottait son corps contre le sien en haletant comme une chienne. Décidément, elle en voulait.

 

- Assez, dit-il en la repoussant violemment! Tu recommences à jouir, tu es infernale!

 

Il la coucha par terre, sur le ventre et lui dis d’attendre. Il prit dans la valise deux cordelettes de nylon et commença par attacher ensemble ses chevilles. Puis pliant ses jambes de sorte que ses talons touchent ses fesses, il les fixa étroitement à ses cuisses. Il passa ensuite ses bras dans son dos et les lia fortement à ses chevilles. L’opération terminée, il retourna Julia sur le dos.

 

- Tu passeras la nuit dans cette position, lui expliqua-t-il!

 

Il continua sur un ton plus doux :

 

- Demain nous passerons la journée à faire l’amour. Reposes toi bien pour être en forme!

 

La laissant par terre, il monta se coucher.

 

 

Dans la nuit, il fut réveillé par des bruits venant du rez-de-chaussée. Il descendit silencieusement et vit, à la lumière de la lune, Julia, qui s’étant retourné sur le ventre et malgré son ligotage serré et son collier d’étranglement, se frottait la vulve sur le carrelage. Il la regarda quelque temps. Ses halètements et ses gémissements accompagnant les ondulations de son corps entravé l’excitaient. Brusquement il alluma la lumière. Julia s’arrêta, le regardant de ses yeux emplis de frayeur. Il prit la cravache.

 

- Vue la gravité de la faute, lui dit-il, je ne te laisse pas le choix.

 

Il s’accroupit à côté d’elle, glissa une main entre ses jambes serrées, trouva sa chatte et commença à la masturber. Elle dégoulinait de mouille, le clitoris droit comme un petit i glissant sous ses doigts. Julia gémissait de plus belle, son corps frémissait de plaisir. S’arrêtant soudain, il se releva et remit Julia sur le dos. Il reprit le massage de sa chatte. Il sentait l’orgasme monter en elle. Tout son corps était secoué de spasmes, dans la mesure où ses liens le permettaient. Elle explosa et son vagin expulsa une abondante mouille pendant qu’un cri de plaisir sortit de sa gorge étranglée. Il se transforma aussi sec en hurlement de douleur lorsque la cravache s’abattit par deux fois sur son ventre. Des larmes jaillirent de ses yeux.

 

- Si tu veux dormir à mes côtés, lui dit-il, je te le permets, mais à condition que tu montes dans la chambre attachée comme tu l’es.

 

Il prit Julia par les aisselles et l’aida à s’asseoir sur ses talons. Ces dernières minutes l’avaient fortement excité et il le lui fit comprendre en lui enfournant sa bite dans la bouche. Après s’être bien assuré qu’elle avait tout avalé, il la bâillonna et remonta dans la chambre.

 

 

Au moment où il allait s’endormir, il entendit un gros bruit de chute dans l’escalier suivit d’un gémissement étouffé. Discrètement et sans allumer la lumière, il alla voir. Julia essayait de monter l’escalier en rampant d’une marche à l’autre. Elle avait déjà réussi à monter la moitié de l’escalier quand elle perdit l’équilibre et se retrouva en bas, glissant sur le ventre ses seins heurtant chacune des marches de l’escalier. Elle reprit quand même l’ascension en sanglotant de douleur. Il retourna se coucher en attendant son arrivée, complètement ébahi par la volonté de cette fille à lui faire plaisir. Ou est-ce à en prendre ?

 

Une demi-heure plus tard, il vit la porte s’ouvrir et Julia apparue sur le seuil. Elle s’écroula par terre essayant de reprendre son souffle. Ses cuisses, son ventre et ses seins, en plus des marques de fouet, étaient rouges d’égratignures et recouvert d’ecchymoses dues aux frottements contre l’escalier. Il se leva, la détacha, lui retira son collier et l’aida à se mettre au lit. Il la prit tendrement dans ses bras où Julia se mit à sangloter doucement. Enfin ils s’endormirent.

 

 

Le lendemain matin, l’homme se réveilla et eut comme première vision le visage de Julia, qui le regardait en souriant.

 

- Bonjour Seigneur. As-tu bien dormi?

 

- Bonjour Julia, lui répondit-il l’esprit embrumé de sommeil, très bien. Et toi?

 

- Non, assez mal. J’étais impatiente de voir venir le jour.

 

- Pourquoi ça?

 

- Tu as dis hier que nous passerions la journée à faire l’amour. Pouvons-nous commencer?

 

Décidément, Julia ne pensait qu’à cela. Avec son acquiescement, elle s’empara de la colonne charnelle de l’homme et la massa en la comprimant, comme si déjà elle avait voulu en tirer un maximum de semence. Elle ne prolongea pas outre mesure cette première branlette matinale. Sa bouche prit le relais sans se faire attendre. Oeuvrant avec un art frisant la perfection, elle suça et lécha le dôme fendu suivant la ligne des gros bourrelets et termina sa course sur le fragile filet. Continuant la fellation, Julia se retourna, exhibant sa vulve devant le visage de l’homme.

 

Il écrasa sa bouche sur sa chatte mûre à point de laquelle sortait une mouille de plus en plus abondante et odorante. Il la récupérait en lapant dans la fente et portait toutes ses ardeurs sur la toute petite pointe érigée d’un clitoris transformé en bloc de granit.

 

D’un geste brutal, il bouscula Julia sur le lit et lui releva les jambes à la verticale en lui écartant les cuisses de manière à bien dégager la fourche sexuelle. Il plongea la tête la première sur le fastueux festin qui s’offrait à ses yeux et à sa bouche. Il suçait, léchait et mordillait tandis que Julia se tordait déjà sous la jouissance qui commençait à lui titiller les entrailles, gloussant la bouche entrouverte, les yeux fermés, les deux mains posées sur la tête de l’homme comme si elle avait craint qu’il ne se retire avant d’avoir obtenu satisfaction complète.

 

Il se dessouda malgré tout de sa vulve et eu vite fait de se mettre en place entre les cuisses écartelées. Il dirigea son gland vers l’entaille. Pour mieux se concentrer sur l’acte, Julia propulsa son ventre en avant dans une offrande totale de son corps et gémit à en fendre l’âme dès que le gland de son maître s’infiltra dans ses chairs. Alors, pour la première fois, elle se fit vulgaire:

 

- Oui! Oh, oui! Prends-moi! Baises moi! Donnes toute ta queue à mon con, remplis-le de ton foutre! Oui!... Oh, oui! Ah! Que c’est bon de posséder ta bite dans mon ventre!

 

Il allait et venait dans son ventre, d’abord avec une extrême lenteur, puis de plus en plus vite au fur et à mesure que se précisait une jouissance qu’elle aurait du mal à contenir. Brusquement elle le repoussa, le priant de s’allonger sur le dos. Elle l’enfourcha et s’accroupit sur sa verge. Elle conduisit elle-même d’une main ferme la hampe vers sa faille sexuelle. Elle promena le gland tout le long de la crevasse, le frottant contre les grandes lèvres et s’empala brusquement dessus. La totalité de la queue de l’homme disparut tandis que les muqueuses gourmandes se resserrèrent aussitôt sur le visiteur.

 

Elle s’était enfoncée le braquemart jusqu’à la garde et se régalait jusqu’au fond de sa chatte de son phallus qui déclenchait en elle cette volupté tant attendue. Elle se mit à onduler du cul pour mieux sentir l’engin qui se complaisait à pistonner le con inondé. Elle agitait spasmodiquement son arrière-train pour ne pas perdre un centimètre de la verge qui la taraudait au plus profond de sa féminité. Elle haletait comme une locomotive pendant qu’elle remuait d’un mouvement vertical, se levant et s’abaissant lentement pour bien sentir chaque millimètre de la pénétration dans son conduit vaginal.

 

Julia, transfigurée, accéléra soudain la cadence:

 

- Vas y, hurla-t-elle presque dans un cri de victoire! Vas-y! C’est le moment où jamais de jouir!

 

Elle poussa un beuglement de vache saillie. Une terrible explosion ravagea son bas-ventre enflammé. D’infernales secousses traversèrent son corps et une grandiose jouissance envahit son esprit dans une sublime extase. Son jus de jouisseuse déferla sur le membre de l’homme pour se perdre dans les plis du scrotum. C’est alors qu’il éjacula. Julia encaissa les giclées jusqu’au fond de son vagin palpitant. Le foutre de l’homme se fondit avec le fleuve de cyprine pour ne plus former qu’un magma gluant qui déborda bientôt de la vulve en de longues et luisantes rigoles.

 

Julia se leva et recueillit le mélange en se caressant le vagin. Elle s’enduisit le corps, s’en frotta le visage en léchant ses doigts devant celui, ahurit, de l’homme qui n’en revenait pas. Elle se mit à quatre pattes, rejeta les hanches en arrière dans un geste obscène, écarta ses fesses pour dégager au maximum son trou anal. Comprenant le message, il ne se fit pas prier. Il s’approcha de l’entre fesse généreusement exhibée et pointa son gland sur le sphincter brunâtre qui se contracta dès les premiers attouchements. Il donna un premier coup de ventre pour tester la résistance du sphincter et constata avec plaisir qu’il n’aura pas besoin de trop forcer pour en obtenir l’ouverture. Un deuxième coup fut d’ailleurs suffisant pour qu’une bonne partie de son membre disparaissent dans la cavité anale. Il imprima alors à son bas-ventre les indispensables mouvements de va et vient.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 8 août 3 08 /08 /Août 19:00
7

Le lendemain, Julia et l’homme allèrent à la petite ville voisine afin de faire quelques provisions pour le week-end. Julia était habillée comme la veille. Sous sa jupe, en plus de son porte-jarretelles, elle avait deux godes bien enfoncés dans son vagin et son anus. Après une nuit de repos, sa vulve avait retrouvé ses splendeurs ainsi que son volume normal. Ce n’était pas une raison pour la laisser inoccupée. C’est pourquoi s’y trouvait un gode de taille moyenne. De plus, puisqu’elle ne s’était jamais fait sodomiser, il fallait préparer son anus à recevoir n’importe quoi à n’importe quel moment. C’est ainsi qu’elle se retrouva avec un gode de dix centimètres sur trois bien calé dans son fondement. Les deux engins étaient maintenus en place par des lanières reliées à une ceinture. A chaque fois qu’elle s’asseyait, Julia avait un petit sursaut quand ses godes s’enfonçaient en elle.
Faute de provisions, ils prirent un petit déjeuner dans un café. A son entrée elle fit sensation. Il était rare de voir dans une petite ville comme celle-ci une aussi jolie femme, qui, manifestement, le savait et le montrait. Tout le monde n’avait d’yeux que pour elle et, Julia s’en rendant compte, en rajoutait en tortillant du croupion. Elle produisait le même effet partout où ils allaient.
- Arrête de te déhancher comme ça quand tu marches, lui dit l’homme. Tu vas finir par provoquer une émeute.
- Je ne le fais pas exprès, répondit-elle. Mon cul commence à s’échauffer sérieusement. J’ai de temps en temps un spasme comme si mon anus voulait se débarrasser du gode.
- C’est bien pour cela qu’il y a les lanières.
S’étant levés tard, ils terminèrent leurs courses vers midi. Ils décidèrent de déjeuner au comptoir du bar de ce matin. Pendant qu’ils mangeaient, Julia lui demanda:
- Puis-je aller aux toilettes? C’est pour enlever, ne serait ce qu’un instant les godes. Je n’en peux plus, je suis sûr que je vais me mettre à faire sur le tabouret. J’ai des spasmes de plus en plus rapprochés.
- Je le vois bien et cela m’amuse, répondit l’homme. Si tu retires les godes, mets à la place ces deux œufs durs que tu auras préalablement épluchés. Seulement, dans ce cas, il faudra les garder, et sans l’aide de lanières quelconques, jusqu’à ce que je te dise de les manger.
L’idée de manger ces œufs fit que Julia décida de se retenir. Mais son visage devenait de plus en plus rouge et elle n’arrêtait pas de bouger sur le tabouret, croisant et décroisant sans cesse ses jambes pour le plus grand plaisir des hommes du bar. Enfin elle craqua.
N’y tenant plus, elle prit deux œufs durs sur le présentoir du comptoir, son sac à main et se dirigea, en courant presque, vers les toilettes sous le regard médusé du barman qui ne voyait pas le rapport avec les œufs. Pour sa part, l’homme continuait à manger comme si de rien n’était.
Dans la voiture, Julia lui raconta que lorsqu’elle avait enlevé le gode de son cul, elle fut secouée de spasmes comme si elle se libérait de trois kilo de merde d’un coup.
- Je ne savais pas que l’on pouvait ainsi jouir du cul, ajouta-t-elle. Mais le mieux fut quand j’y ai placé l’œuf. Une fois à l’intérieur j’ai ressentis les mêmes sensations agréables qu’avec le gode, mais en plus supportable. Par contre, le passage de l’anus fut une vraie jouissance.
- Et l’œuf dans ton vagin, lui demandai-je?
- Apparemment il s’y sent très bien et quand je marche je le sens bouger: c’est génial!
- Tâches de n’en perdre aucun! N’oublie pas que c’est ton dîner!

Arrivés à la maison, Julia déchargea la voiture et avant de ranger les provisions, elle se déshabilla ne gardant que ses chaussures et ses œufs. Elle avait bien appris la leçon.
L’homme la fit ensuite monter dans la chambre et s’allonger sur le lit où il l’attacha bras et jambes écartés à chacun des montants du lit.
- Hier soir, lui dit-il, je t’avais promis lors de ta première séance de cravache que tu en aurais une aujourd’hui. Je tiendrais donc parole, mais la séance d’aujourd’hui sera un peu spéciale. Elle durera toute l’après-midi.
Une lueur d’inquiétude apparut dans les yeux de Julia.
- Elle sera à base de frustrations. Frustration du mouvement d’abord, puisque tu es attachée au lit. Frustration de la vue aussi, car je vais te mettre un bandeau. Frustration de l’ouïe enfin avec des boules Quies dans les oreilles. Tu n’auras donc aucun lien avec l’environnement extérieur. Tu pourras à ton aise méditer sur ta nouvelle condition. Je viendrais de temps en temps, à intervalles irréguliers et pour des durées irrégulières, te donner quelques coups de cravache ou de martinet, n’entendant rien, ne voyant rien, tu ne sauras jamais quand ni où le coup viendra. Ce sera à chaque fois une surprise.
Durant tout l’après-midi, l’homme montait donner à Julia plusieurs coups à des endroits différents de son corps. A chaque fois la douleur était fulgurante car, ne sachant ni quand ni où le coup allait venir, elle ne pouvait pas s’y préparer. En fin d’après-midi, il monta avec à la main un gros sac de pinces à linge en plastique. Il s’approcha de Julia, qui, toujours étendue sur le dos, dormait. Son corps était zébré de traces de coups. Il commença par lui sucer l’aréole des seins afin de faire bander les tétons. La réaction fut immédiate et Julia se réveilla. Une fois les tétons durcis, il plaça une pince à linge sur chacun. Julia gémit en grimaçant. Il s’amusait ensuite à lui pincer le clitoris, enlevant la pince pour la remettre, puis de nouveau la retirant sans la «dépincer», tirant sur l’organe pour mieux lui faire sentir le pincement. Finalement, il laissa la pince dessus, s’attaquant aux lèvres, les étirant au maximum pour pouvoir mettre le plus de pinces possibles.
Julia se trouva bientôt couverte d’une cinquantaine de pinces à linge sur tout son corps: cinq à chaque sein, mamelles comprises, une dizaine sur la vulve dont une sur le clitoris, une demi-douzaine sous chaque aisselle, puis sur les cuisses, dans la raie des fesses, sur l’anus, entre les doigts de pieds, dans les narines et sur les lèvres de sa bouche, les oreilles, le cou. Julia s’était transformée en hérisson. La laissant ainsi, il redescendit au salon et attendit une bonne heure que la douleur devienne un peu moins supportable.
Remontant dans la chambre, il se déshabilla et retira les pinces de la vulve en tirant dessus. La douleur fit crier Julia. L’afflux de sang dans les parties pincées lui faisait encore plus mal que les pincements eux-mêmes. Sans attendre que la douleur s’estompe, il la chevaucha et l’empala sans même enlever l’œuf. Il se mit à la labourer, s’accrochant, tel un cavalier tartare déchaîné, à toutes les pinces que ses mains trouvaient. Julia se tordait en tous sens et de sa bouche distendue par les pinces sortaient des hurlements de douleur. La vue de son visage avec les pinces dans le nez, les oreilles et sur la bouche l’excitait au plus haut point, ainsi que l’œuf que sa verge rencontrait à chaque pénétration. Toutes les pinces tremblaient sous les secousses, ajoutant encore à la douleur. Des larmes sortirent de sous son bandeau.
Après avoir joui en elle pour la deuxième fois sans qu’elle ne ressente aucun plaisir, il la libéra de son bandeau et de ses boules Quies.
- Tu as aimé, hein, ma salope! Mais attends de voir la suite. Ce n’est pas fini!
Il retira en tirant dessus toutes les pinces de son corps qui n’étaient pas déjà tombés pendant la chevauchée. Il détacha ses chevilles et releva ses jambes derrière sa tête, les écartant pour attacher de nouveau les chevilles au même endroit que les poignets. La respiration rendue difficile par cette position inconfortable, Julia soufflait comme un phoque. La vue de son cul que rien ne protégeait de ses envies le fit bander de nouveau. Il prit un godemichés de taille normale et l’enfonça doucement, mais d’un coup, jusqu’au bout dans son fondement. Enculée à sec, le visage couvert de marques des pinces à linge, Julia se tortilla pour échapper à cette brûlure ravageuse. Le phallus de plastique s’enfonçait dans ses chairs écartelées. Il le fit coulisser doucement d’abord puis avec frénésie. Julia ne pouvait s’échapper du pal qui lui vrillait les reins. Elle se mit à se tordre de douleur.
Il officiait ainsi durant de longues minutes. Sa croupe finit par onduler en rythme et un spasme la secoua. Il s’ingéniait à faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Il cherchait les points les plus sensibles de son anus et de son rectum et y portait la plus part de ses attaques. Julia commençait à s’envoyer en l’air, avec de grands cris jouissifs. Des vagues de plaisir commencèrent à submerger son cerveau. Il s’acharnait à déchirer Julia qui se déhanchait, criant en rythme son plaisir.

Ne s’étant apparemment pas correctement administré son lavement quotidien, les spasmes poussèrent les matières fécales hors de ses intestins. La merde vint s’enrober autour de l’œuf. Il retira le gode avant que lui-même ne soit souillé. L’œuf sortit dans la foulée.
- Tu sens l’odeur, Julia? Il est évident que tu ne t’es pas correctement lavé le cul. Tu prendras donc ton hors-d’œuvre un peu avant l’heure.
Avec un mouchoir, il prit l’œuf enrobé de merde et l’approcha de son visage.
- Regarde ce bel œuf, sale chienne!
Julia détourna la tête.
- Regarde, lui dit-il en la giflant. Tu vas gentiment sucer ton intérieur, et je veux que cet œuf soit aussi propre que quand tu te l’ais enfoncé dans le cul! Vas-y, lèche-le !
Julia secoua la tête, comprima ses lèvres ne voulant visiblement pas goûter sa merde. Il lui pinça le nez et attendis. Pour l’instant elle retenait sa respiration mais au bout d’une demi-minute elle devint toute rouge et n’y tenant plus ouvrit la bouche pour reprendre sa respiration. C’est à cet instant que l’homme lui enfonça l’œuf dans la bouche, lâcha son nez et des deux mains referma ses mâchoires.
- Mâche cet œuf et avale-le!
Julia commença doucement à mâcher l’œuf en ayant des spasmes de vomissement, puis l’avala enfin entre deux haut-le-cœur.
- C’était bon n’est ce pas?
Elle ne répondit pas, ayant encore envie de vomir, sa bouche étant tapissée par endroit de merde restant collée sur les dents. Ce n’est qu’au bout de cinq gifles qu’elle dit dans un souffle:
- Oui, Seigneur!
- Ah! Tu as aimé? Et bien je vais t’en redonner!
- Non, non, cria-t-elle de toutes ses forces!
Il s’approcha de son cul et se branla pour se faire bander. Une fois sa verge raide, il pénétra son anus plein de merde. Il lui suffit d’un coup de hanches pour que la presque totalité de son membre disparaisse dans le pertuis intestinal. Il la sodomisa alors sauvagement, s’enfonçant avec délice dans sa merde chaude. Son cul, vierge jusqu’à aujourd’hui, était agréablement étroit. Visiblement cela plaisait à Julia qui haletait, gémissait, soupirait et émettait un long râle à chaque spasme. Il lui titillait le clitoris durant toute l’opération. Elle poussait de véritables petits cris d’enthousiasme à chaque fois que son phallus s’enfonçait dans ses entrailles. Il ressortit sa bite sur laquelle s’était déposée une bonne couche de merde et l’approcha de sa bouche.
- Suce ma jolie, puisque tu aimes.
Avec quelques hésitations Julia sortit sa langue mais, considérant qu’elle ne s’exécutait pas assez rapidement, il lui enfonça sa bite de force dans sa bouche. Des larmes coulaient le long de ses joues pendant qu’elle nettoyait sa verge de ses matières puantes.
De voir sa bouche pleine de merde augmenta son excitation et sentant l’éjaculation proche, il sortit de sa bouche pour frotter son gland contre ses narines. Le foutre jaillit, remplissant les narines et dégoulinant en belles perles translucides sur son visage grimaçant sous les contractions de son estomac.
- Tu es superbe avec la bouche pleine de merde et le nez plein de sperme.
Il détacha ses jambes, s’assit sur le coussin moelleux de ses seins et la regarda. Sentant une envie de pisser venir, il lui remit sa bite dans la bouche et lui dit:
- Suce bien et bois bien, sinon tu mangeras!
Ne pouvant plus se retenir il lui dit:
- Bois maintenant, mais n’en renverses pas!
Puis de se laisser aller dans sa gorge. Julia fut surprise, n’ayant sans doute pas comprit de quoi il s’agissait, et secoua la tête, dégageant le sexe de l’homme de sa bouche. Ce dernier, lui pissa alors sur le visage, les cheveux, le cou, en en mettant partout sur le lit.
- C’est tant pis pour toi! Je t’avais prévenue, lui dit-il en lui enfonçant de force son membre dans la bouche en lui tenant la tête à deux mains.
Julia avalait le plus vite qu’elle pouvait mais c’est tout juste si elle ne s’étouffa pas sous ce jet abondant, toussant à s’en arracher les poumons alors qu’elle en avait avalé de travers dans le feu de l’action. Lorsqu’il eut libéré sa vessie, il se mit à genoux, se retourna et s’assit sur son visage.
- Je ne voudrais pas que tu en laisses, sinon je te promets que je te fais percer les grandes lèvres et les seins et que j’y fais mettre des anneaux. Ouvre la bouche!
Julia s’exécuta, ne sachant plus où elle était, le cerveau débranché face à tant de violence soudaine de la part de cet homme qui, par ailleurs, pouvait lui procurer tant de plaisir. Ce dernier lâcha un étron énorme dans sa bouche. Il était si gros qu’il ne rentrait pas entièrement.
- N’oublie pas ce que je viens de dire!
Avec sa langue, Julia essaya de mettre le tout dans sa bouche mais elle ne réussit qu’à en casser un morceau qui tomba le long de sa joue sur le lit pendant que tout son corps entravé se tordait sous les spasmes de révulsion.
- Décidément, tu accumules les gaffes, lui dit-il. Mange maintenant!
Il ferma la bouche de Julia et ses dents rencontrèrent la merde pâteuse et fort odorante. Elle eut la nausée mais avala une première fois un morceau et c’est là que son organisme ne pu en subir plus. Son estomac eut un spasme plus fort que les autres indiquant qu’elle n’allait pas tarder à vomir. L’homme alla vite chercher dans la valise le rouleau de ruban adhésif d’emballage et ferma de manière étanche la bouche de Julia en collant plusieurs bandes sur ses lèvres. Il était temps.
Les nausées révulsèrent son estomac qui en rendit le contenu. Ses lèvres étant hermétiquement closes, le vomi s’arrêta en bouche obligeant Julia à le ravaler. Un autre spasme en amena un second lot. Par la pression, il jaillit par le nez sous ses yeux pleins de larmes. Les jaillissements de son nez aspergèrent le torse de l’homme alors qu’un troisième spasme secoua la jeune femme qui manqua de s’étouffer sous le flot trop abondant de vomi qu’elle avala de travers. L’homme lui retira son bâillon et le flux de vomi jaillit en éclaboussant son corps écartelé sur le lit. Ses nausées ainsi que sa crise de toux finirent par se calmer et l’homme attendit que son esclave, toujours attachée dans sa position fort inconfortable, se calme un peu et surtout se rende compte de se qui venait de se passer et assimile bien le fait qu’elle venait de bouffer de la merde, de boire de la pisse et de se vomir dessus.
Alors seulement il la détacha. Il lui dit de se mettre à genoux sur le lit, et de lui lécher le corps pour enlever toute trace de merde ou de vomi. Ce faisant, elle vit son image reflétée par le miroir de l’armoire. De honte, elle éclata en sanglots et c’est en pleurant à chaudes larmes qu’elle lécha la peau maculée de son Maître. Aucun mot de sa part, même pas une consolation, rien. Silence.
Pendant qu’il prenait sa douche, Julia, les fesses et l’intérieur des cuisses couvert de merde, la poitrine gluante de vomi, et le visage recouvert d’un mélange de merde, de vomi et de sperme, retira les draps maculés du lit.
Il sortit de la salle de bain.
- Va te laver, lui dit-il! Tu es dégueulasse et tu pues! N’oublie pas de te faire un lavement correct cette fois-ci. Après tu referas le lit et viendras me rejoindre en bas.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 4 août 6 04 /08 /Août 14:41

C'est la suite de la matinée emballé.

Sérieux, j'étais nase avec le scotch hyper serré sur les cuisses, les bras et le ventre. J'ai tout viré pour ne garder que la "culotte" montant en corset sur le ventre.

         

   

         

Ayant l'intention de garder ce bermuda de scotch tout le week-end, je me dis que, tant qu'à faire, autant m'amuser. Je rappelle que c'était un test pour une copine qui voulait le faire subir à son compagnon en l'excitant à tout va. J'ai donc fait pareil.

         

Pour cela, j'ai commencé à placer une pince sur chaque téton avant de me mettre une cagoule en latex. Je voulais que la cagoule soit la plus serrée possible. Celle que j'avais étant à ma taille, je m'en suis fait une autre. J'avais une paire de bas en latex qui étaient déchirés, donc inutilisable en tant que bas. Mais je ne jette jamais mes vêtements en latex abîmés car ils peuvent toujours servir. La preuve. La cagoule est en fait un pied d'un des bas que j'ai ouvert en découpant le bout. Enfilée sur la tête, je vous pris de croire que la pression du caoutchouc est assez intense. S'est sensé envelopper un pied et non un crâne.

         

   

Rien que cette pression permanente sur le crâne est déjà sympathique. Ce qui n'est pas une raison pour en rester là.

         

   

Un petit coup de "breath control".

   

Essayez donc de vous branler ainsi scotché!

Pas évident!

         

Il va sans dire que portant cet accoutrement depuis le matin, et, que de manière tout a fait perverse, je n'ai pas arrêté de boire, il arriva ce qui devait arriver. J'eu envie de faire pipi.

Ben tanpis hein! J'ai fait pipi. En me tortillant dans tous les sens pour bien sentir le flux tiède sur ma peau.

         

   

Et de recommencer à m'asphyxier.

   

Mais là, j'ai changé. J'ai enfilé sur la tête le reste du bas, en fait la partie qui enveloppe normalement le mollet. Même pression sur le visage avec en plus le fait qu'il n'y aucun orifice permettant de respirer.

   

   

Toujours en essayant de me branler en même temps.

Mais cela ne suffit pas. Autant mettre par dessus le latex que j'ai déjà sur le visage la cagoule du début. Double pression, super étanchéité à l'air, et tout, et tout ...

         

         

   

Et ben j'en fait une tête ....

         

   

         

Wouah! Toujours pas joui, mais je me suis chié dessus!

   


Par Anatole - Publié dans : anatole
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Mes séances en solo
  • Mes séances en solo
  • : Amateur
  • : Les délires d'Anatole en solo. Masturbation anale ou non, habillé de nylon, latex ou spandex, voire tout nu, en talons hauts parfois attaché ou ligoté, avec souvent une pointe de SM du type martinet, pinces à seins, cire de bougie, etc...
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Catégories

Mes Ballades

Quelques videos trouvées au hasard de mes balades sur la toile.
Il y a de tout pour tous les goûts.

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés