Mercredi 25 juillet 3 25 /07 /Juil 19:12
4

La jeune femme entra dans le salon nue et propre. Elle tenait à la main ses bas et ses chaussures.
L'homme se leva et se mit au milieu du salon. Il lui prit des mains les bas en nylon.
- Remets tes chaussures, lui ordonne-t-il!
Elle s'exécuta.
- Viens devant moi!
La jeune femme s'approcha de l'homme.
Il s'agenouilla devant elle et entreprit d'attacher les chevilles avec une paire de chaussettes longues en prenant soin de ne pas les de ne pas les coller l'une contre l'autre.
Il attacha ensuite ses poignets de la même manière avec une deuxième paire de chaussettes et relia les deux liens par leur centre avec un bas, qui, tirés au maximum, empêchait la jeune femme de monter les mains plus haut que sa poitrine. Les chevilles et les poignets n’étaient pas trop serrés l'un contre l'autre afin de lui permettre de faire de petits pas et de prendre des objets.
L'homme prit dans sa poche le slip de satin blanc encore humide de la femme, le chiffonna en boule et le glissa dans sa bouche. Il l'y maintint par un deuxième bas noué derrière la nuque.
L'homme fit se mettre la jeune femme à quatre pattes. Prenant la carotte qui traînait par terre, il s'assit sur la croupe tendue regardant les fesses. Il enduisit le légume de gel lubrifiant et, écartant les lobes d'une main, enfonça de l'autre le légume dans l'anus offert jusqu'à ce que seules les feuilles ne sortent, comme précédemment. La jeune femme gémit, son anus étant encore sensible.
Se levant, l’homme montra le salon d'un geste ample du bras et ordonna :
- Lève-toi! Pendant que je prends ma douche, je veux que tu ranges tout ce bordel! Compris?
La jeune femme se mit debout et acquiesça d'un signe de tête.
- Non, non cocotte, dit-il! Quand je te pose une question tu réponds! D'accord?
La jeune femme répondit d'une manière presque incompréhensible, sa langue étant bloquée par sa culotte :
- Oui.
- Ce n'est pas la bonne manière de me parler! A partir de maintenant tu m'appelles "Seigneur"!
- Oui Seigneur répond-elle ses mots toujours déformés.
- C'est mieux!
L'homme se retourna et sortit du salon laissant la jeune femme seule. Elle poussa un énorme soupir et commença à ranger en se déplaçant, du fait de ses entraves, à tout petits pas saccadés qui faisaient joliment remuer ses seins, ses fesses et les feuilles de la carotte.

La jeune femme, toujours ligotées par les chaussettes et les bas, bâillonnée avec son slip, entièrement nue à part ses chaussures et sa carotte dans le cul, allait et venait dans la cuisine préparant le dîner. Elle posa un steak dans une assiette sur le plan de travail.
L'homme, habillé d'une robe de chambre et de sa cagoule en cuir, la regardait, appuyé contre le chambranle dans l'encadrement de la porte. Il lui indiquait, quand besoin était, l'emplacement des ustensiles :
- La poêle est dans le placard sous le plan de travail.
La femme y alla, se baissa, ouvrit la porte du placard et prit la poêle. Elle la posa sur la plaque de cuisson et se retourna vers l'homme pour lui demander à travers son bâillon :
- Tu veux que je fasse cuire au beurre ou à l'huile?
Sa question était bien sûr incompréhensible.
- Pardon?
La femme en essayant d'articuler :
- Tu veux ton steak cuit au beurre ou à l'huile?
- Au beurre ou à l'huile, demanda l’homme?
La femme acquiesça de la tête.
- Au beurre s'il te plaît.
La jeune femme alla vers le réfrigérateur.

La jeune femme, entièrement nue avec ses chaussures et sa carotte, était debout, jambes serrées, bras dans le dos. Ses chevilles et ses genoux étaient étroitement liés l'un contre l'autre par du ruban adhésif d'emballage.
Ses bras étaient pliés dans le dos, les poignets entre les omoplates, reliés, eux, par une chaussette.
Deux pinces à linge étaient placées sur chaque sein, de chaque côté du téton.
La jeune femme n'était pas bâillonnée mais portait un bandeau sur les yeux.
Elle était debout au milieu du salon, face à l'homme depuis vingt bonnes minutes. Lui, était assis à table en train de terminer son dîner. Son regard passait de son assiette à la jeune femme qui se trémoussait légèrement essayant en vain de relâcher un peu ses liens.
L'homme finit. Il reposa les couverts dans l'assiette, termina son verre de vin, s'essuya la bouche avec sa serviette. Il se leva, se dirigea vers la jeune femme et se plaça devant elle.
Ses mains caressèrent sa poitrine, jouant avec les pinces à linge, descendirent le long de ses hanches pour empoigner les fesses qu'elles se mirent à pétrir.
L'homme lâcha la jeune femme et se mit derrière elle. De sa main droite il caressait doucement ses fesses, puis, sans prévenir leur asséna une belle claque.
N'ayant pu prévoir le coup du fait de son bandeau sur les yeux, un cri de surprise plus que de douleur sortit de la bouche de la femme. Le choc, qui fait trembler les lobes charnus ainsi que les feuilles de la carotte, manqua de lui faire perdre l'équilibre. Elle le retrouva en sautillant à pieds joints, et pour cause. Les sauts firent joliment trembler ses seins ainsi que les pinces à linge qui y étaient accrochées transformant la simple sensation de pincement agaçante qu’elle ressentait depuis un quart d’heure en douleur. Prenant deux autres pinces, l’homme en mit une sur chaque téton entre celles déjà en place.
La jeune femme n’ayant pu voir ce que préparait l’homme du fait de son bandeau sur les yeux poussa un petit cri de surprise rapidement suivi d’un gémissement de douleur. Petit à petit, la douleur cinglante s'estompait et se mélangeait aux pincements exaspérants des premières pinces.
L'homme passa un bras autour de sa taille afin de la maintenir et lui asséna de sa main libre une belle fessée. La jeune femme se tordait dans les bras de l'homme, essayant, par réflexe, de se soustraire aux claques. Ses seins tressautaient à chaque claque sur les fesses faisant bouger les pinces sur les tendres chairs écrasées. Un cri sortait de sa gorge à chaque fois, dû à la fois à la douleur cinglante de la main et à celle provoquée par les pinces.
La tenant toujours par la taille, l'homme la fit sautiller vers le canapé.
- Avance!
Tant bien que mal, la jeune femme arriva devant le canapé où l'homme s'assit. Il la tira en avant de sorte qu'elle tombe sur ses genoux en poussant un petit cri de frayeur, lui présentant au mieux ses fesses. L'homme reprit la fessée d'une main en écartant de l'autre les feuilles de la carotte.
Sous les claques ponctuées des cris de la femme qui s'était mise à pleurer, les lobes charnus prenaient rapidement une teinte rosée du plus bel effet.
L'homme arrêta la fessée et, en se levant, fit rouler la jeune femme par terre où, en pleurnichant, elle se tortillait doucement en essayant de se retourner sur le dos afin de ne pas écraser les pinces sur les tétons. L'homme défit la ceinture de sa robe de chambre et s'agenouilla devant le visage de la femme en écartant les pans de son vêtement.
Il la remit sur le ventre, la faisant gémir lorsque son poids appuya sur les pinces à linge. Attrapant un sein dans chaque main, il tira dessus pour soulever le torse en cambrant son dos et lui placer la bouche devant son sexe.
- A ton tour de prendre une petite collation, ma jolie, lui dit-il en lâchant les seins et en la maintenant par les épaules.
La femme ouvrit la bouche où l'homme fit pénétrer son membre. Elle commença de la tête un mouvement de va et vient en aspirant la colonne de chair entourée de ses lèvres soyeuses. Se soulevant sur ses genoux, l'homme lui enfonce son sexe jusqu'au fond et la gorge et lâcha ses épaules. La jeune femme ne pouvait plus maintenir son torse relevé qu'en prenant appui de sa tête sur le bas-ventre de l'homme. Ce dernier entreprit alors un mouvement saccadé des reins, secouant la tête de la femme qui se mit à éructer des râles à chaque fois que le gland touchait le fond de sa gorge et que les pinces de ses seins s’écrasaient sur les cuisses de l’homme.
Ce dernier finit quand même par ressortir brutalement, la verge raide, laissant retomber la jeune femme sur le sol, lui arrachant un cri de surprise et de douleur.
Faisant le tour de la femme, l’homme la fit se mettre sur les genoux, la tête toujours au sol, la croupe tendue vers le plafond. Il se plaça devant ses fesses qu’il écarta de ses deux mains pour mettre entre elles sa verge. Resserrant les lobes charnus il commença à se branler entre les fesses comme il l'avait fait entre les seins.
Il la retourna sur le dos. Se plaçant à califourchon sur son ventre en enlevant sa robe de chambre tout en s’occupant de des seins, il frottait sa verge contre le ventre de la femme, mimant un coït. Puis il plaça sa verge raide devant les lèvres de la vulve, entre les cuisses serrées par les liens. L’homme, mimant toujours un coït, se branlait de maintenant entre les cuisses serrées en frottant sa verge contre le clitoris et la vulve sans la pénétrer. A ce contact, la femme s’excita et commença à onduler des hanches.
Puis l’homme se remit à genoux et défit les entraves de ses jambes qu'il écarta et entre lesquelles il se plaça. Ses mains se mirent à caresser doucement le sexe de la femme, puis, remontèrent sur le ventre alors que la bouche prenait le relais. La jeune femme donnait des coups de ventre en avant, prenant du plaisir sous les caresses de la langue. Elle finit par réclamer à l'homme qu'il la pénétra :
- Vas-y! Maintenant! Prends-moi!
Ne se faisant pas prier, l'homme approcha son sexe de celui de la femme et la pénétra délicatement. Doucement, il commença un lent mouvement de va et vient. La croupe de la jeune femme se soulevait et ondulait en rythme alors que ses soupirs et petits cris d'aise montraient qu'une sourde chaleur commençait à l'envahir, ses chairs intimes étant à peine calmées.
Les mains de l'homme malaxaient ses seins sans brutalité. Il prit une pince à linge dans chaque main et, les soulevant légèrement, les secoua. Les seins ballottés, la jeune femme gémit doucement de douleur et de plaisir mêlés. L'homme enleva alors les pinces à linge en les "dé pinçant". La douleur due à l'afflux de sang dans les tétons fit se cambrer la jeune femme qui laissa échapper de sa gorge un long râle. L'homme se mit alors à masser les bourgeons de chair en amplifiant le mouvement de ses reins. La femme se tordait de douleur et de bien-être sous les doigts de l'homme puis, la douleur se dissipant, frétilla de volupté.
L'homme se coucha sur elle et, la prenant dans les bras, se retourna sur le dos, mettant la femme sur son ventre. Elle se releva et, assise sur le phallus, les yeux toujours bandés et les bras ligotés dans le dos, prit les commandes de la manoeuvre, se tortillant dans tous les sens et criant son plaisir à tout va.
L'homme sentant venir la jouissance :
- Termine-moi avec la bouche!
La jeune femme se sépara alors du pénis, s'allongea devant la verge de l'homme et la prit en bouche.
C'est dans un cri de jouissance que l'homme lui éjacula sur le visage.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 15:26

Chaussures Ballet (John Lee Hooker - Chill Out)

Latex 3 (AM to PM)

Fetish 2 (The Who - Underture)

Jolie fille 3 (Queen - Melancholy blues)

Jolie Fille ???(Time)

Bondage 3 (Latex) (Woman)
Par Anatole - Publié dans : Les CLips
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Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 14:45
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La jeune femme était maintenant à genoux, penchée en arrière les coudes posés par terre, toujours attachés aux chevilles. La cambrure de son dos projetait le ventre en avant. Elle avait toujours les fanes de la carotte qui sortaient d’entre ses fesses.
L'homme, à genoux devant son ventre, posa sa main sur sa chatte humide et joua avec les lèvres, doucement, titillant le clitoris qui ne se fit pas prier pour s'ériger fièrement.
Il déposa un premier et presque chaste baiser sur le mont de Vénus lisse et doux et descendit progressivement le long de la pente menant à la vulve, un gouffre tout grand ouvert dont il huma alors fortement les effluves. Il se remplit les narines de ces fortes senteurs.
Il releva la tête, regarda son ventre et lui dit comme on fait un compliment :
- Tu es vraiment un beau jouet!
Il fit pénétrer un doigt, puis deux et fouilla l'intérieur chaud et humide en secouant la main, accompagné des gémissements de plaisir de la jeune femme. Il sortit ses doigts et entreprit d'étaler son foutre sur les lèvres, massant la vulve comme on étale une pâte à tarte. Il prit ensuite le clitoris qu'il fit rouler entre son pouce et son index.
Les gémissements laissèrent la place à des râles rauques qui s'amplifièrent encore quand l'homme enfonça dans le vagin le concombre auquel il donnait quelques mouvements de va et vient en continuant de jouer avec le clitoris.
- Doucement, ma jolie, susurrait-il! Je ne t'ai pas encore permis de jouir!
Pour le lui faire comprendre, il enleva le concombre et écrasa le clitoris entre ses doigts. La jeune femme grimaça de douleur. Il lâcha le bouton pour s'occuper des lèvres. Il décolla les grandes lèvres l'une de l'autre pour agrandir l'ouverture, les étirant à l'extrême, puis, maintenant l'écartèlement de la main gauche, il enfonça de nouveau un doigt de la main droite dans la fente, puis un deuxième, puis un troisième. Pour le quatrième et le pouce, il eut quelques difficultés, le vagin n'étant pas assez dilaté.
Il ressortit sa main, l'enduit de gel lubrifiant ainsi que la vulve, et força le passage en donnant à sa main un mouvement tournant. La vulve était étirée à craquer, mais il réussit quand même, petit à petit, en refaisant inlassablement le même mouvement tournant, à y faire pénétrer la main entière.
La jeune femme était partagée entre la douleur provoquée par ses chairs distendues et le plaisir de la pénétration du poignet de l'homme dans son ventre.
- Vas-y, dit-il! Tu peux te laisser aller!
Il ferma son poing et imprima à son bras un lent mais efficace mouvement de va et vient qui ne put que satisfaire la jeune femme. Toute trace de douleur disparut de son visage, laissant la place à une expression de complète béatitude. Elle gémissait en se contorsionnant.
L'homme accélérait la cadence, son bras sortant et entrant dans son ventre dans un balancement alternatif.
Soudain la jeune femme poussa un grand cri, une sorte de hurlement fauve, et elle s'abandonna au raz de marée jouissif qui déferlait à travers son corps entravé qui était secoué par toute une série de convulsions plus violentes les unes que les autres, accompagnées par un long cri de jouissance.
Pour terminer en beauté, l'homme ouvrit toute grande sa main, toujours aussi profondément enfoncée dans son con. Ce fut le coup de grâce pour la jeune femme. Son corps se tendit à l'extrême, tirant sur les liens qui la maintenaient dans cette position inconfortable. Elle poussa un cri encore plus fort que les précédents avant de se laisser retomber sur le sol, inerte, reprenant difficilement son souffle.
L'homme sortit doucement sa main du vagin de la jeune femme, provocant un nouveau soubresaut lors du passage du poignet.
- Attends! Ce n'est pas fini, dit-il.
Les hanches de la jeune femme ondulaient langoureusement pendant qu’elle reprenait progressivement ses esprits.
L'homme la remit sur le ventre sans grands ménagements, lui sortant une plainte, se plaça derrière elle et tira sur les feuilles de la carotte, doucement. Le légume frotta contre les parois. Le rectum complètement excité, la jeune femme fut de nouveau secouée de spasmes.
L'homme plaça son gland devant l'anus et, d'un coup de reins, poussa son membre dans ses entrailles.
La jeune femme se mit à exprimer son plaisir par des hululements gutturaux étouffés, frottant sa croupe contre le ventre de l’homme d'un mouvement ondulatoire de tout son corps.
L'homme commença son mouvement de va et vient, son sexe bousculant tout sur son passage, ne souffrant aucune résistance, de l'anus béant au fond de ses entrailles.
La jeune femme suivit la cadence. Chaque coup de boutoir qu'elle se prenait dans le cul faisait frémir les lobes charnus de ses fesses. Les coups de reins se répercutaient tout le long de son corps entravé, le faisant vibrer au rythme du plaisir de l'homme, frottant son ventre et ses seins sur le sol.
D'un va et vient infernal, il lui labourait l’arrière-train, forçant le passage sans ménagement, lui remodelant le fondement à ses dimensions. La jeune femme commençait à y prendre franchement plaisir, d'autant que l'homme prit le concombre et passant ses mains sous son ventre, l'enfonça dans son vagin.
Il jouait avec ses chairs distendues par le végétal qui entrait et sortait.
Crispée à se rompre les nerfs, la jeune femme poussa un hurlement et releva la tête en se raidissant, tous ses muscles tendus sous sa peau fine. Elle éprouva l'atroce sensation qui lui vint de son ventre qui s'ouvrait et se déchirait sous la formidable poussée de l'engin qui distendait ses chairs intimes.
Sans lui répondre, sans se soucier de ses cris et de ses plaintes vibrantes, ignorant ses sanglots et ses supplications pathétiques, l'homme, haletant bruyamment sous l'effort que lui demandait la possession de sa partenaire, déplaça sa main pour l'amener jusqu'à la pointe de la vulve distendue dont il caressa le pistil exaspéré et projeté en avant par le volume du concombre. Sans cesser d'agacer le clitoris gorgé de sang, il projeta son ventre à la rencontre de la croupe, offerte et trépidante, à coups de reins réguliers et imparables.
Sous l'inexorable mouvement de la verge de l'homme dans son rectum excité, la jeune femme mêlait peu à peu de longs gémissements rauques à ses plaintes de douleur allant s'assourdissant. Au rythme régulier de la pénétration, la souffrance s'estompait et s'effaça totalement pour faire place au plaisir.
Sans la moindre retenue maintenant, elle se livrait au rut de l'homme qui la possédait vigoureusement et la sabrait à grands coups de reins. Le corps entravé, les seins écrasés par le poids de l'homme, la tête relevée et la chevelure folle, les lèvres ouvertes sur une plainte permanente qui montait de sa gorge en feu et s'échappait en longues trilles sanglotantes, secouée par les coups de boutoirs de l'homme, la jeune femme se mit à hurler, prise de sauvages convulsions. Longuement, à pleins poumons, elle cria sa jouissance en se jetant dans de violents bondissements.
L'homme sortit de son cul, la remit sur les genoux et retira le concombre. Agenouillé devant elle, il commença à la caresser des épaules aux genoux, suivant la ligne de ses flancs frémissants, la courbe ample et régulière de ses hanches s'allongeant vers ses cuisses pleines et fermes. Il revint prendre ses seins sans les pétrir encore, pour redescendre lentement vers son ventre plat et dur qu'il abandonna soudainement avant d'arriver au pubis.
Se couchant de nouveau entre ses cuisses, il plaça son visage devant son bas-ventre et prit son sexe à pleine bouche pour commencer à mâcher les lèvres soyeuses.
Ses mains remontaient le long des flancs haletants, venaient se glisser sur sa poitrine pour emprisonner les seins et les pétrir vigoureusement. Il pinçait les bouts tendus sans cesser de brûler la vulve de la pression de ses lèvres et de pousser dans le vagin sa langue alerte, faisant hésiter la jeune femme entre le plaisir et la douleur qui, l'un comme l'autre, la firent crier. Les chairs complètement excitées par la masturbation au concombre, la jeune femme délirait et ne savait plus ce qu'elle disait :
- Prends-moi! Vas-y, suce-moi plus fort! Mords-moi! Fait moi mal, rends-moi folle!
Ne demandant que cela, l'homme la mordit sévèrement en capturant son clitoris qu'il aspire entre ses dents serrées pour la faire crier de souffrance et d'hystérique volupté.
La jeune femme se démenait comme une forcenée, prisonnière du ruban adhésif et des mains de l'homme qui s'arrimaient énergiquement à ses seins qu'il déformait de ses doigts durs pour continuer de sucer, d'aspirer, de mordre le bouton de chair tendre, dispensateur de plaisir voluptueux.
La jeune femme criait et s'étouffait, le visage déformé, les joues couvertes de larmes, agitant convulsivement les fesses et projetant ses hanches en avant le plus possible puis les reculant, incapable de savoir si elle voulait se donner davantage ou échapper à l'intolérable baiser qui la rendait folle.
Puis l'homme se redressa, plaqua le corps de sa partenaire sur le sien en la relevant sur ses genoux, ventre contre ventre, la faisant tressaillir de douleur au moment où sa bouche prit la sienne.
Elle entrouvrit les lèvres et consentit au passage de sa langue avide.
Les mains de l'homme caressaient ses flancs alors que son corps se frottait au sien. Il frottait sa verge sur la vulve sans la pénétrer, excitant le clitoris.
La jeune femme, intensément émue, gémissait de plaisir dans la bouche de l'homme dont la langue active la pénétrait en un mouvement de va et vient phallique, forçant doucement les lèvres en les caressant au passage.
Soudain, l'homme pénétra d'un coup son vagin aux chairs hyper sensibilisées. Elle l'accueillit par un long soupir d'aise.
Il se plaqua étroitement contre elle, poussa son ventre contre le sien et écrasa ses seins contre sa poitrine. Son visage cagoulé face au sien, il prit les lèvres pulpeuses et sensuelles dans les siennes et, à pleine bouche, avidement, donna un baiser.
Sa langue se glissait, anguille de chair palpitante, entre les dents de la jeune femme et, par petits coups vifs, piquetait son palais, semblait se développer, enfler, et remplissait toute la bouche pour soumettre l'autre langue à sa loi. Fine, roulée, pointue, gonflée, impérieuse et caressante, elle la cherchait, la fouillait pendant que ses lèvres se pressaient sur celle, chaudes et humides, de la jeune femme, les massaient, les roulaient puis s'ouvraient et découvraient les dents qui mordillèrent doucement pour encore et encore revenir comme les bords vivants d'une ventouse goulue.
Délaissant enfin sa bouche, les lèvres de l'homme descendirent dans son cou et sur sa poitrine. La jeune femme gémit doucement. Saisissant son sein droit d'une main, l'homme plaqua sa bouche de goule sur le gauche et commence à le sucer après avoir capturé le téton durci qui gonflait plus encore sous l'étreinte des lèvres. La jeune femme se crispa sous le double effet des caresses et de la verge dans son ventre, immobile mais bien présente.
Brusquement, l'homme cessa ses baisers et, prenant par la taille la femme dont les coudes étaient toujours attachés aux chevilles, se mit debout en la soulevant et commença un violent mouvement de va et vient en la secouant en tous sens.
Elle se mit à crier, son vagin étant extrêmement sensible et sa position douloureuse. Elle laissait échapper un jappement à chaque coup de boutoir accompagné d'un claquement sonore des cuisses de l'homme contre ses fesses. L'incendie reprit de plus belle dans son ventre et, la tête rejetée en arrière, elle se contorsionnait éperdument alors que son corps était secoué de convulsions et de spasmes.
Vint le moment où la jeune femme eut mal à force de jouir.
- Noooonnn!... Arrête! J'ai mal!... Tu me fait trop mal!... Je t'en prie!... Arrête un instant!... Rien qu'un instant!...
Mais implacable, l'homme la maintenait dans la houle de ses orgasmes successifs qui la secouaient sans répit et lui refusaient le repos qu'elle réclamait de tout son être, épuisée. Malgré elle, elle continuait à jouir, à hurler à perdre haleine, suppliant d'arrêter, sanglotant et hoquetant des mots sans suite sous l'accablante intensité du plaisir qui la ravageait.
Restant sourd à sa demande, l'homme allait et venait en poussant son ventre. Il accéléra la cadence de la pénétration qui se fait plus violente, plus puissante et plus saccadée, la jeune femme étant empalée de tout son poids sur la verge de l'homme.
Puis, il reposa sa partenaire par terre et continua ses violents coups de boutoir. Le corps de la jeune femme était ballotté dans ses liens.
La jouissance emporta alors l'homme d'un coup et, rugissant de plaisir, il se crispa en broyant les pauvres seins que ses doigts griffèrent convulsivement pour, dans un grand cri, sortir du vagin gluant et éjaculer en de longues et épaisses giclées contre son ventre.
Il lâcha la jeune femme qui, sentant la tempête décroître, se laissa retomber, molle et inerte, dans ses liens.
Il se releva et coupa avec un canif les liens de la jeune femme qui s'assit et enleva les bouts de ruban adhésif de ses coudes et de ses chevilles.
- Va prendre une douche, lui ordonna-t-il, et rapidement!
La jeune femme acquiesça de la tête, encore incapable de dire un mot. Elle tenta de se relever mais n’y parvint pas du premier coup, ses jambes n’arrivant pas à la soutenir. Enfin debout, tremblant de tout son être, haletante en essayant de reprendre son souffle et ses esprits, elle demanda du regard à l’homme de lui indiquer le chemin.
Il l'accompagna dans la salle de bain, la soutenant. Elle y entra pour en ressortir immédiatement et lui demander d'une petite voix et n'osant pas le regarder :
- Pourriez-vous m'indiquer où sont les toilettes s'il vous plaît.
- Bien sûr!
L'homme lui ouvrit la porte des WC. La jeune femme entra et alla pour fermer la porte mais l'homme l'en empêcha.
- J'aimerai te regarder pisser.
- Mais, répondit-elle interloquée!
- Vas-y! Assieds-toi et écarte bien la vulve avec tes doigts que je puisse admirer ton jet d'urine.
La jeune femme, hésitante, s'installa sur la cuvette.
- Redresse bien le buste, dit l’homme, et écarte les cuisses!
Elle obéit et, quand le jet puissant jaillit de son ventre et gicla violemment dans la cuvette en un fort chuintement, elle ferma les yeux, luttant désespérément contre l'envie qui lui venait de pleurer en cédant aux tourments que subit son orgueil affreusement mortifié.
Le flot doré de sa miction se tarit. L'homme la regarda encore s'essuyer la vulve, la poitrine gonflée de sanglots difficilement contenus, et les yeux brillant de larmes impossibles à totalement contrôler.
Elle se releva et passant devant l'homme en baissant les yeux et entra dans la salle de bain. Pour le coup elle ne referma pas la porte. C'est l'homme qui, en passant devant, le fit.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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Samedi 14 juillet 6 14 /07 /Juil 11:17

  

 

Salut tout le monde.

Je commence par montrer mon cul. Certains (certaines plutôt) m'ont dit le trouver... comment dire... attirant.
Ouais, çà parait étonnant mais croyez bien que je ne vais pas inventer un truc pareil. Toujours est-il que, pour celles et ceux qui aiment: le voici.

Bon, entront dans le vif du sujet. Aujourd'hui: branlette avec des pinces aux seins. Encore? Ben ouais, j'aime bien.

Les pinces, par une ficelle qui passe dans un anneau du plafond, sont reliées à des poids (d'où le titre de l'article). Pour ma part, je suis habillé, comme vous pouvez le voir, d'un porte-jaretelle et de bas en latex. Gants, cagoule et baîllon complètent la tenue somme toute assez sommaire.

Mise en place des pinces ...

         

... et je recule pour tirer dessus.

   

Mieux, je me mets à genoux.

   

Tant qu'à faire, autant que je me mettes à l'aise sur le canapé, d'autant que les poids tireront les tétons plus vers l'avant.

         

Miam miam! Allez Anatole, secoue-la ta nouille!

         

Là, çà tire bien sur les tétons. Pas trop car ce ne sont pas des poids de dix kilos mais suffisament pour me mettre dans un état d'excitation qui s'intensifie progressivement.

   

D'autant que les pinces glissent sur les tétons et me les pincent de plus en plus fort ...

         

... pour finir par partir sans dépincer.

   

Résultat ...

   

Le film

Par Anatole - Publié dans : anatole
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Samedi 14 juillet 6 14 /07 /Juil 11:15

Chaussures 2 (Nights in white satin)

Latex 2 (Barry White)

Fetish 1 (Objets) (Paradise city).avi

Nylon (I can't get you out of my head)

Jolie fille 2 (Stairway to Heaven)

Bondage 2 (Nothing else matters)
Par Anatole - Publié dans : Les CLips
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Présentation

  • : Mes séances en solo
  • Mes séances en solo
  • : Amateur
  • : Les délires d'Anatole en solo. Masturbation anale ou non, habillé de nylon, latex ou spandex, voire tout nu, en talons hauts parfois attaché ou ligoté, avec souvent une pointe de SM du type martinet, pinces à seins, cire de bougie, etc...
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