Samedi 1 septembre 6 01 /09 /Sep 10:32

Bondage 6
(Prodigy - One Love)

Latex 5
(Propellerheads - History Repeating)

Shemale 3
(Marcia)
Par Anatole - Publié dans : Les CLips
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Samedi 1 septembre 6 01 /09 /Sep 09:40
11

 

Xavier et Pierrick étaient partis mettre Inès au lit. Il ne restait dans la salle de travail que Geoffrey, Julia, vulve offerte, et Alexia qui s’occupait activement d’Aurélie qui avait de nouveau les yeux bandés.
Allant et venant dans le ventre de Julia, Geoffrey regardait les deux femmes qui lui offraient un spectacle de choix. Alexia s’était entièrement déshabillée. Ventre contre ventre, seins contre seins, bouche contre bouche, les deux femelles s’en donnaient à cœur joie. Complètement excitée, Alexia chevauchait Aurélie, se frottant la vulve contre les seins de sa partenaire à une cadence folle, enduisant son corps de sa cyprine. Elle glissait progressivement jusqu’à ce que sa tête se trouve entre les cuisses de l’esclave. Alexia plongea alors sauvagement son nez dans la fente à sa disposition. Aurélie gémit quand les lèvres étrangères qui appuyaient sur le renflement de chair d’où part la corolle intérieure, l’enflammèrent brusquement. Elles le quittèrent pour laisser la pointe chaude de la langue l’enflammer davantage. Elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent. Les dents et les lèvres, en une longue morsure, aspiraient le clitoris, et ne le lâchaient plus. Une longue et douce morsure sous laquelle Aurélie haletait.
Alexia la quitta, la laissant le corps enduit de son jus et frustré de plaisir. Geoffrey sortit de Julia et s’approcha d’Alexia. Il la voyait dans toute la splendeur de son corps sculptural, orné au bas-ventre de son triangle noir. Ses hanches ondulaient langoureusement. Leurs deux corps se collèrent. Il commença à la caresser des épaules aux genoux, suivant la ligne de ses flancs frémissants, la courbe ample et régulière de ses hanches s’allongeant vers ses cuisses pleines et fermes. Il revenait galber ses seins sans les pétrir encore, pour redescendre lentement vers son ventre plat et dur qu’il abandonna soudainement avant d’arriver au pubis. Il désuni ses deux cuisses moites, et remonta entre elles jusqu’à la toison qu’il effleurait un instant avant de glisser deux doigts dans l’anfractuosité humide de son sexe en la faisant tressaillir de désir au moment où sa bouche prenait la sienne. Elle entrouvrit les lèvres et consentit au passage de sa langue avide.
Julia avait fermés les yeux en détournant la tête du couple car elle ne voulait pas voir son mari prendre autant de plaisir avec celle qui lui apporterait tant de tourments. Et surtout, attachée comme elle l’était, elle ne pouvait se caresser et, il fallait bien qu’elle l’admette, cela l’excitait.
Les doigts de Geoffrey, après s’être profondément enfoncés dans le vagin gluant d’Alexia, caressaient son entrejambes en allant très loin entre ses fesses chercher le petit cratère, le massant doucement. Puis ils progressaient vers sa vulve pour remonter lentement entre les lèvres douces et légèrement baillantes afin de se poser sur le bourgeon turgescent qu’ils sollicitaient longuement avant de redescendre et recommencer à la faire frissonner délicieusement.
Alexia, intensément émue, gémissait de plaisir dans la bouche de Geoffrey dont la langue active la pénétrait en un mouvement de va-et-vient phallique. Elle se plaça de telle sorte que le bout du pénis frôle la toison de son sexe. Elle leva une jambe pour que le gland vienne glisser sur les lèvres trempées. D’un coup de reins, il poussa son membre dans le con baveux. Elle se mit à exprimer son plaisir par des hululements et des commentaires d’une voix gutturale, se frottant contre lui d’un mouvement ondulatoire de tout son corps. Ces reptations l’excitaient tellement, qu’il éjacula. Alors qu’il se vidait, Alexia se liquéfia en empoissant sa queue.
Ils s’embrassèrent, sa verge toujours en elle, durant de longues minutes devant les yeux pleins de larmes de Julia.
Se séparant enfin, Alexia lui demanda d’aller coucher Aurélie pendant qu’elle s’occupait de Julia.
Arrivés dans sa chambre, Geoffrey remit sa cagoule et retira à Aurélie ses chaussures, son bandeau, ainsi que ses bracelets afin qu’elle aille faire sa toilette. Comme dans toutes les chambres d’esclave du club, la salle de bain et les W.C. ne comportaient pas de portes. Aurélie se leva d’une démarche hésitante, passa devant lui pour se rendre dans le petit cabinet et s’installa sur la cuvette.
- Redresses bien le buste, lui ordonna-t-il, et écarte les cuisses!
Elle obéit et, quand le jet puissant à l’odeur âcre jaillit de son ventre et gicla violemment dans la cuvette en un fort chuintement, elle ferma les yeux, luttant désespérément contre l’envie qui lui venait de pleurer en cédant aux tourments que subissait son orgueil affreusement mortifié. Le flot doré de sa miction s’étant tarie, il la regarda encore s’essuyer la vulve, la poitrine gonflée de sanglots difficilement contenus, et les yeux brillants de larmes impossibles à totalement contrôler.
Elle ressentit de nouveau une grande gêne de devoir procéder à sa toilette, surtout celle concernant les parties les plus intimes de son corps, là où le sperme avait séché, en se montrant nue si totalement dans des positions embarrassantes.
Geoffrey attendit dans la chambre qu’elle ait finit. Il pensait à Julia, qu’Alexia était en train de percer.
Encore un traitement particulier auquel il ne participait pas. Il se demandait s’il ne faisait pas une bêtise de plus. Déjà après le WE passée sans lui, Julia était revenue changée. Changée bien sûr parce que dressée et obéissante, mais plus subtilement aussi. Il avait du mal à se l’expliquer mais son attitude générale envers lui avait changé. Julia était devenue plus distante. Cela aurait pu passer pour du respect et de la soumission envers son seigneur mais Geoffrey n’était pas dupe ou du moins pas à l’aise. Il sentait bien qu’il y avait autre chose.
Aurélie revint. Il lui fit remettre ses chaussures qu’il cadenassa et lui remit ses bracelets et son collier. Il lui saisit les deux mains et attacha ensemble les anneaux de ses menottes à celui de son collier. Ses mains se trouvèrent jointes à la hauteur de son cou. Il ne restait plus qu’à l’enchaîner au mur, avec la chaîne qui reposait sur le lit et passait dans l’anneau scellé dans le mur au-dessus.
Geoffrey défit le crochet qui en fixait l’autre extrémité, et tira pour raccourcir la chaîne. Elle se tendit entre l’anneau du mur et le collier de l’esclave, la déséquilibrant. Juchée sur ses talons extrêmement hauts et les mains liées au collier, elle se tordit une cheville et s’affala de tout son long à côté du lit, arrachant la chaîne des mains de Geoffrey. Il la reprit et lui cingla les fesses avec en lui ordonnant de se lever. Aurélie fut obligée d’avancer vers la tête du lit où il la fit se coucher. Il tendit si bien la chaîne que la jeune femme pouvait à peine se déplacer sur la largeur du lit et encore moins se tenir debout à côté.
La laissant ainsi, nue avec ses chaussures, sur le lit, étroitement enchaînée, Geoffrey sortit de la chambre après lui avoir souhaité une bonne nuit et alla se coucher.
Aux dernières heures de la nuit, juste avant l’aube, Geoffrey retourna dans la chambre d’Aurélie, comme le lui avait demandé Xavier la veille. Il alluma la lumière de la salle de bain ce qui faisait un carré de clarté sur le milieu du lit, à l’endroit où le corps d’Aurélie, mince et recroquevillé, reposait. De sous sa tête il ôta l’oreiller et lui dit de se lever. Lorsqu’elle fut à genoux, ce qu’elle dut commencer à faire en s’accrochant à la chaîne, il l’aida en la prenant par les coudes pour qu’elle se dressât tout à fait, et s’accotât au mur. Il détacha alors la chaîne du mousqueton, et l’accrocha à un autre maillon de manière qu’elle reste tendue. Il détacha ensuite les bras d’Aurélie pour les attacher ensemble, croisés dans le dos, à sa nuque. Il prit sa cravache à sa ceinture, la leva. Elle s’abattit en sifflant sur le travers de ses reins. L’esclave hurla jusqu’à ce que, lui ayant mit un bâillon, elle ne puisse plus que gémir. Geoffrey la cravachait à toute volée, recommençant quatre fois en prenant bien soin à chaque fois de cingler soit plus haut, soit plus bas pour que les traces fussent nettes. Il avait cessé qu’elle gémissait encore, et que ses larmes coulaient sur son cou.
- Retournes-toi, lui ordonna-t-il!
Comme, éperdue, elle n’obéissait pas, il la prit par les hanches et la mis dos au mur. Il en profitait pour caresser son beau corps zébré des marques de la flagellation de la veille. Il prit un peu de recul, puis, de toute sa force, abattit la cravache sur le ventre et une deuxième fois sur le devant des cuisses.
Le tout n’avait duré que cinq minutes. Après avoir éteint la lumière et être ressorti, il regarda Aurélie par la petite fenêtre, gémissante, oscillant de douleur le long du mur, au bout de sa chaîne, à genoux sur le lit les bras attachés croisés dans le dos à sa nuque, dans le noir. Geoffrey la laissa ainsi et retourna se coucher en passant devant la chambre de sa femme. Il s’arrêta un moment pour la regarder dormir par la fenêtre du couloir. Bizarrement, il n’osait pas entrer la réveiller alors qu’il s’avait très bien que cela ferait plaisir à Julia qu’il s’occupa d’elle. En fait, c’est la pauvre Aurélie qui avait fait les frais de son malaise. C’est en colère contre lui-même qu’il se coucha et se rendormit.

Plus tard ce matin, Geoffrey entrait dans le salon afin d’y prendre le petit-déjeuner. Il était le dernier. Pierrick et Xavier étaient attablés devant un café et des croissants. Alexia se préparait un thé. Ils se saluèrent. C’est alors qu’il vit Aurélie debout au milieu de la pièce, un bandeau sur les yeux. Xavier la lui montra du doigt disant qu’elle était à la disposition de tout le monde pour la petite envie matinale. Le remerciant, il s’approcha d’elle. Les balafres sur ses fesses et son ventre s’étaient gonflées, et formaient des bourrelets étroits d’un rouge sombre, presque bleu.
Il la prit d’une main au ventre et la poussa vers le sofa. Il la fit mettre à genoux, le dos contre le canapé, et pour qu’elle s’y appuyât plus près des épaules que de la taille. Il lui fit écarter les cuisses. Ses mains reposaient contre ses chevilles, ainsi sa vulve était-elle entrebâillée, et au-dessus de ses seins offerts, sa gorge renversée. Geoffrey dénoua la ceinture de sa robe de chambre, enjamba Aurélie, la saisie par la nuque et s’enfonça dans sa bouche. Ce n’était pas la caresse de ses lèvres le long de sa verge qu’il recherchait, mais le fond de sa gorge. Il la fouilla longtemps et sentit gonfler et durcir en elle le bâillon de chair qui l’étouffait, et dont le choc lent et répété lui arrachait des larmes sous son bandeau. Pour mieux l’envahir, il avait fini par se mettre à genoux sur le sofa de part et d’autre de son visage, et ses fesses reposaient par instants sur sa poitrine. Sans achever son plaisir, il se retira de sa bouche en silence et se remis debout sans refermer sa robe de chambre.
Il la fit ensuite se courber, prosternée devant son maître, Xavier, les coudes à terre et la tête entre ses bras. Il alla prendre sur la table le beurrier et revint vers Aurélie. Sous les yeux hilare de Xavier, il étala avec ses doigts un gros morceau de beurre sur et dans son anus. Il fit de même avec sa verge avant d’aller se laver les mains. Il revint vers la jeune femme toujours prosternée devant Xavier, présentant son cul enduit de beurre. La soulevant aux hanches, il força ses reins pour la déchirer. Une première fois elle ne cria pas. Il s’y reprit plus brutalement, et elle cria. Et à chaque fois qu’il se retirait et revenait, donc à chaque fois qu’il le décidait, elle criait. Lorsqu’il en eut fini, il dit à Xavier:
- Pierrick a raison. Elle est trop étroite, il faut l’élargir.
- Pas trop tout de même, dit Pierrick.
- A votre gré, répondit Xavier, vous êtes aussi bon juges que moi.
Geoffrey fit relever Aurélie, la conduisit au sofa où il la fit asseoir devant, par terre, le dos appuyé contre l’assise du canapé, les jambes écartées et repliées le plus possible contre elle. De la table, tout le monde pouvait admirer le double sillon écartelé de son ventre et de ses reins brillant de beurre et de foutre. Il lui ordonna de se caresser elle-même, mais de ne pas refermer les jambes. Aurélie allongea docilement vers son ventre sa main droite, et rencontra sous ses doigts l’arête de chair où se rejoignaient les fragiles lèvres de sa vulve qu’elle se mit à masser.
Assis à table, tout le monde se mit à manger en regardant le spectacle. S’adressant à Alexia Geoffrey demanda :
- Comment cela s’est-il passé cette nuit, avec Julia?
- Oh, très bien! répondit-elle. Elle porte pour l’instant les anneaux d’essai.
- Quand pourra-t-on installer les anneaux définitifs?
- Dans une semaine ce sera bon. Vous n’au¬rez qu’à repasser, tout les deux, vendredi prochain.
- Fantastique!
Alexia se leva, sortit, puis revint de suite avec un coffret où, dans un compartiment, il y avait un assortiment de chaînettes et de ceintures, et dans l’autre, un choix de tiges d’ébonite faites à l’imitation d’un sexe dressé. Toutes avaient en commun qu’elles s’élargissaient à la base, pour qu’on fût certain qu’elles ne remonteraient pas à l’intérieur, ce qui aurait risqué de laisser se resserrer l’anneau de chair qu’elles devaient forcer et distendre. Ces tiges allaient des plus minces aux plus épaisses.
- Voilà pour l’anus d’Aurélie, dit Alexia.
Après avoir mangé, Geoffrey alla voir Julia dans sa chambre. Elle dormait encore, paisiblement, sous le drap où l’on devinait les formes accueillantes de son corps. Il la réveilla doucement, d’un baiser sur les lèvres:
- Bonjour mon amour. Bien dormi ?
Elle fit oui de la tête en s’étirant.
- Comment vas-tu, lui demanda-t-il ?
Sans attendre la réponse, il alla ouvrir les rideaux de la fenêtre. La lumière du jour inonda la pièce.
- Fait voir tes nouvelles parures.
Julia repoussa le drap, lui dévoilant son corps superbe. Elle portait effectivement maintenant un petit anneau dans chacun de ses tétons. Il voulut en prendre un dans ses doigts pour voir de plus près, mais une grimace de douleur de Julia au moment où il touchait son aréole lui fit comprendre de ne pas pousser plus loin ses investigations. Julia écarta les cuisses pour lui montrer sa vulve. Dans chacune de ses grandes lèvres se trouvait un anneau approximativement de la même taille que ceux de la chaîne qu’il avait achetée. Il effleura de ses lèvres sa vulve nouvellement parée, ainsi que ses deux seins, pour terminer en collant sa bouche à la sienne. Ils s’embrassèrent longuement.
Un quart d’heure plus tard, Geoffrey retourna au salon. Aurélie était habillée d’un harnais de cuir comportant un «soutient gorge» et une «culotte» reliés à un large collier. Alexia était en train de fixer sur Aurélie la dernière lanière retenant le godemiché. Désormais, huit jours durant, entre le levé du jour et le début de son service au bar, huit ou dix heures généralement, Aurélie portera un godemiché fixé au centre de ses reins par trois lanières tendues à une ceinture de cuir autour de ses hanches, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne pu le repousser. Une lanière suivait le sillon des fesses, les deux autres le pli des cuisses de part et d’autre de la chatte, afin de ne pas empêcher qu’on y pénétrât au besoin.
Chaque jour elle était ainsi écartelée davantage car chaque jour, Alexia, qui la faisait mettre à genoux, ou plutôt se prosterner, fixait un gode de la taille supérieure. Au repas du soir, que les esclaves présentes prenaient ensemble, nues, dans la même salle, Aurélie le portait encore, et du fait des lanières et de la ceinture, tout le monde pouvait voir qu’elle le portait. Il ne lui était enlevé qu’au moment de la toilette avant le service du soir. Rares furent les nuits où il ne se trouva pas quelqu’un pour faire usage de cette voie ainsi rapidement rendue aussi aisée, bien que toujours plus étroite, que l’autre. Au bout de huit jours aucun appareil ne fut plus nécessaire et Xavier dit à Aurélie qu’il était heureux qu’elle fut doublement ouverte, et qu’il veillerait à ce qu’elle le demeurât.

Geoffrey, quant à lui, était revenu avec Julia pour la pose définitive de ses anneaux. Les fers, qui trouaient maintenant le lobe gauche de sa vulve et portaient en toutes lettres qu’elle était sa propriété, lui descendaient jusqu’au tiers de la cuisse, et, à chacun de ses pas, bougeaient entre ses jambes comme un battant de cloche. A chaque fois qu’ils sortaient, sauf pour aller voir des gens qu’ils connaissaient avant la pause des anneaux, Julia portait une robe ou un T-shirt moulant sans rien dessous. On devinait ainsi sous le tissu la forme des petits anneaux de ses seins. Julia ne semblait pas gênée par le port de ses fers, au contraire, Geoffrey ressentait en elle une certaine fierté. Même le jour où, une fois n’est pas coutume, il lui fit porter un pantalon moulant blanc. On voyait très bien les anneaux de son sexe et la chaîne collée à sa cuisse. Une seule fois elle eut honte lui raconta-t-elle : la première fois qu’elle alla voir sa gynécologue. Ce furent les lacérations toutes fraîches plus encore que les fers qui bouleversèrent le médecin.
La première chose qu’il fit en emmenant sa nouvelle Julia à la maison, fut de l’essayer. En entrant, elle se déshabilla, ne gardant que ses chaussures. C’était devenu un réflexe. Aguicheuse, elle le fixa de ses beaux yeux et, ayant dégrafé le gros grain de sa jupe étroite et tiré lentement le zip fermant le vêtement sur sa hanche gauche, elle se déhancha lascivement sur place en frottant l’une contre l’autre ses cuisses dont le nylon, qui les voilait, crissa doucement. Repoussée par les doigts fins aux ongles longs et carminés, la jupe glissa d’une hanche à l’autre qu’elle découvrit peu à peu pour laisser voir, en atteignant ses cuisses fuselées, que la jeune femme ne portait rien d’autre qu’une ceinture de dentelle blanche dont les longues jarretelles barraient ses hanches épanouies pour venir tendre des bas d’une extrême finesse. Elle laissa tomber la jupe à ses chevilles, puis l’enjamba gracieusement pour la saisir et la jeter sur un fauteuil inoccupé. Sous sa veste, elle n’avait effectivement aucun sous-vêtement et, quand elle se fut ainsi dénudée, elle écarta légèrement les jambes cambrées par ses escarpins, projeta son ventre en avant et présenta ses seins relevés sur ses mains en coupes puis, les faisant glisser sur son ventre elle dégrafa le porte-jarretelles. Dégrafant aussi ses bas, elle les roula doucement le long de ses cuisses, avec une superbe impudeur.
- Montres moi comme tu es belle, lui demanda son mari !
Julia tourna sur elle-même, minaudant pour l’exciter, le regardant à travers ses paupières à demi baissées et ses lèvres entrouvertes en un sourire d’une insolente et provocante promesse, jouant avec la chaîne qu’elle portait au bas-ventre.

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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Dimanche 26 août 7 26 /08 /Août 08:50

 

   

         

         

   

         

         

   


Par Anatole - Publié dans : anatole
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Vendredi 24 août 5 24 /08 /Août 07:53
10

 

Le vendredi suivant, Geoffrey emmena Julia au club sans lui dire où ils allaient. En plus de son collier et de sa laisse, elle portait une superbe robe de satin rose extrêmement moulante qui mettait en valeur ses formes provocantes. Cette robe, d’un décolleté profond, serrée à la taille et s’évasant en de larges plis jusqu’au sol, soulignait sa poitrine ferme, sa taille fine et sa croupe ample. Sachant que les membres présents demanderaient à la déshabiller, il avait demandé à Julia de mettre une culotte. Geoffrey savait Alexia sensible à ce détail.
Alexia les accueillit en souriant:
- Entrez, nous vous attendions avec impatience.
Ils entrèrent dans le salon. Deux hommes que Geoffrey avait déjà vus la dernière fois les attendaient. Il fit les présentations:
- Julia! Je te présente Alexia, Pierrick et Xavier qui brûlent de mieux te connaître.
Alexia se leva et dit à Julia de la suivre. Julia jeta des regards interrogateurs à son Seigneur, comme elle l’appelait maintenant, qui acquiesça en haussant les épaules pour expliquer qu’il n’était pas au courant du programme précis la concernant dans l’immédiat. Elles sortirent.
Pierrick et Xavier félicitèrent Geoffrey pour la beauté de sa soumise et le remercièrent de bien vouloir la partager avec eux. Il apprit que la fille, qu’il avait vu chevauchant malgré elle la machine à plaisir, appartenait à Pierrick et que Xavier, quant à lui, possédait celle qu’on allait initier cette semaine.
Ils prirent un verre et allèrent se préparer. En entrant dans la salle de travail, ils virent l’esclave de Pierrick, Inès, à moitié debout dans une position fort inconfortable, jambes fléchies, les muscles des cuisses contractés pour supporter le poids du corps. Elle ne portait que des chaussures dont les talons vertigineux menaçaient à tout instant son équilibre, ce qui, pour elle, eut été fort douloureux. Elle avait en effet, comme Julia aura le lendemain matin, dans chaque téton et dans chacune des grandes lèvres de sa vulve, des anneaux. De ces anneaux partaient des chaînes, attachées soit au sol, soit au plafond. Inès ne pouvait pas se mettre complètement debout car les chaînes de sa vulve fixées au sol étaient trop courtes. De même, elle ne pouvait pas s’accroupir totalement car celles fixées au plafond étiraient déjà fortement ses seins vers le haut. C’est pourquoi, dans cette position extrêmement fatigante, elle ne pouvait pas se permettre de perdre l’équilibre sans laisser au sol ou au plafond une partie de son anatomie.
Les jambes flageolantes, tétanisées par l’effort, les seins et les lèvres étirés à la limite de l’élasticité de ses chairs, Inès laissait échapper des gémissements de douleur. Des larmes coulaient sur ses joues.
- Sans un peu de peine, il n’y a pas de plaisir, lui dit Pierrick. Ne l’oublie jamais ma petite!
Il ponctua sa phrase d’un coup de martinet sur le ventre. Les lanières de cuir arrachèrent à Inès un petit cri, qui lui valu aussitôt une gifle magistrale. Sous l’impact, elle faillit basculer. Elle se rattrapa de justesse, mais elle tira tellement sur ses grandes lèvres, que quelques gouttes de sang apparurent au niveau du trou dans lequel passait un des anneaux. Malgré la douleur, elle ne cria pas, ayant apprit la leçon à ses dépends.
- J’ai horreur quand elle pleurniche, nous expliqua Pierrick.
C’est alors qu’apparut Alexia. Elle portait une culotte de cheval et un chemisier tout deux d’un blanc immaculé, une large ceinture, des gants et de hautes bottes montantes en cuir verni noir.
- Nos deux dernières invitées sont devant la porte, leur annonça-t-elle. Etes-vous prêts messieurs ?
Ayant leur assentiment, elle demanda à Julia de faire entrer la nouvelle recrue. Cette dernière était entièrement nue, à part un bandeau sur les yeux.
Julia, quant à elle, portait ses escarpins et ses bas, ainsi qu’une guêpière de taffetas de nylon noir, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l’intérieur. Elle était très étroitement lacée, ce qui creusait sa taille et ses hanches faisant ressortir ses seins et ses fesses. La guêpière descendait sur le ventre, presque jusqu’au pubis qu’elle dégageait, ainsi que les hanches. Elle était plus courte derrière et laissait les fesses entièrement libres. Les bras de la jeune femme étaient attachés dans le dos, serrés au niveau des coudes et des poignets.
- Vous connaissez déjà Julia, dit Alexia, mais laissez-moi vous présenter Aurélie.
Pierrick s’approcha de Julia et lui dit d’aller servir de siège à Inès qui visiblement n’en pouvait plus. Il la fit asseoir par terre, entre les jambes de son esclave, le visage dans son bas-ventre, et fit asseoir Inès sur ses épaules, de sorte que le visage de Julia était enfoui, bouche contre vulve, dans l’entrejambe de sa collègue, qui pour mieux tenir serrait les cuisses.
Ensuite, ils s’occupèrent d’Aurélie, qui attendait, toujours nue, debout, les yeux bandés. On la fit avancer, trébuchant un peu. Geoffrey prit Alexia à part et lui demanda si Aurélie avait été mise au courant de ce qui l’attendait.
- Non, répondit-elle. Xavier lui a seulement parlé d’une grosse orgie classique.
Pierrick et Xavier s’occupaient chacun d’un sein, le triturant, le suçant, mordillant les tétons bandés. Geoffrey se plaça derrière, admirant sa chute de rein. Ses deux mains descendaient le long de ses reins et de l’une d’elle il la pénétra des deux parts à la fois, si brusquement qu’elle cria, plus de surprise que de douleur. Alexia rit. On l’approcha de la table en bois basculante sur laquelle était attachés en position ouverte quatre bracelets de cuir : Un à chaque coin. On la força gentiment à se coucher sur le dos sur la table. Alexia lui ouvrit les jambes alors que Geoffrey lui écarta les bras. Pendant qu’Alexia lui écartait doucement les lèvres et collait sa bouche à sa vulve, Geoffrey s’occupait goulûment de ses seins. Tout occupée par leurs caresses, Aurélie ne se rendit pas compte que Pierrick et Xavier, qui avaient pris le relais pour maintenir bras et jambes écartés, les avaient attachés aux bracelets.
Sur un signe de Xavier, Alexia et Geoffrey arrêtèrent leurs caresses et tout le monde lâcha Aurélie. Elle voulut bouger, mais ne le pu, ses bras et ses jambes étant entravés à la table. Comprenant ce qui se passait, prise de panique, elle se tortilla dans tous les sens et se mit à crier. Aussitôt, Alexia lui mit sur la bouche une large bande de tissu autocollant. Elle ne pouvait plus ni parler ni crier. Elle ne pouvait que gémir.
S’adressant à Xavier, Alexia demanda:
- Tu ne l’as jamais attachée ?
- Non, jamais, répondit-il.
- Ni fouettée ?
- Jamais non plus, mais justement...
- Justement, l’interrompit Pierrick, si tu la fouettes un peu, et qu’elle y prenne plaisir, non.
- Ce qu’il faut, continua Alexia, c’est dépasser le moment où elle prendra plaisir, pour obtenir les larmes. Sur ce, messieurs mettez vos cagoules.
Alexia tendit à chacun d’eux une cagoule en caoutchouc entièrement fermée avec de petites perforations pour les yeux et un trou au niveau de la bouche permettant de s’en servir. Une fois que chacun eut mit sa cagoule, Alexia enleva le bandeau et le bâillon d’Aurélie pendant qu’ils firent basculer la table de manière qu’elle se trouve debout, bras et jambes maintenus en croix.
Le regard d’Aurélie se posa sur chacun des membres présents avec plus d’étonnement que d’inquiétude. Ce fut lorsqu’elle vit Inès et Julia que la crainte apparut. Alexia prit la parole.
- Tu es ici pour semaine Aurélie. C’est une sorte d’école où nous allons t’apprendre l’obéissance et la soumission. Nous allons faire de toi une esclave totalement dévouée à son maître. Avec nous tu apprendras la souffrance, non seulement morale, mais aussi physique, la souffrance de ton corps dans toute sa révoltante acuité. Tu seras humiliée bien plus que tu ne peux l’imaginer, tu seras battue, enchaînée, forcée, et la moindre caresse qui te sera accordée, la plus petite faveur faite à tes sens, tu devras la payer de tes cris de douleur. Tu seras fouettée, beaucoup !
- Car une femme, continua Xavier, n’est jamais aussi belle que sous le feu de la lanière qui la fait se tordre et hurler. C’est au moment où sa volonté défaille en cédant à la souffrance, et que son corps tout entier se libère de ses contrôles, que ses jambes, ses fesses, sa taille et ses seins se magnifient et prennent tous leurs sens érotiques dans les mouvements involontaires et irrépressibles qui naissent de chaque cinglement du fouet, que la femme devient pour nous un véritable objet digne d’adoration.
- Tu seras, fouettée, salie, humiliée, reprit Alexia, afin que tu comprennes que ton corps ne t’appartient plus, que tu ne t’appartiens plus. Tu es maintenant la propriété de ton maître. Il nous a précisé que tu as toujours refusé de porter des talons hauts, minijupes, lingerie sexy et autre accessoires, car, disais-tu, cela faisait trop pute.
Tu es moins qu’une pute maintenant. Une pute se donne pour de l’argent. Toi, tu te donneras à n’importe qui, n’importe où et de n’importe quelle manière pour rien, sur simple ordre de ton maître. C’est pour cela qu’en plus des bracelets de cuir aux poignets, et d’un collier au cou, tu porteras pendant toute la semaine et sans interruption, sauf pendant la toilette, des bottines dont les talons font près de douze centimètres.
Alexia alla chercher dans l’armoire une paire de bottines de cuir noir verni, montant jusqu’aux dessus des chevilles, entièrement fermées par un lacet et une bande large sur la bas du mollet. Cette bande comportait un cadenas, de sorte que seul le possesseur de la clé pouvait permettre d’enlever les chaussures. Il y avait aussi un anneau qui permettait de s’en servir comme d’une chevillière normale. Pierrick et Xavier mirent les chaussures à Aurélie après lui avoir enfilé de petites soquettes pendant que Geoffrey lui passait autour du cou son collier. Ceci terminé, Alexia détacha les menottes de la table et fit venir Aurélie au milieu de la pièce. Elle avait beaucoup de difficulté à tenir debout, ses chevilles n’étant pas habituées à devoir supporter son corps avec ses pieds ainsi cambrés.
- Voici ta tenue de base pour la semaine, lui expliqua Alexia. Sauf ordre contraire, tu seras toujours habillée ainsi.
Ils allaient attacher Aurélie au plafond quand Pierrick protesta qu’il la voulait prendre d’abord, et tout de suite. Il la fit mettre à quatre pattes. La maintenant des deux mains aux hanches, il s’enfonça sans ménagement dans son ventre.
Aurélie manifesta sa douleur en un long râle pendant toute la pénétration de la verge dans son con, puis en de brefs petits cris à chaque aller retour puissant ponctué par les claque¬ments des cuisses de Pierrick sur ses fesses. Il allait et venait si fort dans le vagin, que tout le corps d’Aurélie était secoué de tremblements et que ses seins ballottaient durement dans le vide. Une fois vidé en elle, il céda la place à Xavier qui ne la ménagea pas plus. Les cris d’Aurélie se muèrent peu à peu en râles de plaisir, mais elle n’eut pas le temps d’en profiter, Xavier éjacula avant.
Pendant ce temps, Alexia se fixa au bas-ventre un godemiché de belle taille qui était maintenu par des lanières à la taille. Elle voulut se frayer un chemin au plus étroit, non sans gel lubrifiant, et forçant brusquement, fit de nouveau hurler la future esclave. Etait-ce de plaisir, de douleur ou d’humiliation ? Toujours est-il que son corps se tordait, essayant d’échapper aux morsures de l’engin qui lui labourait le fondement. Quand Alexia la lâcha, Geoffrey lui fit relever le torse de sorte que sa bouche ne soit pas épargnée. Une fois le visage couvert de son sperme, il la laissa à la renverse par terre, gémissante et salie, le visage luisant de sperme et l’anus brillant de gel.
Pierrick était retourné avec Alexia et Xavier vers Inès et Julia. Ils les séparèrent et les deux hommes laissèrent Inès au bout de ses chaînes ne s’occupant que de Julia. Xavier était par terre avec Julia embrochée sur son membre et couchée sur son torse pendant que Pierrick officiait dans son rectum. Ainsi prise par les deux trous, le corps de Julia était secoué au rythme des deux hommes alors que la pauvre Inès, jambes et chevilles tremblantes, essayait de rester debout en tirant fortement sur ses seins pour soulager les lèvres de son sexe.
Alexia alla s’occuper d’Inès. Elle avait pris la place de Julia, maintenant fermement les cuisses d’Inès contre ses épaules, tandis que sa bouche se collait à sa vulve. Alors que sa langue prenait possession des nymphes maltraitées, elle descendait progressivement, entraînant l’esclave avec elle. Si les chaînes de ses lèvres se détendaient, ses seins, par contre, étaient durement étirés vers le haut, ses tétons arrivant presque au niveau de ses yeux baignés de larmes.
Geoffrey s’approcha d’elle par-derrière et empoigna ses deux seins tendus qu’il malaxa pour son malheur, puis il s’enfonça dans son anus. Apparemment, il avait été préparé. Alexia la lâcha et Inès retrouva sa position initiale. Geoffrey ramonait sauvagement entre ses reins tout en continuant à malaxer ses seins. A chacun de ses coups de boutoir, les lèvres de sa vulve s’étiraient à la limite du déchirement. Inès hurlait de douleur. Lorsque Geoffrey eut fini, Pierrick, toujours enfoncé dans le cul de Julia, lui demanda de la punir pour ses cris. Geoffrey prit le martinet et fouetta les seins étirés qui tressautaient sous les lanières en insistant sur le dessous qui est rarement aussi facile d’accès. A chaque coup, apparaissaient de fines marques d’un rouge sombre alors que la couleur générale des seins passait au rose. Durant toute la séance, Inès ne cessa de hurler. Ce n’est qu’une fois son torse et son ventre couvert de zébrures que Geoffrey arrêta et détacha les chaînes de son sexe. Elle se releva précipitamment, en titubant sur ses talons, pleurant toutes les larmes de son corps, les jambes tremblantes de l’effort fourni. Alexia les lui écarta et faufila sa tête entre pour s’occuper de sa chatte douloureuse avec des bruits de succion très expressifs.
Les hommes retournèrent vers Aurélie, toujours à quatre pattes, la firent relever en lui expliquant que tant qu’elle serait dans cette maison, elle ne saurait jamais qui la violerait ou la tourmenterait. Elle ne saurait jamais quels étaient les responsables du pire. Mais ils voulaient que pour la première fois elle se vit fouettée, et que c’était pour cela qu’ils avaient mis des cagoules. On l’amena sous l’anneau du plafond et on lui attacha les mains au-dessus de la tête, de manière assez lâche. Elle pouvait donc bouger et voir venir les coups. Alexia abandonna Inès accrochée par les tétons et s’approcha, frotta son corps à celui d’Aurélie, une main sur un sein, l’autre au creux de son ventre. Elle lui dit:
- Tu peux crier, te débattre, pleurer et supplier. On veut t’entendre hurler ta soumission, mais on n’en tiendra pas compte. On ne jugera du résultat, non pas par tes cris ou tes larmes, mais par les traces plus ou moins vives ou durables que les fouets laisseront sur ta peau.
L’orgueil qu’Aurélie mit à résister et à se taire ne dura pas longtemps: on l’entendit supplier qu’on la détache, qu’on arrêta un instant, un seul. Elle se tordait avec une telle frénésie pour échapper aux morsures des lanières, qu’elle tournoyait sur elle-même, perdant l’équilibre, se tordant les chevilles avec ses bottines dont elle n’avait pas l’habitude. Elle bougeait si bien, que le ventre, le devant des cuisses et le côté avaient leur part autant que les reins et les fesses.
Xavier remarqua que le fouet de cuir la marquait beaucoup moins que la corde mouillée ou la cravache, et donc, permettait de faire durer la peine. Entre-temps, Pierrick demanda un répit pour profiter de la croupe échauffée d’Aurélie dont il écarta les deux parties qui brûlaient sous ses mains et la pénétra non sans mal malgré le gel dont il était encore imbibé, tout en faisant la réflexion qu’il faudrait rendre ce passage plus commode.
Pendant que Pierrick officiait dans le rectum d’Aurélie, Geoffrey dit à Julia de venir se coucher sur le dos à côté d’eux, jambes pliées et écartées, attendant dans cette position que quelqu’un veuille bien la prendre. Elle s’exécuta, leur dévoilant dans une impudeur totale ses deux orifices. Geoffrey alla chercher dans l’armoire deux godemichés et revint vers Julia.
- Afin que tu sois toujours remplie, mets ces deux godes et maintient-les en place. La personne voulant te prendre enlèvera le gode du trou voulu et le remettra en place.
Elle se mit un gode dans le vagin et l’autre dans le cul. Son mari la laissa ainsi.
La séance de fouettage dura une demi-heure, pendant laquelle Julia se fit pénétrer une dizaine de fois. Aurélie était rouge des marques de fouet et Julia toute collante du sperme qu’on avait étalé sur son corps. Inès, quant à elle, était toujours debout dans son coin les seins accrochés au plafond par les anneaux de ses tétons, piétinant sans cesse car il lui était de plus en plus difficile de supporter la cambrure extrême des pieds imposée par ses chaussures.
- Il est temps que l’on s’occupe sérieusement de Julia, dit Alexia. Viens ma belle, allonges-toi sur le dos sur cette table.
Julia s’assit sur le bord de la table. Alexia la prit aux épaules, la posa sur le bois, puis tira un peu en avant par la taille. Les mains de Julia s’agrippaient au rebord de la table, où Pierrick les assujettit aux bracelets ayant maintenus auparavant les chevilles d’Aurélie. Ses reins étaient dans le vide. Alexia lui fit plier les genoux vers la poitrine, tandis que Xavier passait des sangles dans les bracelets de ses chevilles, les attachant, écartées, à la poutre passant au-dessus de la table. Julia était exposée de telle manière que la seule chose d’elle qui fût visible était le creux de son ventre et de ses reins violemment écartelés. Son torse était fermement maintenu à la table par des sangles de cuir qui passaient sur ses épaules, sous ses seins et sur son ventre. Alexia lui caressa l’intérieur des cuisses, la vulve et le mont de Vénus. Regardant Geoffrey, elle dit:
- C’est l’endroit du corps où la peau est la plus douce. Il ne faudra pas l’abîmer. Vas-y doucement.
Geoffrey prit le martinet. Aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre, Julia gémit. Son Seigneur passait de la droite à la gauche, s’arrêtait, reprenait. Julia se débattait de tout son pouvoir. Geoffrey cru que les sangles la couperaient en morceaux. Mais elle ne criait pas, le regard dans le vague lorsque les paupières n’étaient pas fortement fermées par la souffrance.
- Plus vite, lui dit Alexia, et plus fort !
Julia se raidit, mais en vain. Elle hurla de douleur sous les coups pendant cinq minutes.
S’approchant de Julia, Alexia lui dit en lui caressant son front inondé de sueur.
- La façon dont tu as été fouettée, comme la posture où tu es liée n’a d’autre but que de te rendre plus présente et aiguë ta condition de femme esclave, Julia. Tu vas rester comme ça, jambes ouvertes et relevées, exposée sur la table face à nous le reste de la séance. Tu ne pourras cesser de désirer refermer les jambes.
Alexia alla chercher dans l’armoire un coffret de cuir vert qu’elle posa sur le ventre de Julia.
- Ton maître ne t’a rien dit, demanda-t-elle ? Julia fit non de la tête. Et bien voici les anneaux qu’il désire te faire porter.
Alexia sortit du coffret les anneaux et la plaque que Geoffrey avait achetés. C’étaient des anneaux en plaqué or. La tige en était ronde, d’un diamètre de cinq millimètres, et ils étaient oblongs. Alexia montra à Julia que chacun était formé de deux U qui s’emboîtaient l’un dans l’autre et se bloquaient définitivement.
- Tu porteras d’abord un modèle d’essai que l’on peut enlever.
Chaque anneau était long comme deux phalanges du petit doigt. Au bout de la chaîne pendra un disque d’or. Le disque était aussi large que l’anneau était long. Sur une face il y avait son nom et sur l’autre celui de son mari. Dans le coffret il y avait deux autres petits anneaux d’or, comme ceux que l’on porte au doigt.
- Tu porteras la grosse chaîne à ton ventre, sur une des lèvres de ta vulve, sur l’autre ne sera fixé qu’un anneau. Les deux petits seront pour tes seins.
- Mais..., dit Julia!
- Eh oui ! Comme cela tu appartiendras complètement à ton maître. Je te percerais à la fin de la séance dans quelques heures. Cela fait moins mal que le fouet que tu viens de recevoir.
- Mais, vous ne m’endormirez pas, s’inquiéta Julia tremblante ?
- Jamais de la vie, répondit Alexia ! On resserrera un peu tes liens, c’est tout. Inès y est passée et ne s’en porte pas plus mal.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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Samedi 18 août 6 18 /08 /Août 07:55
9

Durant ce WE un peu spécial pour Julia, Geoffrey, son mari, se rendit à une adresse que lui avait donnée l’homme chargé de faire de sa femme. Il décida d’aller y faire un tour le samedi en fin de journée.
L’adresse était celle d’un gros pavillon de banlieue à la façade décrépie et un peu isolé. Le jardinet était en friche et la grille complètement rouillée. Mais la maison était bien habitée car plusieurs voitures stationnaient devant et de la lumière était visible aux fenêtres.
Il sonna à la grille et donna le mot de passe à l’interphone. Une gâche électrique fut actionnée. Il entra et s’avança vers la porte. Au moment où il allait frapper, une femme lui ouvrit. Elle était jolie et habillée avec classe: elle portait une robe en soie noire très serrée et hyper moulante, avec un décolleté particulièrement intéressant. Ses bras étaient recouverts de longs gants du même tissu. Elle s’effaça, l’invitant à entrer.

L’entrée était meublée avec goût. Si l’extérieur laissait à désirer, l’intérieur de la maison était parfaitement entretenu et meublé. La femme se présenta: elle s’appelait Alexia et ne voulait pas connaître le nom du visiteur avant qu’il ne soit entièrement satisfait.
Il était dans une espèce de club, lui expliqua-t-elle, où se rencontraient des gens partageant les mêmes goûts et les mêmes problèmes. Elle le fit entrer dans un salon. Dans un coin se trouvait un bar derrière lequel une jolie soubrette préparait des cocktails. Le reste du salon était occupé par de gros et confortables fauteuils en cuir disposés autour de tables basses où traînaient quelques verres. Plusieurs personnes y étaient installées et dévisageaient le nouveau venu en attendant qu’Alexia le présente:
- Voici un monsieur qui pourrait être intéressé par les activités de notre club et qui est venu se renseigner afin d’éventuellement y prendre part.
Geoffrey fit le tour de l’assistance afin de leur serrer la main. L’ambiance était tout à fait celle d’un club privé: amicale, chaude et sereine, encore qu’il sentait une certaine méfiance tout à fait naturelle à son égard. On l’invita à s’asseoir et la soubrette vint prendre sa commande. Il regardait les personnes qui, en retour, le dévisageaient sans aucune retenue.
- Je comprends tout à fait votre méfiance à mon égard, commença-t-il. Je suis pleinement conscient de ne pas être entré ici par la voie habituelle qui, à mon avis, doit être le parrainage, encore que je sois recommandé. Vous allez sûrement me questionner longuement afin de me jauger et de décider si je suis une personne de confiance ou un simple curieux. Bien que, j’en sois sûr, aucune de vos activités ne soit illégale, je comprends parfaitement qu’un filtrage soit nécessaire au niveau des admissions. C’est pourquoi je suis à votre entière disposition pour toutes les questions que vous voudrez bien me poser.
La discussion dura trois bonnes heures. Les propos, qui au début étaient neutre, voire mondains, glissèrent petit à petit vers le salace, et l’obscène. Toutes les personnes présentes avaient une ou plusieurs soumises et la fin de la discussion consista à raconter comment chacun les avait dressées et quels étaient les sévices qu’ils leur faisaient endurer. Geoffrey raconta son histoire et comment il fut amené à rechercher les services de celui qui avait la charge de sa femme durant le WE. Cela faisait un an que le couple était dans ce genre de relations sexuelles et le temps passant, la soumission de Julia devint de plus en plus psychologique, une attitude permanente qui ne concernait plus que le sexe. Ils en avaient parlé. Elle ne s’en était d’ailleurs pas franchement rendu compte mais acceptait d’autant mieux la chose qu’elle venait d’elle et n’était absolument pas imposée par son mari. En revanche, d’un point de vue sexuel, Julia en demandait toujours plus et Geoffrey avait du mal à lui procurer les sensations qu’elle recherchait. Bloqué par ses liens amoureux, il avait peur d’aller trop loin. Pour l’anniversaire du début de ces relations particulières, ils décidèrent d’y faire entrer une troisième personne, qui aurait plus de distance affective avec le sujet. C’est ainsi qu’ils décidèrent de ce WE. Le fait qu’elle soit seule avec l’homme n’était pas prévu et fut organisé par Geoffrey comme une surprise.
Il dut passer favorablement l’examen car Alexia lui proposa de visiter leurs installations.

Ils traversèrent l’entrée et Alexia le guida le long d’un couloir où se trouvaient six portes.
- Ce sont des chambres d’hôtes, expliqua-t-elle. Il arrive qu’un membre du club préfère passer la nuit ici que de rentrer chez lui.
Le couloir débouchait sur un escalier qui venait du sous-sol et qui montait à l’étage. Ils montèrent et arrivèrent devant une porte qu’Alexia ouvrit.
- Voici la salle de travail, dit-t-elle à Geoffrey. C’était une grande salle qui prenait tout l’étage. Elle était entièrement capitonnée et phoniquement isolée.
- De ce fait aucun bruit venant de l’intérieur ne peut être entendu à l’extérieur, expliqua Alexia.
Des anneaux et des chaînes pendaient un peu partout des murs et du plafond. Des appareils bizarres permettaient de faire subir différents sévices tels qu’extensions, compressions, torsions et autres immobilisations dans des positions diverses et variées. Elle montra l’endroit où l’on procédait au perçage ainsi que les outils utilisés. Il avait expliqué qu’il envisageait d’offrir à Julia de jolis bijoux.
De retour au salon, on lui expliqua les différentes activités du club. La première était la rencontre et l’échange d’informations et d’idées. La salle du premier était à la disposition des membres du club pour les travaux pratiques. Les membres du club étaient tenus de fournir à tour de rôle une de leurs soumises pour la soirée afin de s’occuper du bar et du ménage après la fermeture.
Les différents frais de l’association, tels que ceux des boissons, les charges de la maison et autre amortissement de matériel, étaient couverts par la caisse du club. Celle-ci était remplie de différentes manières:
Il y avait d’abord les cotisations des membres, mais vu les sommes relativement modestes ainsi perçues, elles seules ne suffisaient pas. La plus grosse part des revenus étaient due à un site internet que le club avait crée par lequel d’ailleurs Geoffrey avait fait la connaissance de l’Homme. En complément certaines activités étaient payantes, comme le perçage et le dressage. On lui apprit ainsi que le club pouvait recevoir jusqu’à cinq pensionnaires à temps plein. Contre un don en espèces d’un montant forfaitaire, l’association assurait au demandeur l’obéissance et la soumission du sujet dans un temps plus ou moins long suivant la docilité de ce dernier. On organisait aussi des stages d’entrainement et de perfectionnement. Là encore, chaque membre du club devait, au moins une soirée par semaine, assurer la permanence pour d’éventuelles séances de dressage qui duraient au minimum deux heures.
La permanence était assurée par Alexia qui habitait sur place. Ainsi pouvait-on venir à n’importe quelle heure du jour pratiquer une séance ou simplement boire un verre. Les éventuelles pensionnaires étaient constamment à la disposition de n’importe quel membre.
Geoffrey demanda naturellement s’il y avait des pensionnaires en ce moment et si oui, s’il pouvait les voir. Alexia le conduisit alors à la cave où étaient aménagées cinq chambres confortables. Les pensionnaires étaient actuellement au nombre de deux. Elles étaient chacune enfermées dans leur chambre. Ils regardèrent par une fenêtre donnant sur le couloir.
Dans la première chambre, la femme était nue, assise par terre dans un carcan métallique lui bloquant la tête, les poignets et les chevilles lui interdisant de fermer les jambes.
- Cette femme, expliqua Alexia, est en fin de stage. Sa séance de ce soir eût lieu avant que vous ne veniez et n’a pas duré très longtemps. Son dressage consiste à peaufiner certains détails. Cela fait maintenant trois jours qu’elle est constamment offerte ainsi à qui veut, sauf quand elle est en salle de travail bien entendu.
Ils passèrent à la chambre suivante.
- Cette jeune esclave, au contraire, est une novice. N’ayant pas encore très bien compris ce qu’on attendait d’elle, ses séances durent près de cinq heures d’affilé.
Son corps était effectivement couvert d’une multitude de traces de coups de fouet et de cravache. Elle était assise à califourchon sur une machine spéciale, qui, lui expliqua son guide, comprenait deux godes gonflables et vibrants fortement, reliés à un compresseur.
- Cela fait maintenant plus d’une demi-heure qu’elle a ainsi un gode dans le cul et un autre dans le vagin, qui se gonflent et se dégonflent indépendamment l’un de l’autre suivant un rythme aléatoire.
Afin que l’esclave ne touche à rien et reste en place, elle était solidement attachée par les poignets, les chevilles et la taille à la machine qui était une espèce de cheval d’arçons.
- C’est une superbe machine à plaisir, dit Geoffrey, et de plus elle a l’air efficace.
En effet, le visage baigné de larmes de la jeune fille montrait un mélange de douleur et de plaisir. Son corps était constamment secoué de convulsions et un râle quasi permanent, entrecoupé de cris de jouissance déchirants, sortait de sa gorge.
- C’est effectivement une machine extrêmement efficace, lui dit Alexia sur le chemin du retour. J’ai eu l’occasion de l’essayer et je vous pris de croire que cette jouissance permanente est quelque chose de sublime. Le problème est que l’on ne tient guère plus d’une heure. Les orgasmes deviennent alors tellement intenses et se suivent de manière si rapprochée que l’on finit par s’évanouir de plaisir.
- Vous l’avez essayé, dites-vous? Seriez-vous alors une soumise ?
- Non, absolument pas. Mais en tant que membre du club, on peut essayer n’importe quel appareil. Un jour peut-être l’essaierez-vous.
- Je n’y manquerais pas, répondit-il pas trop convaincu alors qu’ils arrivaient au salon.
Les membres encore présents lui proposèrent d’essayer sur la soubrette les installations de la salle de travail. Mise à l’épreuve ou cadeau de bienvenue ? De toute façon, il accepta. La soubrette, elle, fut un peu surprise car la soirée étant bien avancée, elle pensait avoir échappé aux sévices pour ce soir.

En entrant dans la salle de travail, Geoffrey trouva l’esclave debout, nue, lui tournant le dos. Il se dirigea vers l’armoire d’ustensiles et l’ouvrit. A l’intérieur étaient rangés toutes sortes d’instruments. Il y prit un bandeau gonflable en latex. La fille était toujours dans la même position. S’approchant d’elle par-derrière, il lui demanda son nom.
- Je m’appelle Saskia, monsieur, lui répondit-elle.
- Très bien Saskia, lui dit-il. J’espère que l’on va passer un bon moment tout les deux.
- Je ferais de mon mieux pour vous satisfaire, monsieur.
Il lui passa le bandeau sur les yeux, le serra et le gonfla. Aucune lumière ne parvenait plus à ses yeux. Il retourna à l’armoire et y prit un martinet à huit brins de caoutchouc de cinq millimètres de diamètre avec un nœud à chaque bout. Il prit aussi un écarteur pour ses chevilles et un deuxième pour ses poignets comportant un collier au milieu. Il fixa au cou de Saskia le collier. De chaque côté de sa tête partait une barre métallique au bout de laquelle se trouvait une menotte en cuir. Il y attacha ses poignets et fixa ensuite l’autre écarteur à ses chevilles. Il fit le tour de l’esclave pour l’admirer. Elle lui livrait entièrement son corps, ne pouvant ni baisser les bras ni serrer les jambes. Il vit que sa vulve était rasée et que des anneaux étaient passés dans ses grandes lèvres ainsi que dans ses tétons percés.
- A genoux, lui dit-il, face contre terre !
Saskia s’exécuta immédiatement. Dans cette position, elle offrait son sexe et son cul dans toute leur splendeur. Il s’assit à califourchon sur ses reins, la tête vers son cul, et, sans autres préambules, enfonça son doigt dans son anus. Tabouret de son maître, nue comme un ver, en position de prière musulmane, toute son intimité dévoilée sans pudeur, Saskia se soumettait à tous ses caprices. Il fouillait frénétiquement dans son cul. Cela du lui faire mal car elle eut un sursaut et un gémissement sortit de sa gorge. Il retira son doigt de ses entrailles et commença une belle fessée. Les mains de Geoffrey claquaient fort sur les fesses de Saskia qui tremblotaient à chaque coup en devenant de plus en plus rouges. Il ne sortait aucun son de la gorge de la jeune femme qui se contrôlait parfaitement malgré la douleur. Cela étonna Geoffrey qui se mit à taper tellement fort qu’il réussit finalement à la faire crier. Il finit quand même par arrêter la fessée car il avait trop mal aux mains. Cela fit rire l’assistance. Il se leva et tourna sur lui-même en balayant la pièce du regard. Il s’arrêta ayant trouvé ce qu’il cherchait. Une badine en bois souple d’environs un mètre de long. Il alla la prendre.
- Lève bien haut ton cul et cambre-toi au maximum, ordonna-t-il à la soubrette.
Le premier coup l’atteignit sur les deux fesses engendrant un cri aigu et bref suivi d’un râle plus sourd et plus ou moins contrôlé. Il la cingla plusieurs fois de suite au même endroit puis descendis sur l’arrière des cuisses, l’arrière des mollets, et la plante des pieds. A chaque coup un gémissement sortait de la bouche de Saskia. Il arrêta au bout de quelques minutes. Le dos, les fesses et l’arrière des jambes de la jeune femme étaient zébrés de jolies traces bien nettes et à peu près régulièrement espacée. Jolie décoration. Pour le coup, il n’utilisa pas le martinet qui aurait gâché ces jolis « tatouages ».
Sans rien dire, Geoffrey prit dans l’armoire une bouteille de lubrifiant et s’en enduit complètement l’avant-bras gauche. Il se mit à genoux devant le cul de Saskia et commença à titiller sa vulve, écartant sans ménagement les lèvres, faisant pénétrer deux doigts et fouillant sauvagement l’intérieur du vagin.
Puis, sans prévenir, il fit pénétrer le bout de ses cinq doigts et, exerçant une pression constante, enfonça sa main entière dans son con. Malgré la dose importante de lubrifiant qui rendait les frottements négligeables, la souffrance due à l’étirement progressif mais constant des lèvres de sa vulve fit gémir Saskia en une très longue plainte dont la sensualité ne laissait pas l’assistance indifférente. Une fois à l’intérieur, Geoffrey n’arrêta pas pour autant la pression et son poignet entra, ainsi qu’une partie de son avant-bras jusqu’à ce que son poing tape contre le col de l’utérus. Les gémissements rauques se transformèrent en pleurs accompagnés d’un abondant flot de larmes qui inondaient le visage de Saskia dont le vagin n’avait en rien été préparé à être dilaté de la sorte. Néanmoins, à aucun moment elle n’essaya de se soustraire à la pénétration.
Geoffrey ferma son poing et donna à son bras un mouvement de va et vient tournant, lent au début puis de plus en plus rapide. Les gémissements reprirent de plus belle, oscillant entre la douleur et le plaisir, et se terminant par un hurlement lorsqu’il retira d’un coup son poing fermé. Lui donnant l’ordre de garder la position, il alla se laver le bras au lavabo.
En revenant, il releva le torse de Saskia et baissa son pantalon et son slip. Il enfourna sa bite dans sa bouche. Ses lèvres se comprimèrent immédiatement autour de son membre mais il ne lui laissa pas l’initiative de le sucer. Tenant fermement sa tête de sa main droite, il se masturbait dans sa bouche, allant et venant très rapidement et enfonçant son sexe jusqu’au fond de sa gorge. Bandant correctement, il abandonna sa bouche et plaqua de nouveau sa tête sur le sol.
Il retourna vers son cul, mit son gland sur son anus, badigeonnant le tout de lubrifiant et, d’un geste sec, lui enfonça jusqu’au plus profond de son être son dard. Saskia ne broncha pas. Après le fisting de son vagin cela devait lui sembler une sinécure. Geoffrey commença son mouvement de va et vient de l’anus béant jusqu’au fond de ses entrailles pour bien imposer sa présence et affirmer sa maîtrise des lieux. Saskia suivait la cadence, chaque coup de boutoir qu’elle se prenait dans le cul faisait frémir sa poitrine. Ses coups de reins se répercutaient tout le long de son corps, le faisant vibrer au rythme de son plaisir. D’un va et vient infernal, il lui labourait le bas-ventre, forçant le passage sans ménagement. Saskia commençait à y prendre plaisir.
Il sortit alors de son cul et continua dans son vagin. Les gémissements de l’esclave lui firent comprendre qu’il était encore douloureux de la pénétration de son bras. Il continuait cependant à se branler en elle. Sentant venir la jouissance, il sortit, la remis à genoux et lui dit de le terminer avec la bouche.
- Et surtout, n’en perds pas une goutte!

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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