anatole

Samedi 28 avril 6 28 /04 /Avr 09:22

La même, en mieux. Enfin, en mieux... Dans la mesure où l'on peut considérer que c'est bien.
Agacé par la qualité médiocre du film précédent, je me débrouillai à trouver un caméscope de meilleure qualité, et décidai de refaire le film avec de la lumière ce coup-ci.

De même que pour les deux video précédentes, voici deux versions de la suite de ces séances.
Je suis ligoté dans un fauteuil.
Sur la première, j'ai les chevilles attachées au dossier du fauteuil, ce qui me fait lever les jambes en arrière et vous présenter mes fesses afin que vous puissiez imaginer quoi en faire. En l'occurence, je me donne une fessée avant de me masturber.

Dans la deuxième version, j'ai les bras et les jambes attachés au fauteuil et c'est mon sexe qui est à votre disposition.

Par Anatole - Publié dans : anatole
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Samedi 21 avril 6 21 /04 /Avr 18:54

 

Pour ce film, je vous demande tout de suite pardon pour la piètre qualité de l'image . C'est encore une vieillerie sortie de je ne sais quelle oubliette. Par contre, je peux la dater précisément: 1991.
A cette époque, outre le fait que j'avais des cheveux , les caméscopes grand public n'étaient pas aussi performant que maintenant. De plus, celui utilisé pour ce film enregistrait le signal en Sécam. Il a donc fallu faire un transcodage en PAL d'où une dégradation supplémentaire du signal.

Ok! J'arrête avec les problèmes techniques qui n'intéressent sûrement que moi. Tout çà pour dire que l'image est "pourritte".
De quoi s'agit-il dans ce film? Oh, d'une bête séance de bondage avec suspension.

Je suis donc en collants noirs, avec des sandale à talons haut, un maillot de bain de fille en lycra jaune (que vous connaissez déjà), et des mitaines longues en nylon noir avec des gants en lycra noir par dessus. J'ai les poignets et les chevilles menottés par des bracelets en cuir, et les genoux fortement liés l'un contre l'autre. Les mains sont dans le dos, les menottes accrochées au plafond via un manche en bois.
Le but du jeu? Me relever.

         

         

Ensuite, c'est on ne peut plus simple. J'ai juste une jambe accrochée au plafond. Les mains sont libres. C'est vrai quoi! Sur le coup d'avant, j'étais un peu frustré de ne pas pouvoir me masturber.

La méthode est peut-être simple mais quand même inconfortable.
Juste ce qu'il faut.

         

Là, j'ai les poignets et les chevilles attachées à chaque bout du manche en bois. Le but du jeu, s'allonger par terre puis se remettre debout.

 

         

         

Pas si simple qu'il n'y paraît.

         

Encore frustrant de ne pouvoir se branler. La seule façon d'y arriver est de se mettre debout.

         

Bon! Par terre c'est bien mais c'est dur.

Le reste de la séance se passe sur le lit. Eh! On ne va pas cracher sur un peu de confort.

 

         

Euh... Juste une précision. Ce n'est pas un gros ventre, hein, c'est juste la cambrure.

         

 

Par Anatole - Publié dans : anatole
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Dimanche 15 avril 7 15 /04 /Avr 09:28

Salut tout le monde!

Cà faisait longtemps, n'est-ce pas?

Et c'est reparti, avec une vieillerie d'il y a une douzaine d'années. Et oui! Comme le temps passe! Et encore, que dis-je! Cela fait plus de quinze ans.

Je commence par du classique chez moi: les pinces.
Il n'y a pas de mal à ce faire du ... mal.

         

Tout aussi classique: tirer dessus en me masturbant. Une petite douleur aux tétons, rien de tel pour éxacerber les sens.

         

Toujours avec les pinces sur les tétons, une petite masturbation anale. D'accord! Le god n'est pas bien gros. Mais pourquoi toujours aller à l'extrême? Quoi que..... Enfin! Toujours est-il que les vibrations pendant une bonne demi-heure, c'est bon aussi.

         

Il n'y a pas de mal à ce faire du bien, disais-je, donc je m'asseois sur le god et tortille du popotin pour faire bouger tout çà tout en tirant sur les pinces.
Là, il est flagrant qu'il me manque une main.

Petite séance de bondage ensuite. Légère, mais pas pratique pour se branler l'anus. Vous direz que c'est un peu fait exprès.

         

Changement de position ...

         

         

... mais toujours aussi peu pratique.

Les chevilles détachées des cuisses, cela passe beaucoup plus facilement.

         

Le mieux, y'a pas à dire, c'est les mains libres...

... quoiqu'avec les chevilles attachées au cou, le confort n'est pas au top.

Aller! On retourne aux pinces à seins. Il n'y a pas de raisons de ne pas s'en occuper. Je m'attache donc les chevilles aux tétons via les pinces.

         

Mais au moment de mettre la deuxième jambes en place, la première pince glisse du téton. Wouah! Bien évidemment, la deuxième fini par ripper aussi. ReWouah!

         

Bon, et puis merde! J'm'en va m'branler normalement.

         

         

   

         

         

 

Par Anatole - Publié dans : anatole
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Samedi 3 mars 6 03 /03 /Mars 18:10

Cà y est! Enfin! Ma dernière video est enfin montée. C'est la toute dernière que j'ai faite. Je ne compte pas celle de l'interlude avec les seringues. Cette video a été tournée pour avoir des images à montrer pour me présenter lorsque je suis arrivé sur le Forum Sexualité de Doctissimo. Elle a été tournée vite fait, d'où le mauvais éclairage et le bruit dans l'image.

Pour mon entrée sur le Forum, je m'étais donc habillé en collants, avec mes mules à talons de quinze centimètres, une jupe noire, la cagoule en cuir et le collier, en cuir lui aussi. Sur les seins des pinces et des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles afin de les attacher. J'avais aussi dans l'anus mon plug de cinq centimètres de diamètre, histoire de m'exciter encore d'avantage.

       

Comme vous le savez maintenant, mon fétichisme principal sont les chaussures à talons hauts. J'adore voir, toucher, embrasser, lécher des pieds chaussés de talons hauts. La coubure des pieds et l'angle des chevilles me rendent fou. Rien qu'à voir mes pieds dans de telles chaussures je suis tout ému. En plus, les chevilles sont attachées.......

  

  

Ensuite, je remonte ma jupe et montre mes jambes gainées de nylon et joliement galbées par les talons hauts. Je me caresse, sentant sur la paume des mains la texture du nylon sur les muscles étirés de mes cuisses. Il y a évidement pas long avant que je me mette à me branler.

       

Puis je vous présente mon attirail sur les seins. Deux pinces à chaque téton. La première pour le pincer, normal, la seconde pour appuyer sur la première et le pincer encore plus fort. Il y a bien sûr des poids accrochés aux pinces. Sinon, ce ne serait pas drôle!

   

     

Sur le lit (y'a pas d'raisons qu'j'soit pas à l'aise), après avoir enlevé la jupe, quelques plans de mon cul, que je branle allègrement avec le plug.

   

   

Quelques plans de détails de la cagoule et du collier...

   

... puis nous passons aux choses sérieuses. L'accrochage des pinces au plafond. C'est mon type de torture préféré. Être en talons hauts, jambes attachées, les tétons tirés vers le hauts. Encore, là, j'ai fait dans le soft. Si vous regardez bien, il y a deux bouts de cordes nouées aux pinces. L'une directement, l'autre via des élastiques. En général, je commence par accrocher la corde avec les élastiques. Ces derniers mettent constament une tension tout en permettant de bouger, ou de descendre le torse. Il va sans dire que plus je tire sur les élastiques, plus cela tire sur les seins mais cela permet quand même une grande latitude de mouvement. C'est utile car en général j'ai les yeux bandés. Essayez donc de garder votre équilibre en restant immobile, les yeux bandés perché sur des talons de quinze centimètres les chevilles attachées.

       

Afin de rendre la chose plus sympathique, j'utilise un minuteur de cuisine que je met sur dix minutes. Je me force alors à rester ainsi jusqu'à ce qu'il sonne. Alors, je me détache du plafond, les tétons se trouvant alors étirés vers le bas maintenant à cause des poids, et vais dans la cuisine le remettre une deuxième fois sur dix minutes. Pourquoi le laisser dans la cuisine? Tout simplement, pour y aller, à petits pas, les pieds en talons hauts attachés et les yeux bandés. Il va sans dire que la trajectoire n'est alors pas franchement rectiligne à cause de l'équilibre à garder, ce qui fait se balancer les poids aux bouts de mes tétons. Je reviens alors comme je peux sous le crochet du plafond et y replace la corde avec les élastiques. Mais là, j'introduit une petite variante: j'enlève les chaussures. Cela m'oblige à rester sur la pointe des pieds afin de ne pas trop tirer sur les seins. Le temps passant, mes pieds fatiguent, les talons se rapprochent du sol et les élastiques se tendent un peu plus.

   

Pas dans ce film, mais en général, la séance continue. Au bout des dix minutes, je me décroche à nouveau et doit remettre mes chaussures. Déjà, il faut les retrouver car les yeux sont toujours bandés. Ce qui fait se balancer délicieusement les poids. Retour dans la cuisine où j'enclanche le minuteur, retour sous le crochet et là, je m'accroche avec la corde qui n'a pas d'élastiques. Résultat? Marge de mouvement plus que réduite car la corde ne se détend pas lorsque je bouge. Je me retrouve alors bien bloqué, ne pouvant pas bouger au risque de tirer très fort sur les tétons. Ce qui arrive puisque mes chevilles commencent en général à fatiguer à ce moment.

Dix minutes, nouvel aller-retour dans la cuisine et nouvel accrochage sans élastiques et, ce coup-ci, sans chaussures. Je suis maintenant obligé de rester sur la pointes des pieds, en essayant de lever par la seule force de mes muscles les talons à quinze centimètres du sol. Evidement impossible. Déjà que les pinces me tiraient fort sur les tétons avec les chaussures, vous imaginez sans. Et là, cela fait plus d'une heure que je porte les pinces. De plus, il est alors de plus en plus difficile de garder son équilibre. La douleur dans les tétons devients fulgurantes et je commence à me masturber.

  

La douleur est délicieuse et il ne faut pas longtemps pour que j'éjacule. J'essaie cependant de retarder la jouissance le plus possible (en m'interdisant d'arrêter de me branler) car ce n'est pas parce que j'ai joui que je me décroche. J'attends quand même la fin des dix minutes. Autant la douleur est jouissive tant que je suis excité et n'ai pas éjaculé, autant elle devient pénible après la jouissance.

Très pénible. Au point que je me remets à chaque fois à me branler comme un taré afin de m'exciter sexuellement de nouveau pour rendre cette douleur plus supportable car associée à la jouissance. Le plus souvent, je ne tiens pas les dix minutes. Tout simplement car, mes chevilles se fatigant, je finis par perdre l'équilibre, faire un pas plus grand ou mettre mes pieds à plat. Ce qui a pour résultat de tellement tirer sur les pinces qu'elle glissent des tétons sans dépincer. C'est en général là que je jouis de nouveau.

Par Anatole - Publié dans : anatole
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Jeudi 1 mars 4 01 /03 /Mars 09:00

Et oui! Là je suis à sec! A force de publier comme un malade, y'a p'us rien. Faut attendre que çà se fabrique. donc:

 

 

 

 

Pour attendre:

V'là une p'tite idée d'un jeu à deux. Il peut permettre de déterminer qui, pour cette séance, sera le ou la soumis(e).

Il ne nécéssite que peu de matériel et peut être mis en oeuvre rapidement tout en partageant les sensations.

Première chose à faire, poser par terre, à un bout de l'appart ou tout au moins le plus loin possible de votre lit, un couteau ou une paire de ciseaux de cuisine. Ceci permettra à l'un de vous de se libérer.
Prendre ensuite chacun un rouleau de film cellophane, et une vieille paire de chaussettes du type chaussettes de tennis assez longues. Pourquoi des chaussettes? Tout simplement parce que c'est plus courant à la maison que des cordes et cela blesse moins car il va y avoir de la contorsion de votre part. 

Placez vous sur le lit ou sur le canapé du salon, je ne sais pas comment c'est chez vous. Mais pas par terre. Toujours est-il que le couteau doit être placé le plus loin possible. Asseyez-vous sur vos talons, de sorte que vos jambes soient repliées, les talons sous les fesses. Que chacun enroule alors chaque cuisses et chevilles de l'autre avec les film étirable en serrant bien fort et en faisant naturellement plusieurs tours. Attention, ne cellophanez pas les jambes ensembles, laissez les indépendantes. Encore que pourquoi pas. Entourez simplement chaque jambe pliée.

Ensuite, attachez les chevilles de l'autre avec une chaussette, puis ses poignets avec une autre chaussette. En vous mettant dos à dos cela peut se faire. Pas facilement pour celui ou celle qui a déjà les poignets liés mais c'est çà qui est drôle. Reliez ensuite avec une troisième paire de chaussettes les poignets de l'autre à ses chevilles.

Vous vous retrouvez donc chacun jambes repliées, genoux libres mais chevilles et poignets attachés ensemble. Mettez-vous alors sur le ventre, face à face si possible histoire de vous voir dans cette situation peu commune.

Le but du jeu est une course, à savoir lequel d'entre vous va arriver le premier au couteau afin de se libérer. Ceci, évidement, en rampant et en se contorsionnant par terre. Cette personne aura alors le droit de décider quoi faire de son partenaire. Tous les coups sont évidement permis pour empêcher l'autre d'avancer.

Pour ceux qui ont un étage, évitez d'avoir à descendre les escaliers pour atteindre le couteau.  :(

Ce jeu peut aussi se pratiquer seul pour les adeptes de self bondage. Pour pimenter, on peut mettre une limite de temps, par exemple le faire une petite demie heure avant l'heure d'un rendez-vous. Ou faire un aller-retour en mettant le couteau sur le lit, dans une boite fermée à clé et aller chercher la clé à l'autre bout de l'appart. Ce qui est drôle là, c'est de remonter sur le lit.

De plus, dans le cas de l'aller-retour, pourquoi n'y en aurait-il pas un qui attendrait le retour de l'autre avec la clé, tranquillement à côté de la boite. Là, la situation peut rester figée un moment, le temps que l'un de vous se décide à y aller. Cela peut aussi donner lieu à d'âpres négociations...

Au fait, pour les négociations, il est intéressant de s'être baîllonné au préalable avec du scotch d'emballage sur la bouche par exemple.

Par Anatole - Publié dans : anatole
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